mardi 29 septembre 2009

au matin

Au matin
Je savais que ton souffle n était plus,

Tu as laissé place au soleil,
Met notre âme vivra l éternelle,
Soie sur que je serré la,
Soie sur que dieu alla nous laissera,
Si il n y a que des mots,
Ces l espoir où tu es parti,
Attend moi de l autre coté,
Comme moi qui ta épauler,
Aimons nous comme il ce devez,
Cocoon qui éclos du paradoxe,
D état d écriptable battement d aille,
Danse d’orient aux champs du golf,
Le vent s soufflet sur cette dune de sable,
Une rose ces perdu dans un baiser de lumière,
Souviens toi de moi, souviens tu de nous,
Si le faucon seul témoin de notre amour,
Sur le silence du désert, planne encore,
Ta princesse, la loi de la vie,L’envie die me reposer,
Juste pour écouter encore ta foie,
Ton amour de déshabiller la femme,
Un homme aux conditionnels sur humain,
Met un prince aussi beau que le linge blanc,
Habiller par ta mère.
hoin fanny

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