la haine

la haine

la haine me prend ,
es me rend folle comme cette camisole qui ma souillier,
prisonnière de vos mots es de la bavure de franque.
ma haine es le tourbillon de met jours.
compter les année perdu ,la haine de ma rébellion.
les cris retentis comme cet voyant qui clignote au fond de moi.
ma bouche ce fait chienne.
mes yeux son mitrailleuses,
mon cœur le rythme de vos amorçage.
je porte la souffrance a chacun dans met silence .
je mesure chaque temps passé,
revoie cet scène qui son démesuré,
des soir ou je me fait orage des cris de larmes,
je vous oublis pas,
tend de douleur qui reste sur cette peau ,
sur ce cœur ,de cette âme si abimé.
j'aimerais être ce baim d'acide qui vous toucheré soulerré ,
ou vos chaire périrai dans ce que etiez méttre es chef,
l'écho de mon rire serra de joie ,
de cette torture qui vous tueras ,
rendras l'espérance d'une nouvel justice humaine.
ma haine ma haine ne me perd pas ,
car cet un pieux au fond de moi.
Hoin fanny