Et si le temps est long,
Nos regards reste figé,
par ce doue refrain de la solitude,
A travers les vols et le chagrins,
Mon cœur sérés reste gravée,
Je passe mes mains sur ce corps brûlant d’envie,
Vie spirituelle d’abandons de ton âme relâcher,
Dans une source,
j’ai déposé une feuille morte,Aux couleur de tes larmes,
au goût de la pluie du nord,
Et si j’attends,
je me défends face à cette vie,
Les tours s’élève comme des pierres monter au barrage gris,
Acheminement de toue cet labeur,
Qui dandies aux bruit du papier glacier,
Le haut le grondement,
Des tonnerres es des tracteurs,
Annonces les couleurs,
Parfumée de ces boisier,
Je me soul a l’envie de te retrouvée,
Si je pouvais entravée,
je signerais demain,
Je mâche toue ces mots,
Combien de brasage aux goûts de c’octaux,
Laissons nous divaguer,
Jeter toue ce papier à la couleur inhumain,
A la plume de nos chemins,
qu’es ce qu une feuille,Passage de survie,
un chèque bien arrondie,Usurpation, je serré la signataire,
Aux relâchement des sans papier,
La terre est bleue, le cœur remplie d espoirs,
Les penser son rouge,
Les mains son glacer nouée comme des cadavres,
S’il y a une terre de délivrance,
Ces pas dans ce temps
.hoin fanny
ya
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