mardi 29 septembre 2009

Ma bouteille a la mer

La pluie sa bat comme des tires,
Vagabond je remonte mon blouson,
Parsemer de trou,
Tailler de la dimension de ma vie,
Reste encore ma bouteille,Fidèle compagnie,
de ce froid qui sa bat,
De cette vie si sou lente
,Mon vieux chien, si me voyait,
Fidèle a celle de la patrie,
Il n y a que les reste,
D’une mémoire qui s efface,
N ayant plus de toi à m’abriter,
Mon réverbère seul coin ou je m apitoie,
Je t’y attacherais quand pour moi,Je partirais,
comme ma bouteille,
Ma vie ce répétera,
a gaver citoyen français,
Alors je m’invite chez chacun,
Ces tables remplie mon odeur,
Il n y a pas de charronne près de met amis,
Pas d’ingrat pour pleurer de moi,
La vie à la fourchette extrême,
Embellie, et mon vieux rafiot qui serre de chapiteau,
Mouvement de la somme,
Pour une berceuse de nuit,
Ou es mes sirènes,Reste encore que cet croupie,
Puis quand le grand mat serra lever
,Les vagues m’emmèneront,
Et un loup de mer,Je partirais laver,
noyer les tourment qui mon enté.
Hoin fanny

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