Je te voie, *
t’allonger,Au travers ces rocher,
ta queue frivole,
Au amateurs de bordure
,Il creuse la surface pire que des rapaces,
Ton eau bouillonne de vie,
Et tes couleurs aussi,
Richesse tu es par l’éclat de ton arc en ciel,
L’œil obscur,
tes paramètres de survie,
Bordure vétillant,
Tu grignotes quel que vers,
L’oxygène de ta vie,
Equivaut a un appât de pain,
Et tu glisses lentement,
Dans ceux long lit au creux d’un tourbillon,
Il t’attraperons, pour t’engloutir,
Au fond de l’estomac,
Il y aura plus rien pour toi,
Mes les œufs animés laisser vivant,
Donnerons de nouveaux arrivant,
Il chattoyerrons,
le long des rivières,
hoin fanny
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