lundi 12 avril 2010

christelle

Condamnée a aimée

condamnée a souffrir

condamnée a ce battre pour vivre

t ouvrir au rituel de ton alcool

a courir comme une sœur pétard

pour t'effacer de ta souffrance de la maladie

je t'aime tu ne me voie pas,

je crève les nuit de te voir pourrir les limites du futur,

petite sœur crève ton cœur,

sœurette burette ,blanchette,

qui reviens d'une plais d or ou le cœur de la dépense ,

chante les rayons de l'amour arrête de flanché ,

planché sur cet lame de m'envoyer cet clou ,

je Ve pas être ta résine de ce chêne, l hymne de ta vie,

être détendeur de ton tapis rouge es d'un drapeau mouiller,

comme ta moitié serré unis par notre maladie,

le soir au décente de nos enfer ,

du rire au larme de la douleur au physique,

tapé des tof a l'osmose du net ,

parce que le poignard qui es si profond ,

creuse ,fond comme bouteille acide,

condamnée a aimée

condamnée a souffrir

deux pierre précieuse qui brille,

creuse leur puits de soupire,

petite sœur lève ton arme ,

te laisse pas partir,

mon cris a la maladie cet de te voir sourire,

prend mon cœur comme seul pilier,

réveil toi je tend supplie,

amour perdu ,amour déchus,

parloir de soir entre deux prise de tête ,

je t aime comme cete oxygène qui m engouffre ,

nos refrain son de terrains de poubelle

ou les gastronome ne si plonge pas,

parce que nos terrain son de spirituel a nos enfants ,

que les jeux ce planifie de paradis ,

tes pas guéez ma sœur ,

je t envoie un gilet qui garantie une survie,

tes crie de ta détresse ,de ton sos,

ne t effacé pas de ma tendresse,

poétesse traumatisée par ton chagrin

d une téléréalité de mon chemin,

je te donne mon cœur

je t donne mon sourire

je te donne ma vie,

le châtiment nés pas plus grand ,

que te voir noyée dans ce couloir sombre que tu te plonges,

les peur ,traitement ,les envies ,

condamné a aimée

condamné a souffrir

condamné a te regarder mourir,

un ciel serrais bleu blanc rouge,

signe de cette France qui ma accueillir petite princesse,

conspire a la vie au citoyen de ton pays,


hoin fanny

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