samedi 12 juin 2010

pleure ma france

on ta couper le nez es les racines,
dicter tes peine es le relationnel,
supprimer les usines les fong gris du nord,
reste juste ce froit du pol qui nous rate de diner,
crevasse travailier comme signataire prfecture ,conjonture,
tampon inbibée de cette ville sandre qui a debordé de cet corigé;
imprimer comme ce cercle de notre pays,
si riche de nos dame es du triomphe de nos guerre,
jusqu a la panoplie de parapluie senteur de cocochanel,
es cet boom boom du 14 juillet tombe comme des cotillon defallites,
la pluis devalle les ruelles ou les pas cour apres des chemin de fuites.
des sirénnes de svoitures cloxones comme un jour de joie,
sans professsion je mis fit foie,
de cette raison de ce manteau si tremper es lourd du voyage a traver la france.
pleure pleure pauvre france

hoin fanny

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