dimanche 27 décembre 2009

new karim

j aurrais aimer t offrire cet colier de perle,

ou le sable cet jetté comme l' adieu

a cett douce vague es de cet nuit .

penser gravire ta vaste lueur de te syeux,

aimer a coeur de cet perriple voyage conquis,

faire du rodeo ,

ce jetter de tres haut de cetet falaise .

parachutrer les recifs ,

devaster cet petalles de nos pied flottant.

courrir le temps ,remonté l horloge,

batir l oeuvre de mon sang de ma chaire,

de met larme,de cet cris qui mon noircis l envie d aimer,

chante rcet printemps ,trouver le temps de ce tenir lamain.

aimer ensemble chaque matin.

pecher jusqu a couvrir d or nos enfants de nos pays ,

hoin fanny

hoin fanny

ma lettre mon frére

a toi seul ,face devant ce vide,
es chaque goute d'eau parayse ton regard ,
le vide te transporte loin d un passé oublié monté de pierre,
le bruit de la marre s'etein,
met le chocque te refroidis,
es ce sang fa ce au yeux ,
es cet main ce parayse,
met tu avances plus.
le gun du ganster t'attire,
refroidis loin de ton enfer,
mon fréro les yeux braqué sur tes barreaux,
cet putin fils de pute ce fond des doigt ,
jouisse de leur liberté,
ce crois égaux cet gros paranno,
l'oeil es le regard du tonerre ,
vise es braque cet chien de guerre.
comme une bombe atomique,
l'oeil affricano frérro ,
le sanglot de tes mots ,
cette larve d accide périmé qui zon tous jouet .
je suis les yeux de la fleur es du paradis fiscaux,
hoin fanny






ta rever d un massacre

tendre baiser

ma lévre baise la lagune ,

de ton chemin ouver sur un espace commune,

mon sourir enflame les disques es les yeux de don quichote,

charger comme cet bliblique entérré de leur pauvre souffrance attéré,

le fleuve s'engouffre dans les lits de cet pauvres apprentis ,

alors seine de mon ame ,seul de cet juppon croupis d'angoise,

j'enchaine les paradis es fraguemante leur scéne en dérision ,

envolle sur cet cotillon quelque coup batton,

théatre je vous aimes de cet crepon rouge,

lancet en haut au coeur provincial.


hoin fanny




samedi 19 décembre 2009

la table

un paim noir ,

un bouillon culture,un appel a dieu,

des fusil braqué es le silence de la chaleur,

le couteau soue la gorge

je saute sur la mine ,

qui ilumine les échasses des grand.

comme une part du bonheur,

sur une cote bleu un pélican qui péche,

les ruminan allongée qui salive de nos proie aveuglée,

liqueure de mer au bleu carmen,

ou s'englante la nage libre ,

seul a trainer cet killer comme un carnassier,

hoin fanny





vendredi 11 décembre 2009

la gitane

histoire de gitan

une danse de gitane

ou mon âme ce rend fou

ou la dame joue du charme

être une gitane

cet l amour qui pétille

es le feu des grand jour,

le cœur d une gitane cet la braise de met main

le chemin d une gitane cet la roulotte humaine,

le parchemin du plaisir es du bonheur,

chanson de gitane cet humeur stupeur des yeux,

allumé un grand feu es sourire a la grille du feu,

amour d une gitane cet le cœur d une mère ,

es du partage des grand voyageur du temps,

hoin fanny

une rencontre en voyage

Une rencontre en voyage

trois ans je traverse les canaux les refrain les rêves que les parodis de toue cet dictateur a mon accroche .

sans arrière du dénude de ce coucher immortel sur cette bosse doté d'un pouvoir a émouvoir les yeux, les mouchoir ,accrocher les plus beau discours que je me suis assis la haut.

sur ce dondaine a dos chameau parue bien plus cour que les voyant d un véhicule, dans un sens sans savoir que l'inconscience peut succomber a un territoire un chemin une liaison fatal.

sa serrai sans frontière jusqu'à nous ,autant de parachute lâcher comme cet commentaire ,combien récit son venue marcher au travers le caractère bien affirmer de toue cet olympiade .

es l accrus du bon vieux sujet qui ferrai diversion du centre orientation de cette ombre de la pénombre laisser.131

l'empreinte sarcastique de ma doublure sur ce sable divin es fin comme l or qui coule .

et ce rayon qui traverse es chauffe comme des heures imprenable soue cette ectopique chaleur de nos pauvre corps face au devant du levée.

supporté a être écorchée d'une vie d'incertitude souscrire a cette cor laisser des grand armure de fer.

être zaina ou gladiator dans z'une nombre exemplaire ,extraire de cette loi de ce outrage qui nous courbe es cet brulure de la censure au sens des parole démesuré.216

être droit es doté d'une magie de force a ce relevé,plongé au passage des noyée roulé es comprendre le srupture es diférence de langue.

je te voie pas met les pas reste un hommage de ce que tu ma enseignée comme une mort vivante.

es i je devais comme toi perdre la tète te découvrir soue une couleur une terre ou un nom qui rime pas avec amour.280

avancer tremper d'une maladie es connaitre bien plus d horizon que ta confession se ferras.

être humble avancer la pointe du jour sans ce retourner au risque d être pornuqué a un autre temps incertain .311

être soie même aimer la force du courage es de la rencontre.

sans une nie lois je serrai légère a aimer rencontrer sans redouté l être de demain.

sans une nie lois la joie es le devoir du courage cet poser a te dire met secret.

ma rencontre ultime ,mon souverain divin,un baiser juste poser a cette rencontre 370.


hoin fanny