lundi 31 janvier 2011

princesse d escort

coussin de soie cousue de perle de mer,
envellope le chateau de mon glosy,
la palm des heures a creuser ,
amour es chartre des savant.
dans cet nuit le fly bascule ,
dans des vesticule de poignet,
de flaire es chasse trépasée caractére des sentinnel,
enflamme colombe es prelude du soleil ,
douceur charnel de nos recette de cannel,
ecort de chamel couver de ses valises ,
lourdess d une proie d'un poid a combatre,
depassée année es diction d un templier.

hoin fanny

samedi 29 janvier 2011

bouleversé

l'encre de tes yeux.
ma sincerité es aussi blanc,
que le cul des bébé du monde.
es mon ame creusé,
traverse sans fin les caves.
le canal qui cool en moi es souffrance .
il n y a pas d e lit qui éffrainée ce chapitre de ma mort;
pas de correction ou on soulage les larmes d'une femme.
nie qui apytoie le mal ,un mond eperdu.
ou le monde désignée de cruauté.
vivre dans la pénombre nes pas un crime.
ue liberté accompagner ce chapitre de mes belle dame noir.
bouleverse mon sens face a la vie.
coeur d islam je t'aime chaque jour.
hoin fanny

jeudi 27 janvier 2011

flashée

les lumiére du coeur non plus valeur,
devant une democrasie qui s ecrase,
assiéger par le manque d oseille,
je planterais des fleures pour vous voir courir,
je semerée des choux pour convertir a l existance du futur,
mettre une goute de luxure es etre une creature divine,
juste a renouvelée des été dans les citée balnéaire,
je carbure a l essence es a la saoul de de fumée,
dégommée les imparciale es etre rivale des voie ,
des barres ,barreaux de traverse qui deverve ,
population qui marche dans cette putin polution,
alte au racste es integriste qui tu renverse l'obéissance,
le crime de guerre es t un crime d etat ,
que les nom soie banie .
paix,paix,paix au riverain solder des chantiers.
hoin fanny

samedi 22 janvier 2011

voltige de nuit

mon avion voyage dans le futur,
a la capture d une nouvel aventure d aimer,
méme pas cicatriser de cet dernier baiser,
blesser dans son sang d'amand,
tu es si loin si beau vol vol ,
oiseau de nuit de jour,
ou les eclat d emortier s explose ,
au lever des paradis,
brasse toi de tes sentiment vol vol ,
continue conquétte es t'arréte jamais,
vol vol dans les froid des abyses des eternités,
jolis parois de fer,soldat des port attaches.
court devant toue droit ,desoue ,desus, terrain abatus ,
vol vol dans ma chaleur celle du 7 eme ciel .
vol es revien moi quand tu atériras .
baiser de mon ame solitaire
hoin fanny

le mail

toi différent qui lis ce soulignage ,
d une rive d une nuit passionel,
comme la majuscule d un large qui s tend de nuit ,
ou mes langue ce melange de ta culte de cet accros,
mage de mon temps de poesie,
facine l'existance de l inconue du futur,
l amour d un pére du monde ,
es grand tenebreux de sa longétude ,
j'envis de te devoillée face etrnage de ceux masque ,
bronze mes saveur noircis ,
la peur des etreinte rencontre,
tes chants bouleverse les pianos du temps,
de yann ce dechaine au vent,
vampire emouvant amour blanc ,
essuie ma bouche de cet larme abatue,
jonche mes marche avec ta can levée,
mon coeur ce dis aimée ,
le coeur d'un etre loingtain au chemin de mes priére.
hoin fanny

mercredi 12 janvier 2011

l'esperanza

soue un chêne de l espérance ,
les marron tombe comme des pommes,
soue le pois du ciel vêtue d un gris souris,
le rose de ma peau ce configure de l espoir ,
un être d amour d espérance de son marché remplie .
chaque jour accompagne sa vie de l esperanzia ,
marche es cour après l esperanzia ,
bonté générosité d esperanzia,
l amour s envole comme une colombe dirigée sur toi,
d esperranzia m'oublie pas,
les nuit je pense a toi qui viendras ,
le jour je travail nos réve ,
a toi mon esperranzia,
esparranzia je t attend toujour amour.
hoin fanny

les yeux de l enfer

un regard de feu,
un regard de peur,
un regard de paix
yeux du destin
yeux de crime
yeux de haine
plonger a immolée de met écris,
a te regarder bavé seul dans cette cellule sinistre,
au regard de wini ourson ,
es de jouet au mec polisson,
plonger dans l influence urbaine,
chasseur de terreur de drogue Caspienne,
emblème de toua pays,
qui engloutie jeunesse au joie du feux,
ma senteur poudrer de talc-que gratter de caoutchouc,
un monde engloutie des feux de l enfer,
des dents a saisis les coeur de beauté,
crevé ,braqué ,vendé verbe tragiques,
population nous oblige a croire au festin Ali baba,
moi je voie au poignet tes chaîne d un prisonnier,
prier prier garçon ,homme des tempêtes,
sur mon chemin je verse les laves des mères meurtries,
les yeux de gloire,
les yeux de rire ,
les yeux d aimer les peuples
ou croire toue peu changer,
monter des pierres pour mieux rêver,
citer démolis oublier mon coeur a étais tuer,
pour voire victoire populaire,
ou entendre les bla-bla des millionnaires,
les gents marches sur ta tombes ,
pour touché une étoiles qui a rougis ,
on na fais des enfants de l amour ,
des gosse qui grandirons avec des sourires dans les flanc,
des belles médailles couvriras nos manteau de vie,
courir bâtir payer de notre sang ,
de nos bave de sueur ,des pertes d'amour de nos grand paradis,
maladie d amour ,maladie du crime,
je trace ce que met pied on laisser,
un siège de sang ,
une mélodie perdu dans un roond
baise les ,baise la, tragedie des chien ,des chat batardé
regard d'ange,
regard de mort,
regard du jugement,
hoin fanny


hoin fannyles yeux de l enfer

samedi 8 janvier 2011

l age d or

le vent souffle si fort ,

je sens la brise du loin de nous,

ton coeur bat si vite ,

que mon sens inspire moment de joie,

porte voie es salue de nos bouche ,

contre toi contre veste ,

devant ce careaux de glace.

vetus de manteau noir,

la goute glasiffis ce clima ,

qui importune soigneux es duvet,

tendre passion d amour buche brulame no ame,

reconnaissance de l année champagne,

es petile envie des crevettes,
un baiser tendre sur cette page de ma mort.




hoin fanny



le ballon

le coufrant des larmes de tes yeux,
ce couche de se soleil merveileux,
la lune qui ta plonger ,
dans un sommeil de belle au bois dormant,
brill les yeux des oies satinné,
de ce but si loin oublier prtir dans ces silence honore ,
pied es main d une coupe d or,
es les cries aflux comme seul couloir de desarois,
pivotent ma vie devant tribune es bavure d autruis.
le rayon espace ton visage livide es belle ange.
toue assasine ce moment de tragedis,
mes main plonger de ce rouge damour pour toi,
reste comme le tableau d une fleur.
je te voie sourir ,je te voie rebondir,
me faire ce dernier signe .
hoin fanny