l'ecole de met envie

grandir bâtir une chaîne de montagne ,

avec des mur des crayon ,

es des maison de couleur,

des coeur qui ferrai de la musique,

des main comme vague de tendresse,

l'herbe serrai du coton,

es les yeux ferrons la pluie ,

pour que des perles de cristal naisse,

les oiseaux parlerais,

es les poisson danserais,

l’école serrai plus belle qu'une console.

les éclat de boue serrai d un blanc .

met impression serrai guide ,

l'envie de joie.

diplômer d un état ,

diplômer d être enfants littéraire ,

d un monde sans bavure.

hoin fanny

neige de decembre

mes main tremble de cette chevelure blanche,

lumière s'instille comme des fée,

couvre mon lit mon petit coeur de vie,

la glace craque soue met patin ,

miroir de verre ,de glace,de chaire,

neige de glaçon au froid allure de danseuse étoiles,

affine tisse les toiles de cendrillon,

pluie de givre réveille les branches mortes,

sautille sautille oisillon d'amour,

chante chouette es charme de diva,

la couette du monde réchauffe,

débauche les nuit étendus,

décembre je me mari de ta blanche ,

de ta pure je respire ,

choutte a ta coke wilte,

la magie blanche es decembre,

hoin fanny

etre ou ne pas etre

pourquoi s affirmer devant un auteur prédestiner a être double de sa personne.
de cet geste a offenser ou inducquer des néoplasme a serrer de cet main de ces point .
a hurler comme un loup dans sa tamiere.
être ou ne pas être face a un être injujable qui a predistinner d etre le mal.
Satan rigole encore de son pauvre etre humain.
être dieu ou soie même ce croire es valoir des droit .
tu implose la condition des autres es abuses des lien que l état a fit a tous.
dépasser son âme es son mal a acharner sur un seul être qui t aime.
détruire nuire a cet ange , être inhumain.
seul abreuvoir cet le sang la chaire des femmes.
conquérir un monde ce déclarer roi .
pour avoir ecartelet es tenue prisoniere un ange.
être sentir es destiner a suivre ce que le tracer a convertie a toi même.
l ange de ta mort sera pas être juste une exercution que tu as soumis.
être ou ne pas être .
ne jamais être, face a l injustice nie a l' intolerance des gents.
être sanguinaire es sans âme mourir soie même sur le poids du sourit.
ne pas etre es devenir sauvage .cannibale de mon mal.
etre sa dessente de lit, es crever pour montrer le chemin de demain.
etre un tremplin a cet mére qui son etre a deux méme,
es a ceux qui on tuer ou detruie ,
le nid d un ange pure.
etre juste etre sa personne.

hoin fanny

palestine

les yeux dehabillier de ce feux ,

brouille  sou cet fuite,

cet dechainer de la tombe ,

bruit de tonerre es feraille,

des bulles verte bleu tombe comme les pluie,

les toiles noir monte comme des rafales d'obus,

 les rires son un cantique des nuit de trou noir,

ma terre es t un chantier qui s'eternise mille année,

mille homme ,mille haine d atrociter,

qui a le gout du sang ,

qui créve de sa paix,

palestine palestine réanime les paysage du passsé,

que les fleur de couleur du monde chante,

pris le dieu d'amour,

habille toi d une nouvel archippelle

palestine palestine ta deviner ,

ton ange se couche sur toi nes plus froid ,

pose toue contre moi armure ou tu e sblesser,

hoin fanny

verssaille

 jardin secret es cet pierre inbibais,

robe en fleures es collier de diamant couvre,

la cour du souverain,

 les valses de mozart tamise les recis ,

canbre l allure des cavalier dotté de leur etalon noir,

dence soleil ilumine leur nuit de pachidenne,

courtise gitane es romano de ces cave brase de chants,

pavillone volcan de ces ruche de miel,

cochon es volaile parfume les soutannes des brigant ,

 cet mouche vollée poser dans cet creux de satin,

 leur main soigneuse tisse lasset de soie es dentelle ,

ombrelle danse a travere le labyrinthe des vertes monté,

decet lampion dandinne les fée de cendrillon,

es accrus charme es porté de chapeaux,

culture d un drapeau ,

paris es ses etoile remplie les merveille de beauté,

chateau de lumiere es réve du passé ,

cet ouver un 14 juillet ,

reine es president repase le soleil .

hoin fanny

la gamelle

j'ai un tocard qui ce balance ,

au queu d une caserole criblet de troou,

benji clouée sur sa guitarre ,

 une vielle bouteille de wisky comme femme ,

j'ai une biscote a tremper comme ce paim guerre ,

es gobet des oeuf a la force de conpter ceux qui tombes,

balader ma compagnie dans cet fumer ,

dans ce tunel siflant si froid de cadavre,

es toi ma brune qui me tien si chaud ,

brune qui ma tenue deboue ma vie,

de sexe de fievre ,de sang froid,

brune qui trouble ma vue de cet horrizon loin,

fait moi tourner la tete ,d un coma souriant,

hoin fanny

peuple du neant

la peur le prend au boue de ce fusil,
orienté ver des croix des drapeau de silence,
aimer batir un rivage de canal bleu,
es embraser le ciel d un rouge glamour,
cour devant cet mere abandonner de nos perte douleur,
te tenir encore encore si fort,
que les bombe tombarderer sans nous touché,
fremir surmonter ensemble les yeux des mallin des jaloux,
glace moi de ton image fantome ,
refroidis ce coeur de larme .
brandis ton venus de cet corne qui ton empaler,
braise moi de ce feux qui nous devorer.
aimer mon capitaine de la paix.
coeur du jourdain qui es fluide de nos amour,
je t aime ame perdu en ce matin,
oublier dame nature au bord d un brouillard.
mourir de ton amour.
mourir de nos soliture ecarté.
hoin fanny

petit amour

petit amour me couvre de baiser,

mon bonheur contre toi ,contre moi,

je t aime baiser mouillier,

sucrée sallé,encore enrobbée de ta saveur,

mon tendre bébé arroser ,

de callin de chaleur de ton coeur,

pose ton rosé fleuris,

de ma phase de mutation,

marié parrainer de ta friandise,

confise ou cerise pralinnée ,

je vais te croquer,

amour de bébé,

pose ta voie sur mon visage,

comme une proie je vais te deguster,

hoin fanny

mon amour

amour de ce  radeau qui flotte ,

glisse sur cette glace qui m enmene dans un tourment,

dans un chemin inconue ,

une voil directe ver tataouine

ou les gent s aime encore,

partir courrir ver une trame innexistante,

es balirre ce dernier visage qui ma temps fais souffrire,

good bye pays fleuris,

l'etoile  brille a la conquette des coeur ,

de nos armes de ce chemin si fragile ,

berce ton amour si chaud ,

beau inconnue au pas de rose,

je te voie encore ,encore si cetai demain,

conjugue ta vie au gout de douceur,

au praline saveur  de mon palaie gourmand,

fait de moi ,moi l'aile de desire.

hoin fanny

sans parole

des jours de larmes de cries,

sans etres compris,

des jours de pluie de noir ,

ou les mur dessine les vampires,

susure lappée mon satin ,

de ce sangt mortelle,

qui me fait tenir branche nocturne ,

ou saturne plaigre les teinte iris,

chatiment d'amour de pensée au blame des jalouses,

les lignes de couleur ce fit des sons animée,

personnage de scéne danse avec les clownx,

jauchée les sentier interdit,

de sainte peint virtuel vie,

des quatres appocalypse,

la terre eblouie.

hoin fanny

accide cronik

dans ce grand vide toue noir,

je verse le reste de moi,

comme apprentis sorcier au masque d argent,

dans une chute ou le vertige  es le poid n existe plus,

devant la grand armure sombre occupe les parrois,

comme un constitutionnellement les ambres sauvages

couvre les sol habité de nos lueur ,

la rage me  prend d aimer ce diva de chevalier,

vent sifflant vent croupissant de mon arme,

je suis sirénne ou guerriere des  colines,

reine delappocalypse ou du kao de cette crise .

balance encore plus fort mon coeur ,

donne moi le mal de la vie .

sourir d ange sourir de diable,

hoin fanny

pastéque

verte de cet aventure de la couverture ,

aussi ovale que la terre verdi par cet automate,

es cet rainure dessiner au faculter de nos frontiere,

etre boule de voire ces fraguement ,

 ma tronche de vie,

je te mord boulimique de ce jus ,

de voir ce developper une boule ,

de crever cet abces qui purrule,

es gonfle de leur maladise recitale,

barque des assassin gemisse le soupire ,

les manteau noir es cigarette roule de ce feux,

brune sauvage danse es braise cet savant fou.

boulle de genuis ,tourne a l la longue .

hoin fanny

pecheur du savoir

j'ai une constellation remplie du savoir,

des main balance magie es charme naturel,

j ai des etoiles dans les yeux,

ou les bougies anime des personnages incarcérales,

j'ai des bras enjoleur pour remplir la penser des autres,

un ventre qui danse orien chant francais ,

porte l amour de dieu,

j ai des jambes qui fait l ombre de ma facde,

es des pied qui trace les étres d un cercle bleu,

j ai le sourir des drapeau es la paix dans ma peau,

j ai un coeur a aimée es des dentelle en fleur.

j ai lancet mon filet 

hoin fanny

le clochard

mon petit clochard a une couronne d'or,
es cet rayon du coeur raisonne comme ceéléphone,
je griphone des parcour de ton amour,
des chemin remplie de verdure d azure,
petit pauvre a gommé toue de moi,
méme les récré au gouté chanté,
es cet parure de liaison sculter de bisoux,
ce nes pas une carricature ,
un verset oublier,
juste cette petite balade d un coeur pure ,
mon petit clochard a une pense,
remplie de victoire de gloire,
graine du savoir de cet terre noir,
petite armure bien remplie,
je te chatie de ma culture du coeur.
hoin fanny

christopher

musique profond de se sang chaud ,
si bon de ce drapeau francais,
nos coucher de rire alume les soleil ,
baniere d'autonne ou les jaunes colombus ,
ce roule de cet vaste route chemin de cet pluie de couleur,
es l'humide odeur remonte les cathedrales ,
de cet pain chocolat ,brioche,
ou confiture de grand maman,
devant sa devanture,
la couverture ilumine son visage,
tracer de cantine a baiser les tendre en souriant,
de mon riz palpitans crépite de ce poél,
de cet coeur parfumant les jours de table ,
nos liaison heureuse nos sourir nos coud a coud,
mon frére reccuiléme de ma vie
mon frére nos passion nous zon changer,
mon frére les année ne nous ons jamais séparré,
mon frére nos vie serra une chansson d'espoir,
parce que la vie cet toi es moi,
con porte tous un jour sa croix ,
es que les paroles s envole comme des colombes,
10ans de face a face de couleur d e papier dessiner,
10ans d'amour de réve de liberté,
10ans de souvenir resasser a cet viollon dhiver,
10ans ou je peint ton visage devine tes traie,
ma romance est un aquatique colection ,
mon sang es la clée de la paix ,
es mon sourir ta liberté .
nous sommes roi de ce noel si bon,
regarde plonge toi ,
un sapin es des bougie fond dans cette piece,
ou le bruit assasine ls chant es les lutin animer de friandise,
mon frere nous somes encore des enfants,
les cadeaux couvre ls sol,
es on remplie de ces sucre es jus de bannane,
mon frere le chaperon brulle sur la cheminer ,
cet un joyeux noel,
es les etoiles brilles a notre espoire de toujour rester vivant,

je vien je vien ver toi ,pour la premiere fois.

tendre clochete de ta nuit enfermé de barreaau.

hoin fanny

^^^^

mon tendre sujet,^^^
mon ame s envole comme des rayon du soleil,^^^

quand je voie ton coeur de nuage ,^^^

mes sourir parle que de tes yeux de pluie,^^^

de tes geste qui fond danser ce monde,^^^

prier ^^^MON FAN DE MA VIE DANSE^^^

^^^je croie en toi dans la douleur,

quand la force me lache met dernier minute son ^^^

^^^merci de me rendre le pardon de cette étre ,

^^^te donne le bonheure d'une nouvel vie.

je suis la princesse de la vie ^^^.

merci de me faire vivre ^^^

^^^ma confiance es aveugle dans ce desert,

tu me donne lumiére es soif chaque soleil ^^^

mon plus beau sourir es pour toi ^^^

je m envole ver toi si légére es amour,

^^^pilier de ma vie .

je me suis coucher a tes pied .

hoin fanny

putin maladie

j'ai une pute qui cet coller a moi ,
sur met paroie de cristale,
es qui ronge mes songe mafrenesie clandestine,
a mon doigt le repére de ma patris ,
es dans cet mur isolement j'en creve de cette pute ,
on susurre d etre forte es tolerante de ce qui mentourre,
je voie l'hypocrite qui tape sur l'epaule come un dernier adieu ,
plonger dans mon silence je pense a toi sal pute de maladie,
qui grignotte la cagnotte d'etat assasine les menbres mondiaux,
paralyser de met sens du bien crever pour un mallin,
je te haie pute de maladie,
je te traine cet soir d'hiver ou tu m asssasine,
ou mon sourir disparais de cet douleur ,
ou met larme tombe sans soutien,
je te baiserer putin maladie,

hon fanny

l etoile jaune

amour ,amour, mon coeur t'aime sur la ligue ,
encercle met yeux de brun terre sienne,
au bar une citronelle abreve soif du soleil,
es de cet main souilier d'une terre noir,
qui puice tresor des mort,
dane injurre es jugement ,
je cour apres elle parce quelle brille,
toi mon rayon de lune ,
je sens tes temps tes charrité charnelle,
l'essence nousz a conduit audela des poussé d ailes,
chute cet un secret ,ballance toi au boue de ma pointe,
delis les acteur nauffrage des hommes abandonner ,
oublier sur cet charru .
mon etoile sintille au coeur de la planéte

hoin fanny

fresnoy legrand

éta général fleuris les monument du temps,
es ce pillion vagabong balade les cert bordure ,
transite capitale de nos moustAchus ,
embléme du bien de cet ayon passionel tissage,
matisse lesur l'empreinte des talents artisan,
ambléme de ce pays fresnoy le grand au tournure de bordure
maire au dent dor dorRure de nos implant d'année,
carriter au princesse d'or,
tresor de cartier hérincer de cet boullOIr de bois,
armure pavilone les seris arcahique contemporaine,
de cet talus romaine es alpin danse des chevaux ,
sceaux royal pour une ville au sourir dU P2CHEUR,



hoin fanny

le cheval blanc

comme une tresse je voyagerais sur tes flan d orage,
es laisser ma trace blanche sur tes yeux noir,
je te dedicasse l' image fragile déposer sur cet rocher,
es baiser ton salut tend gratter,
le sabot au danse d'amdalouse,
s'eternise sur cet crepie de lumiere,
holé holé comme un cheval fou la fiévre ma pris,
de ta guerre hostille es ce sourir d'été indien,
a crevache ou a chevauchet petite balade nocturne ,
pret de ta sensualitée,
indicateur du temps de vie ,
je baisse ce chapeau de noblesse au pied de tes croupis.
cour cheval blanc ,cour cheval blanc ,le bal s eternise au soleil couchant.
hoin fanny

flable du desert

au sable es templier couver de cet vert palmier,
de cet bedouin entourré de rose tréniére,
es cet chant de chameau,
dromadaire a faire taire les chimaire,
bave de miel, bave de ciel bleu,
arabie des pavillon du sultan ,
traine au coeur des sel,
abraive de cet thée qui enrobe nos palaie salé,
couver de nos yeux brillant revant de ce pays d orient,
amour amour passionnel derrive sur cet pays san frontiére,

hoin fanny

emmeraude

je t aime silence d amour

mon coeur de badoum

relaxe sur cette cherue attendrie

longtemps le sang les larmes ,

attend ton coeur pour guerrir ma vie,

seul coucher a ecouter tes melodie d espoir,

j'ecoute je pense a toi ,

coeur pure de met instant survie,

mon tendre amour depuis longtemps,

ma main cet poser sur vos année du bien,

séme séme fleur passion de ta chansson,

qu une rébelion s ecoule comme la pluie d amour,

je suis la si loin de toi ,pret de notre dieu qui nous sourie,

espoir nos recceulie de cet liaison propre de nos 4 saison,

badoom badaboom kle temps explose,

sentiment de raisonement emmeraude,

mon coeur es t un badoom car il ce frappe contre toi,

baddom badoom l'esclame de moi joie cet d'etre contre toi.

hoin fanny

la bastille

aux enfants de la republique chemin de trou,
cavalier prélace carabinnier,
soldat es barricade monté ,
feu de joie es fusil ,
bombe anéantie cantite
es nouveau née ,
bastille brille au claire de l espoire,
vaincron nordiste sudiste
es peuple du neant,
a nos richesse d empire .
gréve es famine son d actualité,
bataillons nos chansson,
au loin du boue du monde,
berceau de religion chanterelle ,
au boue de de nos avatar ,
crevon crevon bravour victoire main levée,
tuer nos frére de ces accord mordique,
d un etat inssousciant,
brave guerre es lois ,
pille ancétre respect ,
hoin fanny

blondasse

blond d un carabinnier,
a mitrailier de bleu cendré,
alume les clopes les cosisses de lit,
les blondasses petasses baiser baiser,
de ce rouge gaétane apprivoise gravure ,
de ma sencure ruiselle prodiguer ,
pissenlit dans le poel amour d oeuf.
atomique bombe cotch de musique ,
petillant exatante dans ses resort amour ;
courbe de sorciere envoute ,
jocomde ou monalisa,
charme decroiser des traite de chevelure ,
rouquine de terrain de sfeux ,
de cendre au couleur du soleil,
eclat d or sur cete etendue rouge des sommet du midi,
hoin fanny

amor amor

amor au creux de met seins ,
sanguinaire sorcier toulousin,
mia amor de tendre bravoure sur ce cul de cupidon,
amor amor capitale de frisson ,
lumiere es chansson captive rive mondaine,
salive de mozar sur cet mouche a polar des soir,
bave bave de cet clown des wagoon
prime prime gloire danse de bifton,
hoin fanny

vivaldi

vivaldi

être chienne de l'envie de cet rib ,

conspirer au souffle de sa voie,

aimer contre toi aimer a sécher de ma larme de nuit,

tenir ton corps es baiser ce sentinelle animée,

de ce feux couver es pervers nous assagis,

je t aime de mon ombre désire,

je t aime de ma chaire vandalisme,

de tes couver argenté es de tes traie infliger,

trace es message de nos tragédies d éolienne,

hoin fanny

léxagone

ma flute émet le sons es fraicheur de nuit,
poussiere d argent poser sur les touches noir,
balayer de fésseau de lumiere,
gamme de met bague resonne ,
évadée de son territoire si creusé,
si noir a pleuvoir de nos trotoire,
vollé de cet ailes si légére de duvet d oie,
s etendre comme mon linge de vie,
avancer de cet bottes fossé de boue,
je brandis de se sirop mon liquide ,
caresse ce bleu lagon,
envol le rouge planétaire,
griphone le beton de cité,
parfume les chateaux de sables.
hoin fanny

je peu t aimer

marcher me donne la raison de tenir debour,
je susi ton nom ta question es ton échange,
ta vie es ton aliment d'équinoxe,
la lois des politesses,
es sagesse comme le piquet,
je peu t aimer es tenir tes pied ,tes main ta bouche,
prendre ta maladie toiucher ton coeur,
je peu t aimer a mourir pour ton sourir,
vivre vivre pour te montrer cet quoi aimer.

hoin fanny

la fuite

j ecris a l encre de mon depart,
ver cette etrer inconnue,
a l essence de ma bouche ,
lugubre senssation d amour,
es si ton epingle es si puisé primer,
que mon mal,
je ve quel laisse la marque ,
de notre liaison fatal,
etre bestial ou renouveau des flirt matinaux,
conquie de cette marquise endiablé ,
lechant comme une chatte ardante ,
bravant son pouvoir conquie,



hoin fanny

la piéce d or

nul es livrais a l acte d un pendule,
bercet par les etoiles,
assoupis de ce nouveau jours
lave moi de ce chagrin ,
de cet crise a croupire de douler,
lave mon coeur,
berce moi de ton amour,
de ta fragilité es cet susurement du vent,
lave moi de met larme dété,
de ce vide rester ,
chante moi les primtemps ,
es fait moi rire come sonne les claoche d ecole.
caresse moi de cet feuille sauvage autonne,
enlace moi de ton recceuil doctave.
hoin fanny

la chaine

torture mots infidéle ,
enchainer d or anchainer de fer,
le jour ou vien je sourie,
je caresse son ame es la flamme qui nous guette,
es brasse les larme d e mon parcour,
la ou tu me tire ver un lieux non dis,
les armes blanche chante les drapeau des larmes du diable,
met main efface la soullure es le mal des ingras,
je suis fiere d etre a coter de toi,
fais moi valser es tirer loin de ce ciel si sombre de nuit,
met etoile brille comme ls rubie d enfants,
es les fleu jali=lisse au coeur des maman
hoin fanny

rue de la comédie

des violon qui s enchaine sur des déffilée de grabuge,

ou les cité batie d oreille grouille au soullion ,

des alure de chiote satinée parcelle les terres ,

esleur bouche a corbeille a linges ,

saigne les bandin des dividoires ,

leve point es songe contre levée du paim,

durcie de chaque ,
ijncredible comédie de cet janette .

hoin fanny

gospel arabe

manger de ta terre ,
boire de cet eau pluvienne,
etre digue es irriguer compassion de cet titre souligner,
batire monstre es marrée,
chantée viollon hutte d argent tambour d or,
serpent animée es tapis volant,
flot flot tissue etoffe parfumant,
paliétte es sable mouvent,
bérbére du téléphone passant,
les tempéte de sable,
audesue de la montagne ou baise,
les arbres baise les ombres rouges,
les chant de culture basculer sur ce fond villagois.

hoin fanny

coeur de révolte

pour un paquet bédot des fachiste intergriste,

grisalle le couloire des mur de sa blonde colombe,

casse les verres es les briques rouges,

cet mur longuer de coeur,

bataillier cet nuit piétine nue sur cet lame ,

des yeux témoigne de l atrocce acoutumence,

de leur dédaigne aventure,

si il faut etre rage ou chienne ,

a broyer les os de l inpitoyade inconvenance,

nos revanche serron digne de l eternelle supréme,

hoin fanny

pin-pin

les coquelicot chante devant la bergerie ,

buffet champêtre es robe collor colline,

cocorico cris a travers les lésions du temps,

pâquerette respire le coeur des gents,

la barbe desent lisière es torrent ,

coquelicot faiblis a la lumière,

faiblesse des amour lumière,

caresse tige es aromate rouge ,

croque de ce vert amer,

cocher d un âne ,

mille agrume ,mille pensée,

de ce chant passionnel originel,

que mon coeur es ma langue assassine.

d un pin pin plongeant a l allure de sa carotte ,

le coucher brune cet poil irrissant ,

de son terrier bâtisseur,

pin pin collagène savant

hoin fanny

la berge des soupire

tu joues de ce livre arbitre,

de ce corp si fraie le lait si bon ,si chaud

si miel a des temps d'été,

aussi colant que ce dictatel bercet,

au berge de mon avenir ,

lie moi de ce literale ma desandance du futur habilier,

de met yeux qui longe le residus sur ce lit de flot,

ruissel approvisionnel berge de mon soupire,

trace de mon soupire detendue de ce lit vert.

grace es primaire de cet doigt brille axe d'amour,

ma berge de frontiere je tes aimais

hoin fanny

BLANCHE PORCELAINE

DES NUIT CE RESSEMBLE ?
A LA LUEURE DE MON MAL AU COEUR?
POINTE CLOU2E SUR CE LIT BOMB2E ?
D UN TABLIER DECHAINER?
ES CET FI2VRE CALOMIEUSE ASSASINE MA DOULEUR?
PORTE HAME ES PEINE OU
MAL DE L ETRE PERDU DE CE TEMPS?
DRAME ES SOURIR CLAQUE CONTRE LES JOUES ?
AVENT CETTE DESSERTE D ADIEU.
ES CE LIVRE QUI RESUME A CONSUMER PLUMIER ENCRE D ACCOUDE.
BRSE LES CHAINE D UNE VIE DANS L IGNORRANCE .
BLANCHE ENSORCEL2E DE CETTE PLANCHE COUVERTE D OMBRE
HOIN FANNY

beautiful naomie

pretty young naomie,
beautiful pour toujour,
pretty zoom picture,
bluddy marry naomie jolie
mélli mélli a vie noémie,
corrégraphie es micro 02 amplie ,
jolie zin noémie,
bluthoom aquaruin de ce rouge primer,
amie amie noémie ,
on ta primée aimée ,
gardée ,secret a vie douce petite fille,
au larme sallée ,cheveux enveloppé doré,
mamie a vie naomie

hoin fanny

fouvaste

le fou qui rougis d un four parcemet de pailette,
ou dentelle relis coin des tables longer d etoffe de soie,
es cet fleur vennue de si loin conquie jeune es passionante ,
amicale qui cet cannaliser ,
d une lueure devant un vin ,
une eau croquis,
le fou cet cacher dans la cheminer ,
es determine lusure passeur d'aupres de l altesse,
rose noir poser sur sa croix ,
un fou rire percu d une culture litéraire ,
chanter jolis pain ,riait dictateur soumisant,
je te fouette de ce fusot a angeline risolet ton cul ,
de ma plume d adent ou eve maudit le paquistant,
vivoltant met danse de sallon ,
ou un fou un pourpre de charnelle,
dessine mouvement de vent,
danse danse fou fou de joie,
hoin fanny

le tour du monde

jouet de ma corde user ,
ma voie sur le sentier d'aimer,
chanter juste une priere partager ,
st marie de la mer des gitans,
que le temps a changer ma roulote,
roulle sur l inconnue de l amour,du partage ,
les yeux de couleur ilumine ,
nos vagabon qui joue le temps d'une pluie fine,
le son de boie couvre cheri les notes musicales,
les robes flotte sur ce fond noir iluminer d etoile,
claquement de main ,de doigt ,des chant transidentale,
tendresse ,gentilesse son le fil dor .
heureux l inconnue de mon impontheose ,
fougue de met joie satinnée,
parcour un monde a aimée,
parcour ce monde séme l été de la providance,
la clémence des matin soleil,
dans des cheveux de soie,
dans un galot sauvage,
ou couteau es odeur de boie ,
tranche jeanbon de patrouille,


hoin fanny

casanova

il y avais une siréne au chants d un casanova,

chaque nuit ou la lune etai pleine il danser le flamenco,

j ai le coeur d une hirrondelles ,

es les yeux menthe a l eau,

pour pavaner ma belle ,

je méllanger ma culture d oxydento,

sur un sable chaud ,

vol vol petit oiseau,

créance du soir ,

déserte de cannibalisme.

hoin fanny

fruit de passion

contre toi a tenir fort deboue droit,
contre moi ton coeur qui bat,
es sentire tes larme tomber toue contre notre corp,
debat de chaire sur cet vie triste que la pluie balaye,
accroche toi toue contre mon corp ,
encore si fort bas pour toi,
tremble pas, ma voie resonne encore contre toi,
es cet chaire de poule frisonne comme une peur,
de ce dernier reflet du matin,
fracture toi de ta moitier,
garde moi de ce souvenir d image ,
de passage de cette marié promuté d un temps come reine,
embrasse moi jus de ma passion,
qui sifloté soue la cannicule de ma bouche,

hoin fanny

lange au cheveux blanc

odeur de ce savon qui pique comme un harcennique,

es te fait tourner la téte a st germain des prés,

conquétte des épées des platine de diaman,

le paim de fraternité ,de charité,

prime wisky es dague d or ;

egorger les porc de la lever fatale,

du bronxe aussi noir que ce trou ,

flotte courrant


hoin fanny

tropique

etouffe moi tropique ,

ethopique du capricorne ma pris au coin,

sur ce blanc es fin sallé ,

ou prélace requin es sardine ,

ou cantite deversse chagrin de verset d opollon,

ou nuage perverce avancer de rage s echange,

carnage es defigure face grise ,

ou crise de sourdin e,

follie follie meurtrie ,crve de priére bref ,

tendre tes mots ,tes joue ta voie,

tendre une corde ou les sylabe sonne résonne ,

flotte dans l aire come la note de dodo l enfants do,

mi sol my résonne ,

hoin fanny

rateau dor

je t aime de met mots ,

de ma pasison dessiner pleurer,

dechirer ce chagrin de traverse ou les train convoie,

tue moi de ma parole de cet s ouvenir de ruet ce sol ,

nos plaie ouverte qui nourire les autres ,

i ndividus de rue clochard au reve noir,

braye de ce noir qui a bar bouillier nos été ,

eclabousse nos figure,

cour de ce crime d etat ,

des textes de tendresse de danse pianiste,

mourir mourir sur met pages jaunis ,

es de tes visages si gris

hoin fanny

hoin fanny

le gout

le coucher es sombre ,
es les saveur hamer ,
je suis charbonnier ou polichinel,
avancer dans le neant d un labyrinte ,
quel reméde ti tise ce parchemmin ,
d'ivresse compassion réluire de cet senttinnel,
tracquer chasser, plonbe moi le trou ,
arréte ce pérriple jeux chat es chien,
la guitare me somenol,
abrite créature des fond ,
bouffe moi comme ce verre qui creve tisse la soie.
fade d envie de tuer nos coeur nos visse ,
un passe ^passe ou la clée s

hoin fanny

le téléphone pleure

alo ici la ligne du coeur,
un appel des paroles qui changes ,
ma ligne de vie ,presser de courir,
ma vie es une mille lancet sur un ciel remplie d etoile,
le sourir dans la poche je decroche les cloches des sommet,
mon summer es une lame qui glisse sur la glace.
au oui fais moi frimée de ta voie rock deshabilier,
oser inconnue confesse es féssé so vos préliminairre de santé,
appel rose appel gourmand ,
friand de cet guillandise surprise ,
rase moi le flan ,leche moi le flan,
grignotte papillote confise,

hoin fanny

la lanterne

secousse flamme es fil ce dijoncte,
papillon phéhérique ce perce ,
cet rayon violine ou bleuet,
de cet long tronc reverbére,
lampadaire ce joue,
de nos yeux de panthére,
rampe illuminée ou bougoire
crache flamme du coucher de lave ,
cet essence vert qui vol haut de vaut trousseau,
fillon de coeur meurtris du bandito aimée,
joue du saxo devant madame filante ,
es amer et tapis rouge passion de cupidon,
bondis brandis de cet arceaux,
lanterne des ruel du coeur,
vie de tes paradis bandis bandis ,

hoin fanny

danse des loup

compte chante danse autour des lillénnaires,
blasféne mon profil,
met joue rose carmin,
es ce sac de lésion crapahute de cet oies d'alaska,
compte 1000 fois mesbrume es brun de cheveux,
pose toi es endose le lion rugissant,
compte fil doie d argent,
corrompte le fil du temps,
berge de notre romance,
mariée léllang des ourragants,
comptes mille es une nuit ,
joue moi de ton parapluie,
funanbules des roi ,
comptes juste toi es moi .

hoin fanny

le coton

les fée ce fond soufflet leur juppe d été,

elle tourne comme des parapluie bléssé,

es lache des nuages doux au toucher,

de met pas assechant je glisse ,

de mes assécher je rue de ce blanc habillé,

cocasse odeur pistache de coton doux,

transperce mes joue mes charme,

de blanc coulisse cet drapeau ,

tombe es roule boule es flocon légée,

une planche avence etendue de verre,

hoin fanny

les yeux de l'oracle

chasse djil es l'oracle,
berce l'oracle de nuit etoilé,
recette camisolée au fond d'une sucette,
j'irré a la pioche pesé met main de ce louis,
résonne rire es passive de ma réussite,
périlleu séjour au yeux éballye,
carton rouge masquet de ce bal ,
libertin es feu rouge obe les lévres des balcon,
opéra bastille,ou conquétte dance rat es chaperron,
califourchon j'irrai métendre sur ce fil long,
comme mouillier de tes prouesse molliére.


hoin fanny

alias

traverse les temps;

boulverse les fleurs,

tourne cheveux au vent,

manege d'etoile siflotant ,

ma lianne tire a yanne sur une corde raid,

griffonne tableau es magnétophone de cet voie perdu,

songe de cet voix lactée,

l'encre du sang,

le coeur amaigris,

boulverse l'échantillon de toue cet chansson,

comme ma pendaison de ce chef lieux,

hoin fanny

ruée de pluie

ruée de l'or brave les terre abimées,
commence chatiment divine bonté ,
de ces berceuse d' abondance,
brille étendus sauvage au sommet de diaman,
un coeur d'islam,
une hame d'islam,
des main d'islam,
traverse les torent es réve a vennir.
l'etendue du bien,
l'action de bien fesance
d'amour eternel ,passionnel,
qui traverse la nuit des temps,
des parapluies qui tourne au cadran fulgurrant,
le fluide s'étalle au travaileur du dimanche,


hoin fanny

la course

mirrage des feu d amour,
chandelle brillante sintilante ,
rayonnante crepitante verset de nuit.
du noir au blanc du gris au brillant,
elumine danseuse es etang d argents,
chevauché de l ours ou ,
le cuiston bouilonne sa casserole,
au centre des sanglot des corp abatus,
plage denuder de nos sacre pénitant,
rayonne ,volle volle sinphonie de ma vie.
remplie leur bidon ville,
de mon air de lumiere.
hoin fanny

ivresse

roule boulle bouteille devie,
ma femme ma lumiere ,
cette liqueure accroche ce foie pennible .
tourne vrille de pecher qui m enlivre ,
de cet tendre baiser si sombre
tourne tourne papillon reflette ambission
susonne envoute l'instant de satan,
baise, baise met main ,
qui tetire loin du chemin du soleil.
glougoute au goulot ,
parasyte de ma vie
fait toi violence de cette mort si intense
reflet de pourris de cet dandis.
parfun de bleu outremer ,
empoisonne met divergance de memoir
boie de ce livre qui enlivre ce corp de noblesse
hoin fanny

le panier

j ai un marché de la vie ,

un contrat ou les million coule résonne a chaque opinion,

une dent qui durcie grandis résonne ,

un soulier si fort resonne encore,

dans cette rue qui surmonter des pierres

des talus en haut , une croix planter,

un homme au regard bleu.

es met bras eccorchet de cet aiguile du coeur,

l herreur d etre fort,d etre homme,

de faire des comptes a des enfers ,

couloir de ma voie guide met pas,

met chantier se son abatus.

hoin fanny

l aile du cochon

vol d un porc au groin si poluent,
comme un cannibale devore les pauvre marronx
les abys des sentinelles,
le crime des sentier annuel,
justice partiel de l avocat ,
des invocateur baiseur qui son pourrie ,
remplisse la paliasse des crasseux verreux,
bave crac he bsur nos bombe nos nom soulier,
touche les cendres d hiver ,
le porc a croquer l aile de nos vie,
paradoxe sinconne video de madoxe,
préléve met entraille bouffe moi rapace vert glacer,


hoin fanny

la sirenne de nice

le chant de la sirenne tape ,

au bang bang des vagabon,

je me pique ,

monotonne des croyant,

des priére encercle ,des imam ,

pasteur interrieur des passion enséstrales,

le blame d aimer ,

d envie de prémédité des gestes d amour,

conquassé le grains rénnaitre,

cet fautes, beauté de l'éxatitude .

paix d un chant de pisenlit couver le lit d'amelie,

bras reliée au cable d un son ,

ecco opresser de cet couloire de dragon,

le reguun filtre chaleur des eccorse chaud,

de c e siflet d olive glisse colinne de pastaka

hoin fanny

putin vie

tu balaye les chemin de sang ,
croie gonné les nuance des brutalité ,
es assourdir les cris des mere,
bruller le temple aimer,
des bougies par millier s emflmame ,
es les coeur valiant d erougeur ,
s exclame dan des chants de priére ,
pour une paix mondial,
comme nos cité endormie,
reliée a une cause bennie de dieu,
es cet main levé comme approbation d un signe.
viol met crime d aimer.
je recidive de cette passion tand provoquer d ecris.
accrus sans rancune j'aime tenure bavure ,


hoin fanny

babys

chapelet de billes de fer ou de verre.
cristale reflette de s mémoir cachée.
un enfant au coeur des pleures,
babys au racine noir de conquette
a la bataille qui divise les racines,
appel le monde un enfant aracher au coeur d uen mére,
ou la peine marque nos jou ,
ou le manque tue les paroles,
l'enfant pion ,l enfant qu on tue ,
d avoir qu une opion qui fausse sa vie,
je ve une priére qui va libérer cet coeur .
partagé ,oublier l abandons .
a ce pére qui marche dans ce noir ,
es gros rend nous notre babys.
on ferra de sfétes e s traduirons ensemble une union.
batisé son coeur es aimée ce qu ela liberté réserve.

l'espoir d une mére.

hoin fanny

le chapeau

un chapeau de paille ,

tiré par uen paysane de blée,

ce fit couleur du ciel d été,

cet un adieu a ce pays tend aimer,

a cette hiver qui cet coucher pour influencer les verglas .

toue ce que j ai laisser de cette amour batie ,

a cet oiseau de chasse qui immigrons plus jamais,

faire face au miroir qui nosu separres,

ce dire que les baiser chaud ,

son souvenir de nos guetto ,

de cet fléo qui circuler de nos verbes ,

es toi partis loin de nos esprit ,

detruie enlever de nos pied ,

de ssignature de cet arbres piétiner,

hoin fanny

le crime

je ve etre la rose au boue de leur main,
es la voie de la sol qui innonde leur matin,
une herbe de vie,une rose d envie,
un tablier de fer es un traitement qui colle .
qui ronge leur os ,es impose la drénalinne
j ai le verset dans le sang,

es mon coeur de colombe,

j ai le crime a la rymme,

es la plume d un gitan.

un tracer en verllan ,

pour l espoir de te voir encore.

hoin fanny

le bithume

met ailes on brullée ,met yeux on coullée,
pensé apres ce passage de missiles,
detruie nos nid d'oiseaux de paradis,
fumé qui a noircis les peuples ,
les religion aneantis l horrizon de demain.
ma couverture et une face de ce monde,
qui nes que de carton,
bercet par les tires de fer ,
monté des tour ,pour mieux sauté apres,
crachet aussi loin que cet bulding ,
ou les cris des sirénnes ,
qui lache pa vos souvenir perce le stinpan de la vie,
qui delis le scris les horreur de l'espéce humaine ,
carabinnier ou sentier de la faim conduit a l horreur .

hoin fanny

david

on s aimer ,la balade a mobylette
les richesses du temps.
s embrasser des oduceur de vie,
chanter fumer fuire les cartables ,
la balade des enfants bleu,
enlacer comme des chats,
juste lamain es une bague comme trophet de vie,
es les disputes je t aime plus
je t aime encore,
embrasse moi passion de met jours,
adieu amour de ma vie ,
partis de cette univer ,
sans revoir cet yeux vert clement ,
qui me jouet pierrot ,
adieu frisson de met jours ,

hoin fanny

le lac blanc

un dernier recceuil avent de me noyé dan ce vide blanc,

un merci , signe du coeur ,

a plaidé mon amour sur cet chemin dessiné du destin ,

a courrir a aimer partagé ce site au lueur des matin,

coin de cause ou la réalité es pénible semssible ,

ou le scrimes son parler chanté es fond télé réalité ,

suis les coin des riverains,soue haute tenssion ,

relative ma soumission au crayon blanco éfface impurté,

j'avance le drap levé ,

eternel coeur devise du principe de liberté,

ma délivrance .
hoin fanny

confesse

on ma dis que ma peau,
ne vallais pa plus qu un chien de la vie,
la couleur d' une blanche neige,
es t un recis aussi,
es mon sang un ocean de feu,
on medis je susi destin de toue un empire ,
je voudrai sdonner l argent a cet pure 100 ,
qui meurt chaque nuit sur un terrain bombé d efosse,
lache tes mots dans une cuve ou créve les pourris d une vie,
j ai passer a confessse de cet auteur qui mon trahis tuer ,
dévaliser le cris d emet nuit,
j ai chercher une paix ,
qui etai a ma porté ,aimer comme survie ,
le souvenir d un pays au drapeau de paix,
les appel le bras levé de cet mots qui chattis bien,
j et appel témion du soleil ,ma lumiere ma raison d exister.
monprélude de l éternelle paix.
hoin fanny

la terre au peuples du monde

nous sommes les serviteur de dieu ,
les coeur de la liberation ,
d une guerre ancrer trop longtemps,
regarde moi je suis la ,
apres la maladie le tourment ,
dieu ma donner le chemin de la raison,
es puis son pardon,
j ai aimer ,crier ma douleur ,vus tomber mon coeur,
moi je vien des citer ,
la caravanne chargé de langue du monde.
des rue des refuse ou le sdeluge demots esclame des pages de sang,
léve toi,je me sens forte pas morte .
a battre les cartes pour amasser fortune du futur,
regarde moi princesse d etat mon coeur cet levé apres la mort ,
ecoute moi es d'ecris les larmes des peuples,
qui chante pour une terre de feu,
passe moi main forte de raison ,d explosion de l exclamation ,
de perte de raison face au cris d un enfants,
dedicasse a mon nom effacer pour un passseport ,
a l appel que dieu ma donné merci ,
écoute moi j ai la rage de vivre de vous voir heureux ,
aimer la vie ,aimer toue ce qu edieu vous a donner,
passe moi le temps laisse trace a une dedicasse ,
d'une magie au fond d el apensé,
créer avancer soulevé les rages de la haines.
basculer ver la page du landemain .
une vie une étoiles une terre .
passe moi ton appel pour notre dieu eternel .
hoin fanny

rabie

cet un cris une culture un savoir,

un livre con plis ,es relis .

cet un nom isuel qui prime l avancer de l' espoir.

un fusil au bras ,

un casque montée

le uae

unir amour éternel,

chaine de lasitude ,

reluis de cet faste légumes pendu de leur sort.
hoin fanny

l'été suspendu

en haut de cette arbustres,du vent levée,
ou s appytoie les uns au autres,
de ce clima canniculaire,
devant nos yeux ,des sables se lévres aux tourbillons,
es l odeur plane de cet moulles craquantes ,
ou devores petit es grand.
es l exclame de cet douce balade de notre digue ,
passe les chiens es chat depuis décénis.
le crépuscules de follis ,
ou pause ces gent a ce retrouvé.
boire manger dormir cet sa le nord.
le temps d exposer au rayon de chaleur des coeur vivent.
hoin fanny

morgane

petite fée d amour au cheveux d'or,
es au sourir d ange ,
entendre tes eclat de rire ,
te serré toue contre moi.
aimer la vie comme la poussiere des rues,
es te parler de ce clochard qui devenue roi
de cet voyage ou je voyais ton visages,
ou chaque coquillage fesais ecco de ta voie.
couvrir de tendresse te cherire d amour ,
petit soeur ,petit soeur ne pleure pas,
petite soeur ,petit soeur je pense a toi.
commecet fleur demille couleur ,
lancer par des angraie d e terre,
ancre nos soliture en vain.
petit soeur petit soeur mon coeur parle d etoi.
parce que le temps prélace effacé les miroir ,
ou la mort cet fait plus fort ,
que l amour d aimer.
petit soeur petit soeur mon coeur peut que t aimer.
petit soeur sourie a la vie.
hoin fanny

louange a la fleur de vie

louange a la fleur de vie,
si parfumer ,si captivante,
odorrant de peau de satin,
nenuphar des étangs sur ce lit de vague,
valse au rué des insectes de l été romantisme,
arpente fenétre des trémiére roseliére ,
ensoleil les vert gazon des clotures ,
monte comme la grappe du soleil,
parme les entrés de cet bourdon ,
crépite a la perte de cet graine ,
séme le vent séme le germe influent,
hoin fanny

lidole de met jour

tu es loin, met mon réve si pret ,
tu chantes es j'écoute le sens du drap qui flotte,
le temps bouge es les oiseaux disparaisse,
le noir prend la marge au jour nouveau,
es mon coeur s alourdis de cet corbeaux ardent,
tendis que la braime azure cris au loin de ce grisalle .
déshabille met mémoire ,
ma larme de ce lac majeur ,
qui brandis cet chates de goutiere .
hoin fanny

réanimation

réanime la passion,
terre des vertus anciennes,
crepe les couleurs de ces cadres émmouvant.
au crépuscules des parasytes d'anglophone,
les talus de verdures caches le syeux de lucifer,
es cet pallyen coucher sur le seuil du foin,
savouruex moment de frenesis,
de leur periple amoureux,
de danses indienne d'une pluie d'été.
soue la bascules des feuilles de verdures,
de cet flaque alourdis d une éponge inbibée de trou .
sur ce sallé de la mer ,d une odeur farcis les nez.
d'un baiser seul sur met mots sablée ,fourré.
couché a t embrassé nos nuit nostalgique,
captivé ton romantisme endiabler tes soleil d été.
la foulle déchainnée de cet deux amour,
berce toi en moi ,ryme de mon sourir.
hoin fanny

le pousse_pousse

guetapent de crime pousse pousse le vide,

pofiler de cet portraie inconnue,

vision projetté sur des talus de douleur,

je salus toi l'aimer du diable,

qui croise mon drapt blanc de lin,

comme une chapelinne des chemin levé,

la goute au nez es la larme a l oeil,

je te proméne au profont de verneuil ,

hoin fanny

la guetta affrica

mieux que colunbus .

monté ,grade apres grade,

obstacle apres abstacle,

saigner de ce corp de cet larme.

croupire comme languille ,

puéer de cette créve de merde ,

qui assiége cet approbateur.

a genoue coucher assis ,

les jambe écartée ou levé au salut,

brevé victoire ou chants.

avancer s'ouvrir aimer a toi lumiére dieu allah,

guerre de grace , crevace, des chars .

tire a vue sur champs es vainqueure des vestibules,

hoin fanny

tendre caprice

Monte tendre caprice

partis la bas dans sa tranché soudaine de son devoir ,

aussi loin de mon regard ce plonge dan nos souvenir de fou rire,

je caresse ta photo ,comme si tu aller passer cette porte ,

le sourire es la joie qui nous emporterai ,

dans z un volcan brulant,

de cet accrus de vin verset sur nos tendre poitrine,

mon fusil de nuit ou tes éclat me berce ,

je suis assis au regard de la porte de la libération,

et toi la bas dans un combat ,

mon tendre frissons ,

tendre amour ,

un baiser poser sur cette page ,

hoin fanny

enchainer

enchainer

sans toi

sans toi courrir apres tes larmes,
il faudras nosu battres,
pour voller ver ce monde d epaix,
ne pleure pas ,pose toi contre moi ,
je suis ta colombe celle qui s étein au loin de toi,
penche toi ,je prend ton coeur ta peur,
plonge toi en moi viol met droit,
je susi qu une vercet coranique,
juste l éssentiel de l'etendue de nos perchet perdu,
si tu maime sourie moi ,
ne pleure pas regarde moi soldat ,
seche sur une nappe d e mer ,
refloue de nous a etais si trouble ,
es le drame de notre dame crie s appytoie,
ne te plie pas ,fait l amour brasse toi tes coquillage du soleil.
je ne te chasse pas ,juste pose d un discret velouté .
un café la pose d un envoie d une dictée ,

hoin fanny

coeur de cristal

si mon coeur pleure les notes ,
de notre composition fleuris,
met main a la plume,
es partis dans une mongolfiére
la douleur est un poid un cris ,
une violence que ty m efais,
méme si je souffre comme un animal,
perdu dans sa campagne,
il me reste souvenir de notre passage de cette terre.
ambrume d une corne appel le lond des corniche ,
dechire dentelle paserelle le commun de nos lien
oublis pas ,oublis jamais tendre lumiere,
bercet de met pied,
commece cristale laisser perdu dans cet mur de charbon,
un coeur seul dans la nuit
hoin fanny

divorce maroc

le coeur es t une amand qui peu ce fracturer d un coup,
d un polichinel de lois mal structurer ,
de s defis soudé du coeur ,
des aliance d or qui laisse ce gout de poison amer ,
les larme de la chaine de jamais etre celle si ,
chancelle goguin seul batazar cet eterniser nos nuit etoilé,
nous sommes sur le bord de la falaise ,
deux corp deux coeur,
de smoitier figure detruite ,
a vomire nos trippe sallée,
d une revue pubblication d un matin chagrin,
qui a toue ravager en ce juin ,
le tambour a la main ,
je reprend ma route,
hoin fanny

laube de limage

pret de mon ame ,
je me suis vue trainer,
capturer les fée ,
es l' histoire magique,
poser des baiser ,
ruéer des bruit de nuit,
a l'aube de l image ,
encré l'espace de ces rides,
suis l'horrizon beau,
des poissons d'ete grilliers,
devant fine bouche affamées de la chaire roses,
es de son coeur de frisette ,
l'amour d'un appat ,
chante chante le temps d'ecrivain .
de met coquillage de met récis.
hoin fanny

batir de cet main

monté sa charpente debranche lasséré de noeud,
liée accrocher par des lacet de chaussure ,
ma maison batie d amour,
une unison batie de face capitol resonne sur cet sol ,
crepite sur cet haut des clocher ,
resonne la cloche notre dame,
creve ma vie,creve ma folie,
combattre toue depassé les roi,
les champs les terrain combat,
devenir une seul ambassadrice .
etre seul pacerelle de met pélerrin ,
des gent achevé des martyr des vies,
je susi pa cheveux au vent ,
juste petite fleur .
battie l envie d aimer ,
batie l envie de vivre,
battie les richesses d eleur coeur,
je battie detruie jamais ,
mon coeur de paix je me bat .
hoin fanny

vacance fort mahon

je balade ma valise, ce sac au sable fin,

comme un royon bataillon d infortune,
tempette noie lit es duvet de caresse,
chanter chanter sirenne au traumatisme .

bouquiner de cet galet .

es le coeur blésser de ce chants d'amerthune,

bagatelle franfola,bavure de torchon

j'ai rêver d un 5 étoiles je vivote d une flèche en plein trachée,

critique es infâme direction vol jeunesse es gent infortunes,

comme se royon captiver d or es de prouesse.

l etandars serra achever .

es royon serra crever.

hoin fanny

pleure ma france

on ta couper le nez es les racines,
dicter tes peine es le relationnel,
supprimer les usines les fong gris du nord,
reste juste ce froit du pol qui nous rate de diner,
crevasse travailier comme signataire prfecture ,conjonture,
tampon inbibée de cette ville sandre qui a debordé de cet corigé;
imprimer comme ce cercle de notre pays,
si riche de nos dame es du triomphe de nos guerre,
jusqu a la panoplie de parapluie senteur de cocochanel,
es cet boom boom du 14 juillet tombe comme des cotillon defallites,
la pluis devalle les ruelles ou les pas cour apres des chemin de fuites.
des sirénnes de svoitures cloxones comme un jour de joie,
sans professsion je mis fit foie,
de cette raison de ce manteau si tremper es lourd du voyage a traver la france.
pleure pleure pauvre france

hoin fanny

demain

si je voyais une vie de pastita es revue de camomille ,
ma vision ce deffinirais de rose saumon planifier le ciel ,
le choux du potager vermillon de ce monde ,
ou le projet actualise les bling bling des crochet d'acteur,
la ou j'entendrais l'appel des sages du minerais tend rechercher,
la couverture du monde ce chauferais liai tend de main,
l'herbe fraiche parfumerai mos lit ,
ou l'oxygéne de notre vie serrai un sorbet de myrtille ,
la ou je t'enmene ,
la ou je ve vous voir, les crepuscules a l'aube engloutirais la passion du travail ,
chaque broulliard serrais de la barbe a papa ,
le rose deffinis un paradis de l amour met aussi,
naissance d'un nouveau née,
je serrai poete ou ecrivain,
met je resterais maitre de la facination des jours prochain,
magicien d'une vie met acteur de toue les coeur,
liberté penser rime avec l'osoterrisme ,
je serrai devin pour pas avoir de faille dans ce bleu du nord.
mon chemin sentirais l'aubepine es les pissenlis de fresnoy ,
ou les larmes coulerais sur ce talus de jois aussi grand que le pantheon,
es les ablations purifier au coulie d'une pluie printemps ,
se futur de jour de l'an toue serra elegean ,
preparer z ym habilier de parurre de vos geant blanc,
mon allée serra d'un jour éclaten ,
rendez vous dans quelque temps ,
prend moi juin ou peut etre demain.
hoin fanny

le citron vert

pression cumulusse de la vie,

je ne plis pas les yeux de ce frisson glacée,

transperce le sang es le plie des rubis ,

l acte de ce sang qui acoulée es de cet bille blésser,

na plus de plure de cet vie passé,

ruiselle hamer de ce crime audieu,

de met jouissance a te sentire contre moi encore encore,

de nos ame perdu dans ce temps arréte ,

midi les aiguiles planter retenue sur ces peau d ambre,

de met canine j susure tes tracer souligner de nos amour ,

caresse un fruit ,croque le linpide de ces peau mur.

hoin fanny

mon fils

mon éclaire de vie ,

grandis au loin des amare de mon grand etangs

la voile s etend dans ce vent ,

qui l emplifie de cet vaste pays,

de cet soulier de rose rouge,

es de caplan ardis d epine grouille ,

devant cet fan de poisson volant ,

qui pend crapahute de cet eau bleu de coco,

si grand a boire toue cet flot qui s epuise ,

je te dédis ce élixire d amour,

d un coeur de maman ,

baladée de ce son bambino ,

ransson de gloire au pouvoir ,

berceuse de coeur a mon etre si jeune.

hoin fanny

transcrire

je ve transcrire sur cette planéte ,

un dernier ecris de ce qui von dispâraitre,

de cet vaste verdure les tonerres raisone,

prisonnier de

cet tour de cet discussion si pousser,

je susi que ton eternelle preference,

l unité centrale du coeur de cet pays ,

je susi que passive es expression de reboue,

on peu me trainer menchainer ,

pour anéantire ce que je suis.

jamais tu aurra son coeur,

car il mappartiendras a toue jamais,

de cet savon jaune vert es coquillage ,

je susi qu une propre de la mer des fontaines pure ,

hoin fanny

expression

liberté d expression ne ce dicte pas,
lache des mots qui ce cogne sur de smur de fer,
la liberté d expression cet une colision de violence ,
liquide inverssé qui s etend ,
dans des draps des cantiques du verset,
le regard agard saignant de mon passible chagrin,
il passe a bar tabac chaque coin de nuit qu une cigarette s incline.
féroce griffe de douleur s etale sur nos chaire de douleur,
es toue cet couleur aromatiser,
ce rondeur me fond battre encore un peu plus le coeur.
avec faiblesse de met yeux si rouge salis ,
je couline met penser sur cet expression de ma nuit ,
comme un cadeau ou un poison je te recvrais .
hoin fanny





hoin fanny

les indigénnes

je fait de mon recis une révolution du bien fondé,
des prises de cages de cité d abus d alccol,
qui enfle les cours d ecoles ,
de leur fumer des nuages de roses,
pour que les poumon soies pas des coron,
j efais ce qu on m instein me dicte ,
parce que, dieu es mon etoile,
es met prieur met guide spirituel a mon oiseau,
pour plus voir des larmes couller de leur masque ,
du creux de la vaste planéte on y répéte les droits sacré,

hoin fanny

paix sur le monde

gloire a toi peuple de dieu ,

le temps ses venue de vous ouvrir a un monde de gentillesse de sagesse,

ou les bombe von cesser

es les être humain serrons plus a l'écoute de leur frère,

es dieu verse sa lumière ,

sur cet terre abimer de nos main cruel ,

stopper l'injustice que vous convier ,

a percuter vos propre mère père fils fille,

a détesté ce que dieu vous a donner dans des vis,

a créer un globe de douceur es du meilleur,

une fleur peu encore jaillir de ce que le diable a planté,

aimer vous les jours son compté ,

es seul dieu cet quand nous serrions perdu,

ne faite pas une terre de pardi ou martyre ,

la ou toue mouvement en serrai plus un chien ,

plus une plante,cet trou noir qui régnerai ,

juste des colères de dieu,

celui comme chaque rêve es t un cauchemar depuis vos enfance,

nous sommes que les serviteur de dieu ,

des anges passive a recevoir les tonnerres,

pour concevoir un jours que dieu a donné,

soie une photo imbibée sur cet terre ,

ton miroir encercle ce brouillard ,

qui ve empoisonner nos oasis,

nos rayon du future,

protéger vos voisin es donner les main ,

au enfants de cet peuples oublier,

qui meurt de faim ,

es au couleur de cet drapeau couleur du ciel,

on peu lever des stelle des banderoles ,

cet une communauté met un monde qui dois ce plier,

verser les chamade de vos religion de vos ancêtre ,

il faut aimer son cœur es accepter ce que les autres soie,

bannir les contrainte es franchir pas a pas tous ensemble ,

des nuit étoilée de nouvel gamme ,

dieu es la romance de ce que ton âme ccepte ,

hoin fanny

cadeau d amour

Cadeau d amour

ce matin je recoi une pluie d amour,

es le parfum de met tendre fille,

un bouquet de pluie d orchidée,

es un tendre baiser coller sur ma joue,

des rayon du cœur,

es mon ame sœur crépite de vos chaleur,

un jolie cœur perchet comme une rose breveté,

un sourire es le plaisir de vous voir grandir,

verdure du champs du nordiste,

s' exclamé de rose paille ,

les grain reflet couronne es bille de mer,

moulue dans ce fond du lit ,

forme commémorative d amour,

mai débat de tendre maman aimé,

murisse précoce amour ,

destiné de plaisirs de joie de bonté,

hoin fanny

folie d'été

devore ce corp qui es traite de tes envie,

assasine met cris es les chaleur d'éthique,

prime mon association de

ton odora d'ésthase ,

naissance d un coeur du coom coom,

un verre sans traie sans tache ,

luisant au fond de tous,

chaleur qui degage des musique accropeste ,

etre venuse ou juliette ,

abolire toue ces morceau de join de nugage,

l'expresse de vivre sou passé les liure de cechat haté,

hoin fanny

l aurore

je nes que la couleur de mon ombre lunaire ,
es la chandelle qui s epuise met nuit agité,
de ma douleur qui me caracterise comme béte feroce,
es cette tendre violette poser devant toi,
je ne spa de champs d or ou des oasis ,
met simplement un olivier ,
un coeur au concubine tourne comme sur un fil,
etant moi au longue de tes pays si loin de djerba,
de ma peser ce matin es si charnue,
feson nous nue de cet accuponcture,
devoron nos ancétre de sa chaseté .
hoin fanny

emputation

j'ai ma tete qui eclate,
es met main paralyser,
mon corp qui tremble,
me samble dicté un duel de douleur,
emputé de met jambe ,
perdre l'enfance trop taux bomdir ,
sur des facette incompris,
grandis sur une hache qui tombe .
rivaliser ou mourir
bat toi ne te lache pas,
avancer sans rien comprendre ,
de cet vivace raynure ,
enfin la fin de cette dictature ,
hoin fanny

bounty

on le voie couver le soir d hiver,
il les de neige habilier d ete ,
fontaine de beauté es prelude de lune,
des billes dessine cet rouge carmen de nuit,
es si tendre doux a la fleur du passant ,
sa petite langue chatouille petit nez es plaisire du matin,
si petit met tendre ,
petit coeur blancs etend cet dent au copos de pin,
rafiner le naim parfumer ,
de sa clochette ce balade sur un air baltique
hoin fanny

un bateau sur l eau

si j avais un lit je voudrais qui flotte ,

es me transporte dans des royaumes de secrets,

ou j y imposerais mon labelle d arts cosmique,

je plongerais dans cet eau troubles de l'amour es les phénoménes,

parrétrer de main de flamme delarme,

pour voir disparaitre cet gent atrocie ce monde,

es laisser ma blancheur es lueur au enfants des neiges.

dresser des chevaux de s chameaux de fer .

un bateau a force d etoiles .

hoin fanny

la craie

un nom fai surface de ce mur es de met pas,
je saute saute pour pas effacer mon baiser,
d une craie dessiner un visage des sourir ,
le soleil ,es le partage de toue notre histoire ,
pas d'argent juste des main es donner egalité d'un sens .
celle que je réverais.
te donner l envis de vivre libre,
de reve de beauté,d aimer les ailes du frenchise,
d une tour oublier le sprobleme,
es la richesse des autres,
dessiner d une craie grasse ,
qui coule au creux de met larme,
un plateau de bleu ,blanc ,rouge,
dans un nid j y metrerais un anneau ,
pour qui soie encore chaud ,
que l espoir continue .
un jour j ai aimer histoire la mienne.
hoin fanny

le banquet

les bouffon de la reine,
poulet es jus ce remplisse la pansce,
embéllire les vennue de jeunesses,
couronne rayonne au fond de moi,
de cet disparue abatue decapité,
soulignet dune traie d'une courbature,
disipet pour mieux regnet,
tuer pour une dictature democratie,
je mange de la révolution ,
écoute poison es scandale de vandale.
rayonne sur ce fond de puit ,
ou pierre es trésor son verset dans ce trou de mille mieux.
hoin fanny










mange

les interdits

le soelil cet levée,
es dans un derniere regard mes phrase,
te dise combien ce monde es cruel bébé,
interdire l amour interdire toujour ,
cette amour de ma vie .
moi j ai crue en toi ,
es toue ce que notre futur m orrienté,
cet dans tes caresse que le chemin cet crée.
met la base de ton avenir cet pas une liberté .
cet juste un mariage d'atribue de guerre de lois .
toi es moi les obstacles le sfrissons
on na grandis avec les yeux remplis de larmes ,
de chagrin de cries de nos mere,
on cet juré de s aime rpour la vie.
met cette lettre a toue changer,
refus pour l eterniter d un passport .
on s envoleras pas ver borabora,
es toue cet coucher tend desiré,
destiné princesse, destinée déesse,
l honneur es ta la page ,
ce nes pas adieu nie un souvenir ,
juste un frére aimer ,
un amis une tendre chose ,
qui restera longtemps au creux
de mon coeur de ma fois,
hoin fanny

le fruit

fruit de leur entrailles,
es danse avec le loup ,
des sable lonigtain,
aime les tonerre des dieu ,
viol es tue la patrie qui es le ruisseau de ma vie,
langue qui salive autour de la mort ,
du fluide coulant debordant du torren ,
je plaide coupable de cet hommes qui rompre ,
cet ronsse hinumaine qui croupisse de ces berge ,
rougisse compatriote de ce macabre triomphe,
le fruit viellis pourris ,

hoin fanny

violon

mon coeur es l'empreinte du passé
es mon berceau le cristale de ma venise ,
meduse meduser disperce l été de cet sable ,
de la musique sur cet joue pour carmen d une danse de rose,
andalouse d espagne de la castagnette resonne ,
comme la corne du taureau .
dernier message du carma d une science appliquer devoulue ,
joue contre joue aligner du tango ou souligne ,
crayon noir yeux de manbella,
noce d amour ,carnasson triffouille,
hoin fanny







es les cordes

la chance

chance au échasse de nos becsse,

chanssine dessine l'or de leur vie,

devinette coquette chancinette poillet ma devinette,

tag la chance au chansson,

tartine envie d etre souriante,

chausser le pied du bonne oeil,

récité la chance au indéccie,

caprice des cathrinette ,

hoin fanny

jour noir

adieu papillon ,avion de réve,
adieu cocotte qui senvollé ,
adieu aimée passionel,
katanna qui divise nos peine,
eternel adieu tendre amour,
blame de met souvenir des pigons envolé ,
la douleur d un faste qui colle a la peau,
torture ton souvenir de met gif animée ,
ton image es comme un radeau ,
ou méduser de tristesse de ton cerceuil fleurie,
mon glaeuil surplonbe notre plus belle amour,
les voeux de promesse d une eternité

hoin fanny

on cet dis

on cet dis un jour peut etre,
ou a vie serrai toi es moi,
nos enfants couvrirais nos tombe de fleur,
on cet dis que une place au paradis es mieux ainssi,
tu cet je te dédis mes main mon ame mon sang,
on cet dis es visionné des beauté du monde,
des chanssons ,
des gloire pret des tour de roi,
on cetai fait un coin paradis ,
ou le svisa histoire de lois existe pas,
juste toi es moi ,
e smon coeur qui bat ,
les larme on noyé les pages ,
alors notre chemin gravé sur un papier glacée,
ou es cris de douleur es fusion ce fut,
on cetai dis pourquoi pa snous,
de senfants du paradis ,
des enfants du pardon,
on cetai pris en main ,
juste une caresse soue un olivier,
juste la promesse de s aimer,
on avais pourtant rien,
juste innocense d un mauvais temps ,
es de crise au chef d etat ,
je t aimer simple sans mesure ,
come une naturiste j ai bruler met yeux,
on cet dis ses sa la vie .
sans richesse sa na pas mouilier notre cause.
hoin fanny

providence

axer de providence ,
il pleure leur tombe de l oublis,
il rue sur les bouteilles les guerres,
sur l alccol des langues chaudes,
de srudimant des betes feroces,
met dans cet voute un damier de couleur reste,
noir es blanc piéger de cet gite irriguer au passeur,
l'oublis serais passive d une amende d un paradis,
entre 4 mur pividence dune cité la lou le champagne;
ne coule pas met le sang ce deverse depuis des decenie.
pose l empreinte du profonateur celui qui tue les imposteur,
ta cheri une citadelle ,
banie le nom de mon mond providentielle,
depuis tes partis les eclas les gents cesse de parler de nous,
a croire qu on pue es que notre histoire ,
existe que cette partie d une face du monde,
toue cet mediateur son fais le beurre sur des ondis,
parodis de cet crise de sursis,
je me noie du souvenir de toi ,
cet qu une providence un moment mal chance,

hoin fanny

ciel rouge

un feu atomique raisonne,
au pointe de l'yonne,
au gouffre de met sueur de ma peur ,
je capitulle sans effet,
d'un etat de crise conspiration sans reflet,
l'exposion semble indolore
ou partage senssation ,
morte devant cet vague rouge d un état levé,
ma guerre de cris ou s agrippe les diabes es les tigres,
brulles l'empire que je vie,
vide sens pensé juste le coeur lavé,
trainné es abusé de ma fierté,
l arc a triomphé de beauté ,
comme un crime passionnelle cet dechainer,
paris de larme rouge ,
hoin fanny

le doigt

j'aurrai aimée susuré touché l obe de ta joie,

prédire tes destinée mariée ton bleu es noir ,

compter les nom des childreen ,

fabriquet ce miel coulant colant,

te faire palire d angoise,

roulet dans cet couverture ,

de ce bleu dauvergne aussi moisis ,

que vert des lagon polynesie,

monté en haut des montagne ,

creuset fosé es maraie,

ce laisser dévalet cet coline en fleurs,

rechauffe ton coeur ,

toue le bonheure a ta dulcinée.

ton chemin es contruis .

hoin fanny

chute libre

au coin de ta rue met yeux de déesse,

au creux de ma vue ta rupture ,

au chien assis la bave des blessures,

casse le temps de cette tempette de virus ,

coeur de triste abyme ,

douleur es mouvement danse,

mandoline de ma revue mise nue ,

mon tendre epaule ma carapace,

mon soldat de traverse,

met  yeux habillier ,

mon coeur effrainer a ta cheville,

corrida  de baiser au sangt de charme,

olé olé bienévida de la casa,

grenade mon corp de ta chaleur,

quand mon coeur chante boom boom ,

parodie du rosignol de ma meileur cuvée

hoin fanny

l amitier

l amitier cet une soeur ou un frere ,
qu on tien comem ce chein en lesse,
délivre des messages d ajestation ,
des le visage net plus figée de face .
fondation de l amitier serrai un voleur ,
qui fouine chaque poche de la terre,
pour survive dans cette jungle premitive,
es cette crise politique qui nous encercle,
observation de cet envie d el amitier,
je ve t'enmener ,moi audela de la terre,
ou ton pardois serra bon,
je me laisserai doré de ton dos si crever.
buverai ton lait de coco,
es aussi ton hiirrondelle si mal egouté,
si ma faim certernise ,
de nos amitier ou alors d une religion d amitier,
je pietineré mieux ton jardi ou elargire ,
mon compte es met equarelle de met dauphin,
de cet yeux multiplier je conquasseré des pipes de rues,
es ben met salope va faloire eguiser vos canines,
le plat de l amitier serras de germe ,de chose invarier,
ou de poison qui te plonge dan sl accrus d un sommeil profond,
es voilla la politique de l amitier une petite claque sur l epaule,
juste pour pas oublier j existe es pas etre passive de l oublis,
mdr aimer son amie comme une salope ,
connue soue le nom d une amie
dis moi la verité au téléphone
cet pas commun buvez de son eau tend que l a fontaine cool.
fait moi roulez simone tend tu carburres au biroute coloré,
je te serre un chti verre juste pour te monter tes planches ;
fumons ensemble compatriote crevons du cancer de l amitier,
ben voilla je crois jamais en l amitier ,
cet pour sa je suis seul .
hoin fanny

la rose bleu

merci au vérité qui se pose,
es de shorrizon d amour,
des pages qui tournes,
es ce bleu qui dessine des flambau de vie,
merci pour ta franchise ,
es le temps laisser,
d etre une eternelle amie,
au moutarde monté de cet graine ,
de jaune pamplume qui dessine nos yeux ,
merci de ta joie es ma reconnaissance,
marche petite soeur ,
lueur de ton coeur es sur le fil du soleil,
qui brulle des éternités .
ma rose cet posée

hoin fanny

petite culotte

la chouette huhule dans le couloir de la panteccote,

es brandis de son couteau ,

une lame qui harpente les tour d epierre,

ce brouillard de fumer ce souléve comme peine,

un containgent au huhulement de la hulote,

pénnalise ta peine es tes griegrie du mie sourie,

comme ce durillon si douloureux ,

de ce calvére qui s'embusque ,

l'herbe humide es chaud des marais,

traverse l uniforme biforme de lueur dujour,



hoin fanny

la banlieu

la banlieu cet un beton fraie es chaud ,

plus tu montes ,plu tu plonges dans le vides,

les couleur s eternise au gris souris ,

puant des cave con devales,

la banlieu passive du parcour ds geant,

les grand solitaire ,

poser leur cul sur cet sentinelle ,

des echanges code caligraphier etudier ,

cet pas une bouffone ma banlieu ,

les feu de joie son de sbouteille qui volle ,

es comme cet chaccal puant a ranppée les rampart ,

les code son dessiner sur les mur ,

on y lie ma justice ,

code 113 liberer met frére ,

liberté égalité fraternité,

liberons notre sang ,

la banlieux cet comme notre sang ct chaud,

les vampire y vive ,

creuse des cratére d éclaire pour que les futur voie naitre ,

des feux olympique es des feux artifices,

a la conquétes du bonheure,

hoin fanny

la sorciere

que mon ame dechaine les passion ,des foies,
le chant dessante les marches ,
des teaurau au sabot lourd noir,
comme la corne des brumes satanique ,
j'envoute le rituelle de l amour ,
de sorciere passionée,
empoissoner emprisoner l eternel amour,
chute es eterniser cette douce senssation se susure,
comme cet corne qui pointe au creux du jour,
a faire couller ce sang de mirabeau ,
d 'un jour de soleil ,
de corne tirer pa des arc.
embroche les flammes de l enfer ,
es brise la tourmente des anges blanc,


hoin fanny

la veileuse des anges

torture mon ame ,
tue mon coeur,
baise met pied met main,
d'une misericorde absolus,
dirige le sens digitoires ,
lumiére intense ,
qui brulle mes deux billes noir,
vent sifflent des herbes es cheveux ,
tourbillonne au marais mauvais,
spermatozoide rafflent l organe ,
vol veilleuse des anges,
poussiére d amour ,
au coton de douceur le romantisme ,
a la pointe du jours.
hoin fanny

mélodie

Mélodie

mon cœur slam ,

pissenlits a une note qui rebondis ,

conservateur au médium d une touche de sa queue,

l'annonceur du temps siffle sur un ciel remplis d étoile,

es mon cœur fait du squoin squoin dans cette providence de foin,

joue moi de ton clairon ,

des farandoles camisoles toue cet galopin embusqué,

serre moi de ton poison de note de musique,

étend moi sur ton lit ,

baise moi de miel ,

es de chaleur de ton cratère

embrase ce corps es déchire la passion ,

aime moi comme un poison ,

comme ce rouge colère qui brasse nos débat lunaire,

prime moi de ta lumière ,

de tes tophet es ton cœur de troubadour,

glisse la soie de tes lèvre sur cette vision intellectuel,

enflamme moi enflamme ma vie,

réveil met chagrin ,

met censure de tes yeux caravanier ,

je me prime de ce point ,

d être enrober comme une praline ,

mastique moi comme la vague qui vie en toi,

hoin fanny

j'y suis jamais allée

labas j'aimerais ton soleil ,
tes colombe es les miradort ,
les jeteur de sors ,
es les maitresses ensorceleuse ,
les vendeur de poisson,
labas je voudrais embrasser toue les sourir ,
chaque cartier porte sa couleur,
les langue sente le dieu
les sentier de sable jaune,
les fruit parfume tes cheveux,
labas on voie pas le temps ,
les jours son cour es embrassé des nuits d etoiles,
les rue romantique son des poison des arromatiques ,
la fontaine cool de cet montagne magique,
labas je baigne nue ,
mentalité resigne de liberté,
les vaches son verte ,rose ,bleu,
leur maison sente le chocolat ;
labas je vie mon conte de fée,
es la tendresse ce fit de baiser chaud de miel,
un jour j irrai labas

hoin fanny



hoin fanny

tendre pensé

mon cerveau projeté d un mouvement révolte,

face au zombie qui titubinne de leur race cannibale,

met yeux reflétte le monde es son absence,

es ma bouche es la justice de se monde,

danse belles étoiles,

dansseuse du lido divoire,

ou le sang chaud es noir éclaire la nuit,

hoin fanny

le coupeur de join

cet dent bien longue il fait un bruit strident,

es no poil ce dadisse es son poil blanc

coupeur de join es de luzerne ,

son parfum hiberne mon jardin,

tendre pensé noir appuyer sur cette face noir,

es la fau a la main a battre sans refrain cet talue de foin,

saison active de sens d'imigration es de labour ,

au grappe de vin effrainé de nos main,

bercet de ta queue ,de ta langue qui susucce le goulot,

comme un ivrogne es le iagre des chuchottement ,

parcour les monument des debat spandiles des cour neuves,

hoin fanny

chienne ou femme

ta pondue un oeuf porte ta proie ,
ou balance toi le haut ton studio,
ta rever de tes yeux accroche toi ,
ou crache toi decue,
ta rennier ta foie tes racine ta couleur,
creve toi car tu reste impunis,
on fait pa des enfants comme on chie sur les passant,
on baise pas l amour pour le mettre dans un congelateur,
on fait pa des gamin pour les voir pourrir au bord des trotoires,
on baise pa comme les lapins pour que les loup les devores,
tu portes des enfants comme on porte l amerde,
ta fallue 9 mois de rondeur fummette penetration,
pauvre crevette tu es aussi salope que la chienne,
méme la tombe reste silence es mouillier ,
tu nes qu un troue une merde souillier,
es les orphelin des pauvres mongolien ,
pourris par ta drogue,
tu nes pas une femme ,
juste une chienne ,
qu on tire a la lesse es qui fait de ma joie la martyre ,
traine salope j ai pas pitié ,
créve salope pour toue ce ta tuer.

hoin fanny