mardi 23 mars 2010

andrea

long ridau noir qui traine sur ce lin si blanc,
comme un papillon sans rayon marche de cet nuit ,
titubine le coeur vider de son basiste ,
lourd es cetet égoutoire acrus perchus au fond du trou,
un enfant manque a l'appel ,
lle chagrin de son jardin construie,
detruie de ce pauvre frippouille,
comme une vielle cannaile ,
tu regigotes de tes prouesse ,
politesse madame arrétons la récré,arréton flanardé,
de ton pendicule polisson ,dedicasse d'une fésser attomiser,
la normandie a part sa vache es son large ,
je voie que fumé de ventardise,
la gourmandise soumise,
herron herron chevretine,
hoin fanny

mercredi 10 mars 2010

je t'aime

met main ce son glacé soue cette angoise de plus te voir,
mon coeur tourne au ralentie ,es des kilométre déffile,
a cracher co2 met poumon ma rage ,
courrir aupres de toi ,t'aimer de grace,
ensoleilé nos nuit atourner cet pages de lumiere ,
me regarder comme cette statue ,
de bronze ou les decore son tricolore,
coller au corp nue,es ton sourir,
aussi chargé que cet pierre monté en édicisse,
quand je m'envoleré toue serra blanc remplie de silence,
es tes mur ou ce coeur gravé es rester ,
comme un pieu au fond de toi ,
fait moi signe es je m'implanteré pret de ton arbre,
a eccosset cet petit pois de nos folie ,
a lécher le cucuma de cet nuit chaude,
dessiner es pendre ce corp brasif .
a tiré sur tes corde ,comme un pendu ,


hoin fanny

des ailes es des anges

je te voyais parmie les rayon du jour,
saignée victime de la guerre de l'injustice ,
un doigt d'argent levé contre des destin ,
le jour ce léve es un horizon nouveau,
a émmerveillier toue cet clandestin,
comme une main lever a aider,
cette traverser nocturne es cruel ,
change ton nom tes droit les tradiction ,
juste un reve suspendue sur l horrizon,
castrer de tes envies ,
cet soleil ou les humeur sente le francophone,
les baiser pousser par des mistrales des tempetes violentes,
qui souléve les rumeur des politicien ,
comme un chien de vie sans eau sens souvenir ,
comme seul registre un drapeau une couleur sur ma peau ,
es cet main a braset l aire es es les vivant de cetet vie,
sauvage de rituel de cet réve planifier ,
creuse ma tombe es ma tete si posera la premiere ,
juste souvenir la caresse d un ange.

hoin fanny

mercredi 3 mars 2010

sensualité

éclabousse la pluis sur cet vétement ,
touché de tes main me donne la chair de poule,
aussi rapeuse que travaileuse je susi ta déesse,
ou tes heure caresse met promesse ,
mes désires fleur d'envie conquis imprime de tes joie,
comme ce dessin traccan des traie droit de nos envie,
tés lévres couverte de ta confiture aux fruit confit,
léche succant sufoccant ,
les yeux dans les yeux ,
comme un poix face a la férocité du monde,
ta jungle je chasse tes démon,
envie de croupire es mourir contre toi.
hoin fanny

princesse

princesse d 'éccume brille comme le diaman d'été,
coquillage sacré entre les pinces d'une écrevisse ,
les perles de tahiti ,dubai,fort mahon,
j'entend chanté son coeur,
j'entend son appel es ce jasmin coule au creux de met main,
printemps de fleur remplie de ton coeur
de ce blanche jasmine es jonquille,
es la terre couvre ce corp es juste une foto habile souvenir ,
comme un habie de mon sourir es les racines ,
une idole es cette farendoles qui ce construiser la nuit,
es ce balayer de cet rire tardive,
comme un crime habillier porteur de couleur de chaine de valeur,
creve la nuit arrache ma peau met envie les crimes,
je suis la ,je me léve ,la téte haute ma fille,
vivre ,rire ,chanté ,
ce soumétre a auccun mal .
juste un levé du bien.

hoin fanny

l'islam

l'islam

l'appel d'une terre d'islam,
je née d'un cantique d'islam
mon parfum embrume les fougères d'étang,
la canne a la main,
je nourrie les pèlerin,
un cœur d'islam ,
une âme d'islam,
comment l'avouée mon grains héberger au loin,
mon boom boom ,
tape au sons des nuits prière,
coucher sur met toile du soleil,
au pavé de violette.
les cours envahisses des billes ,
roule roules de joie,
les pied nue sur les rocher ,
sable de l'orient,
aux brume de met palace ,
le corps plier es la voie retentis,
cour cour voix es chant de lumière ,
tourne les cadran lunaires
flotte dans les aires pureté d'étoffe comme le séraphin,
l'essence couvre le corps des naissance es des mort ,
je ne suis qu'un, lui es moi ,
nous sommes livret au bien,
un seul père ,un seul dieu , un être spiritueux,
lave ma langue ,lave mes sens ,
fumée de rire es du baume surmonte les lac ,
l'aimée ne serra qu'une passion,
dévouée ma vie au maik,
comme un maitre des mécréant des repentis ,
un imam au cœur lourd soue le poids des raison
concussion es péché met yeux sans jugement ,
héberge les tempêtes que les vent on soufflet,

hoin fanny

mardi 2 mars 2010

la faim

les jours traine comme cet pied qui harpent le planché
la téte déhochet met le coeur remplis de romance,
je m'accroche au convive déchainer de leur quette d'amerthume
sentire le corp alléger de ce systéme d'usure,
gallére galérer de ce jet si lours a empreinté ,
faire violence a son systéme de réusite accrroite ,
chaque passion atire au dessue des couloires noir des aventaires ,
je cour la nuit ,le jour le coeur remplis de haine de chaine,
de cris de larmes de chose qu'on entend pas,
qu'on voie déffilée depuis des décénis,
des extraies d'un paradis interdits ,
ma bouche remplis de mélodie constitue ce jardin ,
je goute au fleur si ambaumé de cette appétie qui a creusé ,
es le sourir de ce depot de de couleur maquille ma face ,

hoin fanny