léxagone

ma flute émet le sons es fraicheur de nuit,
poussiere d argent poser sur les touches noir,
balayer de fésseau de lumiere,
gamme de met bague resonne ,
évadée de son territoire si creusé,
si noir a pleuvoir de nos trotoire,
vollé de cet ailes si légére de duvet d oie,
s etendre comme mon linge de vie,
avancer de cet bottes fossé de boue,
je brandis de se sirop mon liquide ,
caresse ce bleu lagon,
envol le rouge planétaire,
griphone le beton de cité,
parfume les chateaux de sables.
hoin fanny

je peu t aimer

marcher me donne la raison de tenir debour,
je susi ton nom ta question es ton échange,
ta vie es ton aliment d'équinoxe,
la lois des politesses,
es sagesse comme le piquet,
je peu t aimer es tenir tes pied ,tes main ta bouche,
prendre ta maladie toiucher ton coeur,
je peu t aimer a mourir pour ton sourir,
vivre vivre pour te montrer cet quoi aimer.

hoin fanny

la fuite

j ecris a l encre de mon depart,
ver cette etrer inconnue,
a l essence de ma bouche ,
lugubre senssation d amour,
es si ton epingle es si puisé primer,
que mon mal,
je ve quel laisse la marque ,
de notre liaison fatal,
etre bestial ou renouveau des flirt matinaux,
conquie de cette marquise endiablé ,
lechant comme une chatte ardante ,
bravant son pouvoir conquie,



hoin fanny

la piéce d or

nul es livrais a l acte d un pendule,
bercet par les etoiles,
assoupis de ce nouveau jours
lave moi de ce chagrin ,
de cet crise a croupire de douler,
lave mon coeur,
berce moi de ton amour,
de ta fragilité es cet susurement du vent,
lave moi de met larme dété,
de ce vide rester ,
chante moi les primtemps ,
es fait moi rire come sonne les claoche d ecole.
caresse moi de cet feuille sauvage autonne,
enlace moi de ton recceuil doctave.
hoin fanny

la chaine

torture mots infidéle ,
enchainer d or anchainer de fer,
le jour ou vien je sourie,
je caresse son ame es la flamme qui nous guette,
es brasse les larme d e mon parcour,
la ou tu me tire ver un lieux non dis,
les armes blanche chante les drapeau des larmes du diable,
met main efface la soullure es le mal des ingras,
je suis fiere d etre a coter de toi,
fais moi valser es tirer loin de ce ciel si sombre de nuit,
met etoile brille comme ls rubie d enfants,
es les fleu jali=lisse au coeur des maman
hoin fanny

rue de la comédie

des violon qui s enchaine sur des déffilée de grabuge,

ou les cité batie d oreille grouille au soullion ,

des alure de chiote satinée parcelle les terres ,

esleur bouche a corbeille a linges ,

saigne les bandin des dividoires ,

leve point es songe contre levée du paim,

durcie de chaque ,
ijncredible comédie de cet janette .

hoin fanny

gospel arabe

manger de ta terre ,
boire de cet eau pluvienne,
etre digue es irriguer compassion de cet titre souligner,
batire monstre es marrée,
chantée viollon hutte d argent tambour d or,
serpent animée es tapis volant,
flot flot tissue etoffe parfumant,
paliétte es sable mouvent,
bérbére du téléphone passant,
les tempéte de sable,
audesue de la montagne ou baise,
les arbres baise les ombres rouges,
les chant de culture basculer sur ce fond villagois.

hoin fanny

coeur de révolte

pour un paquet bédot des fachiste intergriste,

grisalle le couloire des mur de sa blonde colombe,

casse les verres es les briques rouges,

cet mur longuer de coeur,

bataillier cet nuit piétine nue sur cet lame ,

des yeux témoigne de l atrocce acoutumence,

de leur dédaigne aventure,

si il faut etre rage ou chienne ,

a broyer les os de l inpitoyade inconvenance,

nos revanche serron digne de l eternelle supréme,

hoin fanny

pin-pin

les coquelicot chante devant la bergerie ,

buffet champêtre es robe collor colline,

cocorico cris a travers les lésions du temps,

pâquerette respire le coeur des gents,

la barbe desent lisière es torrent ,

coquelicot faiblis a la lumière,

faiblesse des amour lumière,

caresse tige es aromate rouge ,

croque de ce vert amer,

cocher d un âne ,

mille agrume ,mille pensée,

de ce chant passionnel originel,

que mon coeur es ma langue assassine.

d un pin pin plongeant a l allure de sa carotte ,

le coucher brune cet poil irrissant ,

de son terrier bâtisseur,

pin pin collagène savant

hoin fanny

la berge des soupire

tu joues de ce livre arbitre,

de ce corp si fraie le lait si bon ,si chaud

si miel a des temps d'été,

aussi colant que ce dictatel bercet,

au berge de mon avenir ,

lie moi de ce literale ma desandance du futur habilier,

de met yeux qui longe le residus sur ce lit de flot,

ruissel approvisionnel berge de mon soupire,

trace de mon soupire detendue de ce lit vert.

grace es primaire de cet doigt brille axe d'amour,

ma berge de frontiere je tes aimais

hoin fanny

BLANCHE PORCELAINE

DES NUIT CE RESSEMBLE ?
A LA LUEURE DE MON MAL AU COEUR?
POINTE CLOU2E SUR CE LIT BOMB2E ?
D UN TABLIER DECHAINER?
ES CET FI2VRE CALOMIEUSE ASSASINE MA DOULEUR?
PORTE HAME ES PEINE OU
MAL DE L ETRE PERDU DE CE TEMPS?
DRAME ES SOURIR CLAQUE CONTRE LES JOUES ?
AVENT CETTE DESSERTE D ADIEU.
ES CE LIVRE QUI RESUME A CONSUMER PLUMIER ENCRE D ACCOUDE.
BRSE LES CHAINE D UNE VIE DANS L IGNORRANCE .
BLANCHE ENSORCEL2E DE CETTE PLANCHE COUVERTE D OMBRE
HOIN FANNY

beautiful naomie

pretty young naomie,
beautiful pour toujour,
pretty zoom picture,
bluddy marry naomie jolie
mélli mélli a vie noémie,
corrégraphie es micro 02 amplie ,
jolie zin noémie,
bluthoom aquaruin de ce rouge primer,
amie amie noémie ,
on ta primée aimée ,
gardée ,secret a vie douce petite fille,
au larme sallée ,cheveux enveloppé doré,
mamie a vie naomie

hoin fanny

fouvaste

le fou qui rougis d un four parcemet de pailette,
ou dentelle relis coin des tables longer d etoffe de soie,
es cet fleur vennue de si loin conquie jeune es passionante ,
amicale qui cet cannaliser ,
d une lueure devant un vin ,
une eau croquis,
le fou cet cacher dans la cheminer ,
es determine lusure passeur d'aupres de l altesse,
rose noir poser sur sa croix ,
un fou rire percu d une culture litéraire ,
chanter jolis pain ,riait dictateur soumisant,
je te fouette de ce fusot a angeline risolet ton cul ,
de ma plume d adent ou eve maudit le paquistant,
vivoltant met danse de sallon ,
ou un fou un pourpre de charnelle,
dessine mouvement de vent,
danse danse fou fou de joie,
hoin fanny

le tour du monde

jouet de ma corde user ,
ma voie sur le sentier d'aimer,
chanter juste une priere partager ,
st marie de la mer des gitans,
que le temps a changer ma roulote,
roulle sur l inconnue de l amour,du partage ,
les yeux de couleur ilumine ,
nos vagabon qui joue le temps d'une pluie fine,
le son de boie couvre cheri les notes musicales,
les robes flotte sur ce fond noir iluminer d etoile,
claquement de main ,de doigt ,des chant transidentale,
tendresse ,gentilesse son le fil dor .
heureux l inconnue de mon impontheose ,
fougue de met joie satinnée,
parcour un monde a aimée,
parcour ce monde séme l été de la providance,
la clémence des matin soleil,
dans des cheveux de soie,
dans un galot sauvage,
ou couteau es odeur de boie ,
tranche jeanbon de patrouille,


hoin fanny

casanova

il y avais une siréne au chants d un casanova,

chaque nuit ou la lune etai pleine il danser le flamenco,

j ai le coeur d une hirrondelles ,

es les yeux menthe a l eau,

pour pavaner ma belle ,

je méllanger ma culture d oxydento,

sur un sable chaud ,

vol vol petit oiseau,

créance du soir ,

déserte de cannibalisme.

hoin fanny

fruit de passion

contre toi a tenir fort deboue droit,
contre moi ton coeur qui bat,
es sentire tes larme tomber toue contre notre corp,
debat de chaire sur cet vie triste que la pluie balaye,
accroche toi toue contre mon corp ,
encore si fort bas pour toi,
tremble pas, ma voie resonne encore contre toi,
es cet chaire de poule frisonne comme une peur,
de ce dernier reflet du matin,
fracture toi de ta moitier,
garde moi de ce souvenir d image ,
de passage de cette marié promuté d un temps come reine,
embrasse moi jus de ma passion,
qui sifloté soue la cannicule de ma bouche,

hoin fanny

lange au cheveux blanc

odeur de ce savon qui pique comme un harcennique,

es te fait tourner la téte a st germain des prés,

conquétte des épées des platine de diaman,

le paim de fraternité ,de charité,

prime wisky es dague d or ;

egorger les porc de la lever fatale,

du bronxe aussi noir que ce trou ,

flotte courrant


hoin fanny