mercredi 25 novembre 2009

la course a la montre

ma plume griffe ma page ,
comme ce visage arroser de baiser de gaieté,
le flingue coller a ma tempe ,
seul déclik de mon aiguile résone en ce matin,
le vide de l'etendue de la falaise arrose ma fenétre,
penché la jeté verse cet larme sur cet corail au verset de sang,
les poignet de dollar ouvrie sur cette campagne ,
un eclaire de vie,fraguement du chemin de verre,
tranche mon corp ,tranche ma vie,
met éclaire fond la nuit ,
la cire s'épuise aux souffle de met mots,

hoin fanny

samedi 21 novembre 2009

la pluie

apres l'orgeuille es la secheresse la pluie ma sourie,
de ma langue je puise dernier goute ,
longe le bambou chaud,
es glisse le long de ma chevelure,
es de ce cou irriser frimissant de désir,
soulage cet ardeur de soif ,
qui épuise ce corp éxégue couché au creux de ce palmier,
chaque claquement es t un compte de fée,
un parfum d embaumenent ,
ce sol qui dégage fluide de la poussiere,
es cet cailloux perileux a la marche laver ,
brille comme des pailette d'or,
enfant sautillant de cet flaque ,
de cet miroir qui reluis de leur beauté .


hoin fanny

la résistance

un volcan d'enfer,

déffiler ma vie resisté au temps périleux,
la gomme coller au chaussure ,
yeux fixer devant cette écran vide,
la lune réclame son soleil,
posé sa tendre joue sur ton transistor ,
l'étoile brille de son sallut au fond de son puit,
les agrumes couvres la nappes si opales de cette nuit vermillion,
comme un assenceur les grillions joue de leur plus grand orhestre.
les sombres, fleures ,ce balaye ,les champs frissone au blé muri.
axélére le cadran de de vie, tendre passion a courir ,
s allumé de nos aprés midi ,débatre de cet latte qui durcie ,
étre impunsi soumie a nos désirance .
chante fontaine es voile mes bras.
hoin fanny

ma france

si je veux un trophet cet une médaille d'honneur ,
entendre le cop es la détenssion du fusil,
pour couvrir l'étoffe du corssage de soie ,
je ve que met cheveux ce bétaile de fleur,
message gronderais de papillon bleu;
ou les taniére coulerais de riviére d'or,
es l'honneur a ma droiture de ce barreaux,
dignité de ce laisser trainer ,craché ,
au cloein d oeil d'une ville remplie de sa lumiére,
mes ce poison cloner dans la tounure de ma france,
boom boom de mon coeur ,
je baiserais le vent es le drapeau de ce bleu de sensure ,
de ce rouge feu qui drague les pénitances assiéges la lois,
de ce blanc qui me couvre d une digue de couverture ,
elle chante ma france a moi,
brille es rayonne de versaille au rocher du corsaire.
hoin fanny

lundi 2 novembre 2009

cet l histoire d une femme

cet l'histoire d'une femme qui traverse les pays ,
ses l'histoire d'un amour interdit ,
cet l'histoire des chants es de la violence sur autrui,
cet l'aventure es la démesure ceux qui l'on détruite,
ses la tristesse d'une vie morte qui nous crève a chaque réveil,
cet ma guerre es mon courage a dérouler mon tapis gris
cet mon esprit le sang qui fond met plafond,
es le gingandes coulant a flot de quelque euros.
cet l'histoire de ma vie ,

hoin fanny



la savoie

les piéce rebondisse au flic flac de l eau,
la téte en arriére es le veux dans l'ame,
l'espoir d'aimer de vivre en paix,
éffacer la maladie sérrer a grelotté,
sourir a ce vieux banc,
isolé de toue ces cul indiffame de cet résistance,
parchemin de liziére au recis d'un peuple,
faire des levé a un monde plus vaste,
des sourires a épanouire es brillier aux yeux de miroir,
les étoiles retentirais comme le bouchon .
sur ton visage je revérais ce vieux cygne couché ,
ce long des canaux fluide es gracieux au large de sa plume,
ma parole ce ferais de brasse a malaxer cette étendue de bleu,
a rincer toue les étre déchus es pauvre du coeur.
la chaine serrais longue d'une queu a un blanc ,
d'un pic on surmonteras l'étendue de la beauté ,
des couchée au couleur de glace ,
au deux face des diaman,
es notre pas résonerons ;
comme l'écco de ton nom,



hoin fanny

dimanche 1 novembre 2009

l'amour interdit

nous pouvons pa aimais car nos main son de couleur,
nous savons pa dire non car nos coeur son hard de notre vie
on voudrais réver met nos chemin son escarppé,
j'aimerais te serrais deux continent son éloignée,
tu voudrais des enfants attendre cent ans a quoi rymerais l orien,
es entendre entendre les chant rieut de nos futur acteur.
je voudrais plonger met main dans ce seau couleur mentalo ,
parfun divin que tu leche devan l'été indien,
toi face a moi qui cet plus quoi penser ou oublier ,
4 hiver blanc mon couver de ce froid ,
comme seul souffle uen bougie un clavier noir,
une foto jaunie de ton regard fatiguer ,
de vous z a moi de eux a vous ,
j'aimerais qui chauffe entre cet drap un coin pour moi,
de cet nuit a penser a ce mariage pauvre au sourir riche ,
de notre amour si particulier,
qui dure des crupuscule entier,
de vous z a moi je le cherche encore ,
de vous z a lui il cet endormie .
hoin fanny