samedi 24 avril 2010
tendre pensé
face au zombie qui titubinne de leur race cannibale,
met yeux reflétte le monde es son absence,
es ma bouche es la justice de se monde,
danse belles étoiles,
dansseuse du lido divoire,
ou le sang chaud es noir éclaire la nuit,
hoin fanny
jeudi 22 avril 2010
le coupeur de join
es no poil ce dadisse es son poil blanc
coupeur de join es de luzerne ,
son parfum hiberne mon jardin,
tendre pensé noir appuyer sur cette face noir,
es la fau a la main a battre sans refrain cet talue de foin,
saison active de sens d'imigration es de labour ,
au grappe de vin effrainé de nos main,
bercet de ta queue ,de ta langue qui susucce le goulot,
comme un ivrogne es le iagre des chuchottement ,
parcour les monument des debat spandiles des cour neuves,
hoin fanny
chienne ou femme
ou balance toi le haut ton studio,
ta rever de tes yeux accroche toi ,
ou crache toi decue,
ta rennier ta foie tes racine ta couleur,
creve toi car tu reste impunis,
on fait pa des enfants comme on chie sur les passant,
on baise pas l amour pour le mettre dans un congelateur,
on fait pa des gamin pour les voir pourrir au bord des trotoires,
on baise pa comme les lapins pour que les loup les devores,
tu portes des enfants comme on porte l amerde,
ta fallue 9 mois de rondeur fummette penetration,
pauvre crevette tu es aussi salope que la chienne,
méme la tombe reste silence es mouillier ,
tu nes qu un troue une merde souillier,
es les orphelin des pauvres mongolien ,
pourris par ta drogue,
tu nes pas une femme ,
juste une chienne ,
qu on tire a la lesse es qui fait de ma joie la martyre ,
traine salope j ai pas pitié ,
créve salope pour toue ce ta tuer.
hoin fanny
créer
es t un collagénne de mots,
les mots ce coleret es assemble une diction de la vie.
je t aime es les poules
es les dindons son pris de ma casbat,
moi je les farces comme cet manege ,
tourne cet brochette de poulet con vend sur marché,
je ment vant bien d aimer ,
je vous z' en vie d aimer,
la tete deboue es le capot llever a baiser ,
carillon sonne chaque été,
car criquet résonne leur chant d amour,
es voilloi pierro a jouet son pipo ,
je réve d'aimer encore car l heure tourne,
je ve pas de romeo nie soprano,nie commando,
juste un paysan bonne classe qui porte une fleur,
un jolie coeur,aimer ma citronnelle,
violler son coeur ,violler cet droit de l amour,
jetté cet pétalle qui blesse d une comptine ,
prendre mon crayon te planté droit au coeur,
hoin fanny
mercredi 14 avril 2010
le petit prince
Tu ne reviendras pas on ne revien jamais de ou tu sais,
Tu es partis pour visiter l italie ,le mexique ou l amerique,
comme un soleil tres chaud je tes vue te poser sur monacco,
princce d italie ,d angleterre ,maroc ou inde,russie,
tu reviendra spa parceque tu es loin déja ,
je tes vue prendre un parapluie un sourir printannier,
pour nos aiguile es le spendules ce croise,
parec que la haut les oiseaux sifflent plus haut que les mek ,
parce que la vallée etais trop belle es longue de longélitude,
que l'aigle cet pris a vollé au dessue de sruisseau,
parec que tu es soleil de dieu
parcqu il falais eclairée la vie des vent es du mirages,
a travere la poussiere tu vies ,
es ton coeur serra toujour present,
met els fleur e sle miel coul ,
ne perd pas de temps rejoin la lumiere divine,
met je te souhaite bon voyage,
vivre sans toi
la ou les gent danse avec un dieu petillant ,
met notre amour reste comme un tambour ,
mon amour je pense a toi es met reveil son dure,
je voulais que notre joie,
es nos famille soie de joie,
contre nous il ne voulai spas ,
le destin de deux étoiles,
la nuit quand je regarde la lune met larme coule ,
car ton visage me revien,
on leur diras toue un jour.
amour passion nous z on oprimée de pouvoir aimée,
amour poison emprisonnée ,
comprimé de leur harcenik de pensé,
hoin fanny
lundi 12 avril 2010
la smala
un pays fait de alibaba es tapis volant de nos fenétre,
des poulet volant au cris des voisin,
du rap au hip hop pop punch ching bool ,
dans le jardin des naim blanche neige es sa supstance,
nos neige se fond poudreuse,
es les coq chante dans les soleil de nos nuit,
les alccol tombe des rsa de chaque moi,
butines ta fleur tes bleu ,
comme la smala colle la danse des emirat,
zarat es les autres soue le pas chat a chat ,
piérre verte allonge tes yeux sou ela fenétre,
es le stapis au vent flote comme la paix
les parfum ce mellange es me choute ,
comme une deesse je voie des mirages
es cet virages dans des fumé jaune d éxiles ,
atterissages forcé doté de magie ,
sorciere bien aimée crampes sur le sellier ,
cet la smala la danse de alibaba ,
les acolite es les enfants son t un paradis de nos parodis,
regarde ton monde ou l'espoire vie ,
je susi qu'une pierre dans ton fourreaux,
hoin fanny
hoin fanny
confession du pélerin
cete lumiére qui blanchie .
aimer la plaine de couleur de tes yeux,
le sang de nos corp purrifie ,
le ciel es les yeux de larme,
mon coeur cris au décollages.
comme renaissanse de ce petit née inossent,
canter chemin sacrer liserai d empreinte,
page jaunis es odeur amarante de ce salé ,
du gout de mon doigt caresse mots es lois de ma vie.
hoin fanny
overdose de ce monde
pardonne met pensée
pardonne ma haine,
je me pique au sos des ouvrier dans la ligne du survies,
a ce pére que j ai vue 30 ans marché soue la pluie ,
es ses chien piquée de leur jeunsse trop plein de flanarderie,
je me pique dans la foule quand elle ce deploie pour un havre d epaix,
porte pas ton jugement
porte ton chemin,
avance droit porte ta vie comme elel se doie,
soulligne pas les yeux d une femme respecte te toi,
la balance cet tes main te spied ta téte mec,
n'oublis pas que serra unique voie ,
le foetus de ta vie ton paradis,
met yeux son remplis d elarme ,
mes je baiserais pas met armes,
abbatais moi ,tuer moi ,
je suis piquer a l atmosfere de dieu
empoisonné de la lumiére de paix,
mon aigle vol en plénitude es met larme porté par ce vent ,
mon cris de la nuit,
un dernier surssi de vie ,
mon hame torturer de ton feu
fait toi de lave ,ou cataclisme d une période ,
hoin fanny
christelle
Condamnée a aimée
condamnée a souffrir
condamnée a ce battre pour vivre
t ouvrir au rituel de ton alcool
a courir comme une sœur pétard
pour t'effacer de ta souffrance de la maladie
je t'aime tu ne me voie pas,
je crève les nuit de te voir pourrir les limites du futur,
petite sœur crève ton cœur,
sœurette burette ,blanchette,
qui reviens d'une plais d or ou le cœur de la dépense ,
chante les rayons de l'amour arrête de flanché ,
planché sur cet lame de m'envoyer cet clou ,
je Ve pas être ta résine de ce chêne, l hymne de ta vie,
être détendeur de ton tapis rouge es d'un drapeau mouiller,
comme ta moitié serré unis par notre maladie,
le soir au décente de nos enfer ,
du rire au larme de la douleur au physique,
tapé des tof a l'osmose du net ,
parce que le poignard qui es si profond ,
creuse ,fond comme bouteille acide,
condamnée a aimée
condamnée a souffrir
deux pierre précieuse qui brille,
creuse leur puits de soupire,
petite sœur lève ton arme ,
te laisse pas partir,
mon cris a la maladie cet de te voir sourire,
prend mon cœur comme seul pilier,
réveil toi je tend supplie,
amour perdu ,amour déchus,
parloir de soir entre deux prise de tête ,
je t aime comme cete oxygène qui m engouffre ,
nos refrain son de terrains de poubelle
ou les gastronome ne si plonge pas,
parce que nos terrain son de spirituel a nos enfants ,
que les jeux ce planifie de paradis ,
tes pas guéez ma sœur ,
je t envoie un gilet qui garantie une survie,
tes crie de ta détresse ,de ton sos,
ne t effacé pas de ma tendresse,
poétesse traumatisée par ton chagrin
d une téléréalité de mon chemin,
je te donne mon cœur
je t donne mon sourire
je te donne ma vie,
le châtiment nés pas plus grand ,
que te voir noyée dans ce couloir sombre que tu te plonges,
les peur ,traitement ,les envies ,
condamné a aimée
condamné a souffrir
condamné a te regarder mourir,
un ciel serrais bleu blanc rouge,
signe de cette France qui ma accueillir petite princesse,
conspire a la vie au citoyen de ton pays,
hoin fanny
lundi 5 avril 2010
les fugitifes
entre met cuisse tes main de senualité,
au volant de nos verité bandito aimée,
griffe moi de tes ranceur ,
de l enbuscade du poséidon
des bernudes au triangle
des orcherstre fantforeste,
blme ton arme braque met envie ,
fly coeur de ballie ,
mon bouquet jaune, monte au nez
violette rafraichie l air de poéte,
es le rouge desssine ma bouche ,
le vert souligne met yeux d un cop plumer,
es toi mon olivier aroser de tendresse de cet joue ,
je taille chaque tracé de ta vie.
hoin fanny
la faucheuse
surplombe l'ombre du doute ,
crier sentinelle a l'assaut des sauterelles,
vermillon es papillon ce balance au toille ,
les délicates pattes de mouches seche,
plaignement dans cet abris de couloirs,
ou les fanfares d abeilles crépine leur butinoir ,
coule miel brun jaune tapisse le soleil ,
rayonne verre luisant es lueur de fantomie la nuit,
dans ejardin devant cet nudité d été ,
embrasse cet couche chaude de cavité ,
graine monte s'exclame de cette arroser de pipi romarin,
hoin fanny