mardi 29 septembre 2009

Loin de toi

Je me suis noyé.
Dans un brouillard de fumée.
J’ai cherché ton visage,
Loin de moi,J’ai laissé mon coeur.
Petite fleur ce meurt.
Les cinq pétales d'or,
Pilier de ton empire.
Moi loin, de toi, je me noie.
Les pleures d'un être.
Eu reflets de tes nuits.
Je suis comme toi.
Parfum de miel,Délivrance au autre,
Met tu es loin.Au matin de ma clémence.
Paradis de notre liberté,Un matin, je suis partie.
Ou son met reflet.Le passage, mon mirage
,Construction de notre fusion.Goûtons,
goûter,Fruit de corps nu,Fruit défendu,
dépourvue d'accrue.Je mens livre de ton dernier
Celui toujours de le revivre,
Quelle pure merveille,
Ton image de chasteté.
Hoin fanny

La rivière de diams


.
J’ai parcourue toue les pays.
Sans jamais la trouver.
J’ai parcourue toue ces rêve.
Sans jamais l influencéLa rivière de diams,
était bien cachée.
J’ai vue à la levée du soleil, sa beauté.
Un monde ou les crie de joie n'existe pas.
Je me suis incarnée, implanté.
Met semblable était impalpable.
Les jour et nuit s'écouler sur ce long lit.
Met sa luminosité transpercer le soleil.
Même la lune lui tenez rancune.
Elle était faite poussière d espoir
De livre arbitraux a concevoir et percevoir
Cette richesse intérieure.
Elle la aperçu toue cet déchue.
Rubis comme Anubis.
Saphir pour les pires.
Marine pour le dauphin.4
Met celle quel préféré Cassiopeé pour son trophée.
Un caillou soulier, lui offre une perle.
Perte de décadence dans ce monde souliers
Elle brandie un cercle autour d'une terre défaillante.
Capitalisation d'une science tatouée.
Matérialiste ou captivé par l éclat de sa pureté.
dalhifanny

Les frivoles

Au dessus des toits,
je voie les temples,
Et les marais, les marcassins
,Les girros, et les képis azurent,
Au détoure d’une fenêtre,
Une cible d'amour,
Et puis des écroues,
Des adresses bien convoiter,
Les maquereaux du nord son bien de sortie.
Son prie entre le vent, et la pluie.
Puis les nuages sa s'Ombrie,Décida de se poser,
lentement tendrement,Sur cette lame,
qui les convoitises
Les rats zieutés,
croupissement dans leur nid.
Un rapace les attend,
Soue le chant d’une pluie de lumière
La colombe s’envola,
un fil suspen duFessait miroir,
tableau d’un art,
hoin fanny

MARINE


Petit fée tu m’envoies la douce mélodie.
Celle qui me donne mélancolie.
A la sueur de met pleure.
Tu restes gravé dans mon cœur.
Je recherche ta chaleur et implore ton pardon.
Petit fée inanimée.Je tes tend appelée,
chercher dans cette lueur.
Le brouillard qui nous sépare net que vapeur d'eau.
A flot il z'on coulé et pourtant si désespéré.
Tu te recouvres sur moi,
en cherchant les bras tes draps.
Un berceau d’amour, une berceuse la nuit.
Tu es au paradis,
celui des anges.Où on chante les louanges.
Met pas moi, on s’imagine et ce dessine
.Qu’on t’il fait de nous.
Des cœur perdu dans un creux d'une main.
Il n’a pas de matin,
Juste des envie, et ce poids qui vie.
Nous lions à cette lisière sans frontière.
Faire face a quoi a qui, au méprise d’une vie.
Tes l'ailles blanchissante s'anime.
Mais ma vie sans mime.
Il manque le son de ta voie.
Hoin fanny

Marchant D’arme,

Tapie de cadavre,
Étendue du neppal,
Marche d’un état militaire,
Sur la lute d’un ciel assombrie,
Littérature consentie d’un politicien convertie,
Attaquent, dirigeant,
Pour une bombe retenti,
Visage palle,
grincement des dents,
Sur un état de guerres,
Pluie sanglante,
senteur de mort,
Au crépuscule des chants de la victoires,
Ou es le souffle de l’air,
Celui de ma terre,
Chemin de boue,
Enfants basculent
,Dans une canicules de l’apocalypse,
Ou es mon aire pure,
Celui de la délivrance,
Je reviens ver toi,
Cauchemar envoûtant,
Résurrection a chaque ligner,
Que reste t’il tapie blanc,
hoin fanny

Le solitaire

Vieux vagabond,
Ironie de la vie,*
Passent passeur de l inconnu,
Voyageur de toue les temps,
Vendeur de la politesse,
Solitude gratifions,
Personnage du néant,
Tourbillon du bien,
Chanteur de vérité,
Blessé par bagua lame,
Cette boule immonde,
Parcourons les traverser de lavandes,
Un temps de repos,
Pour notre dos,
Pauvre vieux que nous sommes,
Lancer boule,Devant un pernod
,Ou et mon soprano,
Le chant des vrais,
Sourire du plaisir,
Partage des valeurs,
Reste les abeilles,Le ciel,
les champs de pleures,
Puis les collines en fleures,
Les vallées de flamme,
Et la montagne,
Chasseur de lapin,
Aux goût du romarin,
Le vent sifflant,
Vague de la méditerranée,
Repos de ma solitude,
Le nature, que sa de vrai,
Le silence, souvenir de mon enfance,
hoin fanny

RAHMA

Trois heures de travaille,
Pour un couscous royales,
Des gents ce remplisse
,La pense met aussi
Du geste de ma tendresse,
Je suis leur maman,
Frottant astiquant tapie et vêtement,
Mes mains souligner,
abîmer,Je donne sens conter,
Car mon coeur et celui de l océan
Au dos blesser,
Dieu ma sue me préserver,
Mon sourire reste marqué,*
Je reste dans met silence,
Pour les heures qui s écoule,
Quelque chant celui de mon pays
,Celui qu'il ma marquer d un nom,
Je m apitoie jamais,
Au claquement de met main
,Chant d orient,
Danse de mes enfants,
Foulard de couleur,
odeur de souk,
Soleil étouffant,
Je me fraie un chemin,
A travers cet couloir de tissus,
Étendue de lumière,
Une terre de loin,
La terre des miens
hoin fanny

Bataille

Champs de victoire,
Rêve d’une libération,
Sifflement des masses,
Autour d’un bataillon,
Vie d' effilant,Autour de mes compagnons,
Sa retenti, sirène soue lente,Pluie de débris,
Champs de balles,On cour,
déboules,Soulier par la boue,
Bloquer dans des troues
,On ce regarde tomber un par un,
Gibier de potence,
Lier main dans la main,
Pour notre patrie,Amputé je me voie mourir,
Prisonnier par les collabos,
Je suis devenue chrysalide,
Souffrant des débris de fer,
Planter dans ma cher,
Bouffant le premier rat vivant,
Ce délicieux repas,Boyaux couver,
Je rêve des plats délicieux,
Crépitement sous met dent,
Sangs qui coule juste pour abreuver,
Ma soif de vivre,
Les chants de chaque jour,
Hurlement de met compagnons,
Pour des chiens,Visant une bannière,
hoin fanny

Ma bouteille a la mer

La pluie sa bat comme des tires,
Vagabond je remonte mon blouson,
Parsemer de trou,
Tailler de la dimension de ma vie,
Reste encore ma bouteille,Fidèle compagnie,
de ce froid qui sa bat,
De cette vie si sou lente
,Mon vieux chien, si me voyait,
Fidèle a celle de la patrie,
Il n y a que les reste,
D’une mémoire qui s efface,
N ayant plus de toi à m’abriter,
Mon réverbère seul coin ou je m apitoie,
Je t’y attacherais quand pour moi,Je partirais,
comme ma bouteille,
Ma vie ce répétera,
a gaver citoyen français,
Alors je m’invite chez chacun,
Ces tables remplie mon odeur,
Il n y a pas de charronne près de met amis,
Pas d’ingrat pour pleurer de moi,
La vie à la fourchette extrême,
Embellie, et mon vieux rafiot qui serre de chapiteau,
Mouvement de la somme,
Pour une berceuse de nuit,
Ou es mes sirènes,Reste encore que cet croupie,
Puis quand le grand mat serra lever
,Les vagues m’emmèneront,
Et un loup de mer,Je partirais laver,
noyer les tourment qui mon enté.
Hoin fanny

Je suis

Je suis le cygne qui ce couche sur toi,
Je suis le signe du poète qui disparaît,
Je suis la larme de joie,
Je suis la flamme qui ce noie,
Je suis l’ange du pardon,
Je suis l’ange du péché,
Je suis factrice de tes lettres,
Je suis actrices de ta vie,
Je suis l’eau qui jaillie,
Je suis le sourire de ton lit,
Je suis ta rosée du matin,
Je suis le vin de tes chagrins,
Je suis le poids de tes ennuies,
Je suis le poids de tes envies,
Je suis la gomme que tu mâches,
Je suis la gomme qui efface,
Je suis ta panthère,
Je suis ta bannière,
Je suis silence de tes pleure
Je suis science d’une vie,
Je suis emblème de ton nom,
Celui de l’amour que nous vivons
hoin fanny

Dieu

L’étoiles qui s’illumine chaque jour aux lever,
le crie d un enfants ,
a l appel de la prière,
cet le rayon du soleil qui Viens bercer le malade,
cet la beauté du désert qui s’étant sous la chaleur,
cet la mendiante qui crie le pain des enfants,
laissent place a ces rides du temps passer,
cet chants aux vent de l amour,
cet colline verdie ,les fleures ,la terre sombre,
ce mélange d amour,
laissent la place a la pureté des gents,
le travaille a grandir cet noyau d’amitié,
a comquerrire le néant ,monter des châteaux,
crée des rêves ,aux regard de ceux du monde,
cet toue les religions respectant,
le roi de cette terre
,dieu de l’amour,
le seul qui nous unies,
si je suis messager,
il son tous prophètes,
comme des anges lises cet lecture sainte,
sacrée,la divinité cet toi qui la crée,
dieu de l amour,
si il y a des passions,
l’envie de vivre,
la force que tu envoies sur tous,
si je suis cœur pure,
cet pour montrer ton chemin,
dieu de lumière aux éclat de beauté,
face a toi nous sommes nue ,
tes poussière de vie,
mon seul es vrai amour dieu de ma vie,
hoin fanny

L’envoler

Une plume juste pour transparaitre au fil d’internet,
Une balade d'amour,
des jouissance au camera interdit,
des files, des liens, qui ce tisse,
des rencontre inhabituelle,
des lianes aux regard de l enfer,
des main qui ce dise oui,
aux cœur qui crie famine,
esprit rebelle conspirent ,
aux relation de chaire,poste noir,
au jour de tonnerre,
éclaire de lumière ,
au droit de liberté,
les étoiles de vos regard ,
sourire de joie,c
orps subliment les rosé du matin,
étalage de beauté,
comme le soleil ce couche sur la mer,
peau de douceur ,comme le voile de la mer,
comme mon hirondelle
,immigre au saison de l’amour,
recouvre son nid,
comme un poison violent,
je m évadé, laissent rage ,
et souvenir,mon silence au cœur pure ,
hoin fanny

LA CUVETTE ENCHANTER

Même si le temps passer,
Reste que cette plume sur nos chemins,
Un chasser croise aux cœur rigide,
Pour pas froisser l’autre,
Pour pas oublier le propre de nos écrie,
Si notre destin cet affranchir les autres
payer le prix des cries,
des rancœur a flot,
Toujours au croisade des lignées,*
Entrevue des podiums d’oscar,
Aux larmes déverser,
Par la cascade de cet livre écris
,Émotions partager a des lecteurs attentif,
Rêveur consumé,A comprendre le centre de cette terre,*
Et toue cet mots son soulever,
Ma main faibli de tremblement,
Le pure de notre image,
reste amour face a nos familles,
Le plus grand amour,
cet pas le vécue,
Ces celui rester comme une page magique,
Cacher dans le coin du cœur de l’océan
,La plus belle pierre cet ton respect a chacun,
Puis le sens résumer aux conflits de nos envies,
Dans cette marre boueuse,
J'apprends a lire transmette,
le savoure d’une femme vivace,
Dans une tasse de café,
a composer des boue de nous,
Des goûts de parodie de plaisir,
Cour rire après le fantôme qui nous noie,
Attraper les mots qui nous manquent,
assoupir met moment de désire,
au regard noir que tu me fait.
hoin fanny

TRUITE DE BAVIERE

Je te voie, *
t’allonger,Au travers ces rocher,
ta queue frivole,
Au amateurs de bordure
,Il creuse la surface pire que des rapaces,
Ton eau bouillonne de vie,
Et tes couleurs aussi,
Richesse tu es par l’éclat de ton arc en ciel,
L’œil obscur,
tes paramètres de survie,
Bordure vétillant,
Tu grignotes quel que vers,
L’oxygène de ta vie,
Equivaut a un appât de pain,
Et tu glisses lentement,
Dans ceux long lit au creux d’un tourbillon,
Il t’attraperons, pour t’engloutir,
Au fond de l’estomac,
Il y aura plus rien pour toi,
Mes les œufs animés laisser vivant,
Donnerons de nouveaux arrivant,
Il chattoyerrons,
le long des rivières,
hoin fanny

Mon arc en ciel


Na pas de forme,

il les biformes,
Il ce relie au autre pays
,L’union d’un amour sacrée,
Ces couleurs des poussières de baiser,
Qui arrose chaque martinet,
Les jardins parsemer d’amour,
Ils chevauchent à conquérir,
Le cœur briser, asséchée, transpercée,
Il rayonne le temps,
d’une chanson,
Séfaces et renais a chaque saison de pluie,
La capture de son visage,*
Me laisse de la couleur sur les joues,
Met lèvre chaude d’envie d’humidifier,
Son corps bronzé aux tablettes dessiner,
Transpirer au creux de met reins,
Par la force de tes main,
et de ton sexe souverain,
Mon plaisir exploiter, *
mon cœur cacher,
Le bas ou tout es rose et couleur du soleil,
L’envie tu brasses les seins,
Comme me tronçonner l’arbre de vie,
Sentir ta présence met ton soutien,
Jouissance ruisselle en ce lever du matin,
Éprouver des heures de plaisirs.
hoin fanny

Qui suis-je ?

Qu’a t-il de vrai
Qu’a t-il de faux,
Une dérision,
une contre façon,
Les désirer, sens illusoires,
Une relations, hormones d’un poison,
Chasseur, chassent croiser,
Butter , calvanniser,Savent, conspirateur des sciences,
Emprise d’un pouvoir,Sagesse,
lignée d ivresse,Cadrage, s’approprier,
Temps d’insoumis,Histoire vraie,
phrase fossé,Traquée, immigrée aux terre incontinent,
Passage, claquage de psychose,Dévoument,
battement d’un temps,Résidu, poussière de cadavres,
Structure, montage des monuments de notre pays,
hoin fanny

Le sablier

Le temps cet celui qui nous captures,
Le temps que nous subissons,
Le temps cet subjuguer les autres,
Le temps cet réaliser des mots,
Le temps ces celui que nous grattons,*
Le temps cet l’éternelle refrain des vieux parrain,
Le temps cet le goûte a goûte du café des télé réalité,
Le temps cet met voisin a la recherche de leur chien,
Le temps cet laisser une ligniez habilliez de propre,
Le temps cet la croûte des vieux labeur qui on persister,
Le temps cet les chansons composer qui vole ce dépose jamais,
Le temps cet aussi le poison violent dans les liqueurs avales,
Le temps cet chaque battement de nos vie,Le temps cet 15 minutes de soleil pour 30 minutes d’embûches,
Le temps cet la jeunesse qui s’efface,Le temps cet le bon vieux vin,Comme un chêne enraciner aux rides de beauté
hoin fanny
Comme un point parachuter sur une terre ,
Les membres ligoter a ne plus bouger,
Regard immense de l’humanité
Nous sommes humain,
Comme une chaire
qui ce promène sur les traces de souvenir,
Partir loin de tous ,
cet pas oublier qu’on s’aime,
Cet juste un Aure voire,
s’ouvrir a une terre nouvel,
Si ton cœur pleure ,e
t la torture ce fait dure,
Il y a des anges pour sécuriser,
Le plus plus beau adieux
cet celui tu trouve dans ta prière,
Finira son acheminement au paradis de l’inconnue,
hoin fanny

La valse des aimés

Dans un bain bouillonnant
Je vide le lait glacé
Soue le coin de nos fenêtres
On admirera les pâquerettes de verneuille
La récolte des fruits rouges
Au coolie de nos mots doux
D’une plume arracher au cul de ma poule
Je caresserai la pointe de tes seins
Coucher dans ce nid de paille
A engloutir tout ce baiser
Je me ferré arlequin
Pour colorée les désire de ta vie
D’une poussière dans l’œil
Je profiterais de baiser ton oreille
A l’aube du crépuscule
Et au gémissement Les crépitements de la pailles
ce fond sentires
Comme des orties arroser
Laissant les fesse rose d un nouveau née
La poussière de pénombre ce fond comme un brouillard
La pluie de paillette enveloppe l’illusion des frissons donnés
hoin fanny

Les témoins de la vie

Une fleur est néeEmparée par des épines dorées,
Souiller, par une pluie diluvienne
La cruauté de son espace,
Les fonds rougie,Jour après jour,
Les mensonges qui les détruises
Fonts tourbillonné, tourbillonnent,
Ces pétales d’amour,
Les pétales du plus beau jours,
Piétiner transpercer
,De toue cet abser purulents,
Jardinier destructeur,
De leur cœur si convoiter,
Ta petite fleure pleure,
Il parsème les prairies,
De toue nos édites,Criminel de la vie,
Tu es pourrie,
De sa tige un colibri cet poser,
A semée les graines de l été,
Dans l envol d une nouvelle joie,
Il se jette dans un vide,
A la conquêt d’un ciel bleu,
Dans une jouissance du champ de blée,
Les pu bisses peuves s’aimer
hoin fanny

L’envoler des feuilles

Et si le temps est long,
Nos regards reste figé,
Par ce doux refrain de la solitude,
A travers les vols et le chagrin,
Mon cœur serrés reste gravée,
Je pose mes mains sur ce corps brûlant d’envie,
Vie spirituel abondons de ton âmes relâcher,
Dans une source, j’ai déposé une feuille morte,
Au couleur de tes larmes,
au goût de pluie du nord,
Et si j’attends je me défends face à cette vie,
Les tours s'élève comme des pierres monter aux barrages gris,
Acheminement de tout cet labeur,
Qui bondis au bruit du papier glacer,
La haut le grondement,
Des tonnerres, des tracteurs,Annonces les couleurs,
Parfumée de cet boisiez,
Je me soule a l’envie de te retrouver,
Si je pouvais entraver,
je signerai demain,Je mâche toue ces mots,
Combien de brassage au goût de c’octaux,
Laissons-nous divaguer,
Jeter toue ce papier aux couleurs inhumain,
A la plume de nos chemins,
quetsche qu’une feuille,
Passage de survie,
chèque bien arrondie,Usurpation,
je serré la signataire des sans papier,
La terre est bleue, le cœur remplie de mélanges,
Les penser rouges,Les mains son nouée,
glacée comme des cadavres,S
il y a une terre de délivrance,
Toue les transitoire, parloirs basculerons,
Dans un déca tombe révolutif
.hoin fanny.

La peine

Ta peine cet ce sang que ta fait coulé,
L alcancie monte à la lèvre te donne la fièvre,*
Ta dupe, ta drogue,
coule t’enchaîne,Un ange parle pour toi,
juste des mots qui on monter au podium d’impresario,
Décroche tes arme les larmes qui abrutisse,
Ou ce monde es plongée dans cette brume profonde,
Guerre apocalyptique criminel des pays,
Un enfant tombe à la couleur de son drapeau,
Rentre dans le rang des vrais,
Le chant de la vérité aimé cet un soleil,
Ou on puise la chaleur du sourire,
hoin fanny

Les courrant de la vie

Je cour es je sourit,
Je ramasse es je me nourrie,
J'écris j’inspire notre vie,
Mon panier ce remplie,
Mon cœur jaillie,
Sabbat de la fumé au voile léger
Le paysage des maîtres sages
Ou la rose grandis,
ou le cœur jaillie
Où l inspirations éclos ou l’imagination s’incline,
Aimer cet l’envie de puiser un plaisir,
T’aimer
hoin.fanny

Papa longue jambe

Un tour de magie,
tu grandis la tour d'ivoire,
Un papa senteur de barbe a papa,
Une âme un clin d'œil,
Un pays lointain,
imaginaire les yeux plongeant dans ce lac,
Miroir de fée,
magicien inconnue,
Dénude de l’acrobatie Baltique,
Souffle de vie,
aire printanière,
terre lunaire,
Mes effet maire,
le continent des,
hoin fanny

Ma toile

Art contemporain ou préliminaire de belle face,
Je tisse en mélle pinceaux de soie,
Couleur artistique toile de lin,
Les dix doigts du poil de la main,
Constitue un chant nouveau,
Riverain lointain asperge de la contribution d'un temps,
hoin fanny

la danse des lettres

Un mots meurtrie dans une nuit,
Une lettre aimée pour te garder,
Ma voyelle sensuelle au sens littéraires,
Ma consonne rayonne aux clairons du matin,
Un déterminant imminente pour liée
hoin fanny

Le clown

Une goûte de cristal,
traverse la roser du matin,
La danse de microbe ce fit le long des façades,
Tapis jaune rosé m’ aunotone s'endorme
Les grains planifient la surface du long des canaux,
Met souvenir de fait d hiver irrite ce cerveau
Les pavots, coquelicot frisonne dans ce coton de tourment
Musicien chanteur, comédien,
Au récital alléchant,la vue de ce clown au larme salé
,hoin fanny

Le papillon


Parure de joie,

Une journer de combiné de vie,
Envie de batifolée,
Le bond de ma queue bandouille,
Brillant de perlerinne au soleil s’élu mine,
Danse de guitare,
battement de mon éventail,
Souffle du vent,
souffle du temps,
Butine, butine
les violettes des collines enchantées.
hoin fanny

Lange de lumière

Tendre individus qui au regard des voyageur
Une rose du nord
s étend dans l horizon du paradis de la terre
Une main penchée sur ce champ électrique,
Une continence de richesse
quelle aquerie a travers les dan dis paradisiaque,
Ces cheveux embrument les regards trémoussant,
Les yeux remplie de lueur de l espoir,
La douceur s'incline au regard de chevaux,
Lumière pétillante remplie ceux qui passent sur ton chemin,
Liberté reine de sabbat d une humanité,
Légèreté de ta bouche fine,
abreuvée le gouvernail.
Soufflé sur ce bateau pour y voire pousser des ailes.
hoin fanny

Ma main

Une main entrelacée couver de baiser
Caresse enveloppée remplie de bonté,
Une poignée d'amour pour te reposer quand tu es fatigué,
Une graine à la senteur du jasmin,
Une paume qui te donne du baume
a chaque aurore boréale,
Une main liée par un anneau d'or
,hoin fanny

La noyée

Alexandra ou l'envie de rire,
Ou nos main de sœur ou le lien liée jusqu'à la peur,*
Alexandra prie dans le tourment de ma vie,
Ou ta chanson rimée avec folklore auditeur de notre passion partagée,
Alexandra le destin à la courte durée,
Ou l'encre chargée,

a coulée au long de mes solos,
Alexandra es ton sourire empoignée les cœurs,
Berge de nos soupire, *
secret bien garder de nos baliverne,
hoin fanny

le silence

Le noir se dessine autour de tes yeux
,Je te regard partir,
un sons de la pièce se fait lourd,
La pièce es si sombre,
Met je vois défilée les champs de verdure,
Dans ce dernier récif de ta vie,
Un homme heureux de voir la nuit,
Tu tend vol la bas,
je suis la met ce visage ce vide,
Prouve que ton repos est bon,
Tu es à la barrière de ta vie,
Ou es tu,
hoin fanny

Dubaï

Pays de met rêve,
Si mon chemin ce fait comme l’étalon galopant sur ce sable blanc,
Mon visage blanc brasse l’envie d’adoucir les longs buildings standing,
Cristal de verre tour de diamant,
Brillant sur une voie l actée
,Bateau d un capitole dans l’obscure noyau du trou noir.
Le chant de la musulmane s’étant dans toue l’occident
,Du tic tac au fruit gourmand,
engloutissant diaporama.
Hélice de ton hélicot presto,
disparais dans l’horizon,
Tapis sable aveuglant les yeux,
Comme prestige laissant un mirage.
hoin fanny

Le barbu

Les yeux sur ta parodie,
dictateur des cœurs perdus,
Tu as fait un tapis d’enfant roi de l'univers,
Une terre mauditeJ 'entends encore cet pleure,
les hurlement les cries,
,Qui ce promènes sur une constitution
dominée par des guerres de conquérant,
Les pleure des cœurs blancs,
Ta mère encore rêves de toi,
L’enfant au récital de la paix,
La traverser de la colombe au message de paix,
Champs des vrais,
chant des terres mourant,
Capture des être innocent,
Délivrance de ma voix,
Se souffle brandie les vérité d une clé cachée,
hoin fanny

Les codes de la rue

Cet ou Pedro es le champs des vrai sens dorme,
Le code des vrai ou déluge des mots son pénalité,
Le vrai met mon frère cet pas une peine
cet un billet pour le droit de la liberté,
Capture la paix d un enfant ou le cœur repend l amour,
Le délit ou les langue son muet ou le silence es grand,
Le champs des dandies,
ou les yeux son prédateur,
La colombe de la paix,
La colombe au sourire blanc,
Une colombe au chant à émouvoir,
Pedro au bec long sens du perroquet,
A la dictée des long cotillon ;
hoin .fanny

Ma colombe

Sur un continent reculé,
un cœur blanc,
Une envolé blanche,
une poudre d’étoilé,
Une aire fraie,
une douceur de duvet,
Pour caressé secrètement les larme endiablée,
Des yeux au scanner lisant les conter,
les êtres aimée,
Au passage de tes chemin,
On n y trouve parchemin sourire du lendemains,
Un cœur qui succombe au mal de cette terre,
Le destin de la colombe blanche,
es de lange blanc,
Pacifiste d un temps ou une terre ce meurt
Ta paix rayonne toue le haut sur ta couronne,*
Emblème du paradis de la parabole des cœurs mourrant,
Dans ton cœur on n y voie la rose blanche embellie,
hoin fanny

l'éccatombe

je suis riche d'être la,
passionné de toue ces inexistant,
réccuilléme,danger ou une terre ce lie aux tiens,
danger qui pourrais t'importunai,
dans cette tranché de ton souterrain,
mon frère tes partie sens me faire un signe de salut,
clin d'œil de la mort,
un coin du désert,
révoltée a la constitution,
je me suis convertie en voyant une paix,
une sœur crie es s'étend sans levé du lendemain,
pourquoi mes frère es sœur,
ce dise liée ce dise aimée,
si un dieu les baigne du même amour,
autant de terre inconnue de chemin sans lendemain,
les pleure ,la douleur,coul a flot.
hoin fanny

les sept ton de la semaine

une rose rouge,
pour coloré tes lèvres,
une rose jaune,
pour l'enfant tu mas donné,
une rose blanche
,pour celle qui ta mie au monde,
une rose bleu,
pour soulignée tes yeux
une rose,rose,
pour voir éclore un matin sans rivage,
un rose noir,
pour la nuit te soie remplie d étoile,
une rose violette,a
ussi coquette
hoin fanny

le pantin

je ne suis pas un pantin de bois,
peut m' importe si le vent souffle sur met copeau couper.
si mon nez tombe a faute du mensonge sanguinaire,
mer yeux roules es mon esprit ne me fuit pas.
je suis moi petit existant sans dent,
juste une téte de bois.
quand je me ramasse je roule
,met cabrioles fond des extraie de mon passé.
ma langue de bois,
aboie comme cet cabot qui chi sur cet passent.
hoin fanny

mon ami,mon ami,

je suis la es tu ne me voie pas,
je dessine ton ombre,
imagine tes image ta pensée,
les heures passe tu regarde,
ce vide qui nous donne tend de jouissance.
aimer tes silence,
aimée parce que tu me juges pas,
te porté te caché pour qui sache jamais.
tu es une âme es un poids chez chacun.
tu les fait pleuré pleuré,tu es mon été.
une chevauché dans l'élan du tourment de ma vie.
une lumière une chaleur qui ce dépose dans toue ce que je fait.
mon soupire met lassitude.
mon évanescence de la croissance de mon salut,
deux regard croisé ne disant rien.
hoin fanny

le procureur

le procureur a dis assis,
a toue les partis de socialisation,
le procureur a dis silence,
personne ne tolère d'être subjugué ainsi,
le procureur a dis façonnons le terrain,
l'enquête requise être capable d'être manageur d'un livret
le procureur a dis,
comprenez nous ,comprenez moi,
le procureur a dis la lois es faite ainsi,
nous sommes téléspectateur,
es bâtonnier de la république,
le procureur a chanté,
comme le coq du matin
,hoin fanny

mon enfant


comment vivre sans sentir le soufle,

ou le battement de ton cœur,
aspiré cette bulle d'oxygène,
qui me compresse la corde de la voie.
ou es mon adorée de pastel de la croix,
au changement du chemin rythmique,
monogamie avec la plénitude,
qui étend a la lever de nos drapeau chatoyant,
un regard a travers un papier qui s'enflamme,
deux âmes perdus,
deux continents qui s'enrhume ,
dans un épais mur noir,
deux note perdus comme ce corbillard monte a l'échafaud,
la détresse de ton visage,
le crie des pleures
hoin fanny

la traverser de paris,


je te laisse si cet pour chanter,

pourquoi te porté si tu es mort sur mon dos,
insolite des chapiteau,
vagabond des vieux bistro,
solo les beaux rieurs qui farcis le visage,
un accordéon deux litron de vagabond,
sensuel désespoir de la cruel du passeur sourieur,
paris valse de met soloje vol a travers ses seine,*
scène qui grouille m'embrouille,
dans le tourbillon des faubourg de monsieur champignolle,
osette causette mise au point pour champignie du bu vin point,
dans ma balancelle on y retrouve les cafard,
le hazard des bon joueur amaigrie,
l arc de triomphe qui tisse un rayon,
a la croisé de charmé la belle dame de fer,
l'autre dame qui fait toue les convoitise des visiteurs,
ce dévêtue a la vue
hoin fanny

notre destin


le destin,le destin,

ces deux mots die entre un virtuel,
le destin,le destin,
ces ne pas choisir ses aimée,
le destin,le destin,
ces le ciel la terre qui ce rejoint,
le destin,le destin,
deux cœur qui fait qu'un,
le destin,le destin,
cet la jouissance,le plaisir de la vie,des sourire,
le destin,le destin,
ces vivres au temps présent,présent,
le destin,le destin,ces l'envie la force qui nous ronges
,le destin,le destin,cet juste un silence,pour pas regarder l'autre souffrir,
le destin,le destin,cet une chaine de vie enviée,
le destin,le destin,pardonné accepté d'être humain réaliste,
le destin,le destin,ces être faible sentir la lumière ce posé ,
le destin,le destin,cet une roux lancé dans le néant,
le destin,le destin,ces tune croissance qu'on renais
,le destin,le destin,cet une lutte de travaille con cet promis,
le destin,le destin,cet mourir a deux,
le destin,le destin,cet toi es moi.
le destin,le destin personne ne le choisie.
hoin fanny

Le vent

Comme le sifflement d’alerte,
Il brise la canicule,
Le vent du champ,
Grand parade des rats,
Le vent des morts,
Fessant bonne et a figure,
Le vent des grands,
Qui son trou balle d un moment de joie,
Le vent du coup cœur,
Cet le face a face de la pénude,
Le vent de l hypocrite,
Qui avance sans ce retourner,
Qui cela pété comme un chacal non agrémenter.
hoin fanny

L’artiste

Nue j ai conquise ta pastel
Lue es écrite tes devise charnelle
,Défigurer l’état de nature quel figure,
Congrénoie, congruisme,
Assis sur ta chaise,
Comme la charge poser,
Boom _boom je tombe,
Je m affaiblie,
Si le classique d une cuisse écarté,
Je léché l’eau qui s écoule de ta chaleur,
Et si ton doigt et aussi Bon que trempé dans le chocolat,
Je sucerai chaque cartier de toi,
hoin fanny

Booba

Cet pas des bac de moins de 10carat
Met le sens de peste et du collera,
Si il disjoncte sur une platine,
Il en magazine les publication Serveur d infiltration,
médiation,Il fraternise avec les jeunes des citations,
Dan sa saisons polaire le froid gouvernise,
Cet chants et remet le baume de la poitrine,
Les vacances d’un grisllie du bémole,
Au pécolle ton p écu tu la décrie a l artiste
hoin fanny

LE ROYAUME DU MONDE

Une boule cet formée.
La lumière a rayonnée,
Un rayon a transpercée,
L’épie de champs de blé.
Des têtes ce son lever,
La tribu des animaux ce son liées.
Dans le silence de l’éternité,
Deux corps se sont aimés.
Leur chaire étant que de poussière,
Mes la tête plein de lumière.
Leur cœur remplie de toute cette chaleur,
Leur tête soumise a notre seigneur.
On entendit un bruit, l’eau qui jaillit.
Le soleil transperce le bleu qui s agrandie,
Deux mains ce son lier,
Admirant la splendeur.
Il n avait pas de demeure,
Mais juste leur cœur.
Pour admirer cette couleur.
Celui de leur chère,
Temps de beauté venez de ce crée.
Au différence visuel.
Que nos penser reste fidélité.
La monter des arbres est acheminée

hoin fanny

sadam

sadam
Contamination du temps,

ride de jaunisse laissent place,
A met bagua lame,
ampleur de met mots,
Au toucher immortel je paré conspiratrice,
Comme ce glaçon nés soue ce froid atomiser.
Sucer suceur à la glande gonfler,
On a oublié d’effacer ce chemin,
On ce lève au distinction des croiser,
On gravie sans jamais écrasé celui qui nous temps la main,
On déverse de l eau et du pain,
Sur met campagne met amie,
met copain,
Comme la tracer d’un inodore on surplomb,*
Les cal liter les terrain,
on oublie jamais qui on es,
Toi mon diable de nuit,
battue au chants du matin,
Ton jugement donné,
ton ange t’accompagne,
A la porte du lendemain,
comme une marchandise jeter,
Au devant des caméras tes yeux emblème de ton pays,
Comme le coq, qui chante les matins
,Victoire d'amour coqueluche de diversité,
J’écoute, j'attends l’élan le crépitement puis le boom -boom,
Comme un tam - tam, le voila,
Il les grand prêt de nous,
Comme cette victoire mener, gallon de lieutenant,
Combattante pour celui,
d’une passerelle,
Je me lève, sans jamais traîner comme une chienne,
Il Ce fait lourd es violent,
s’envole dans la folies de la gourmandises,
Nuit de lune au voulloutté de la douceur,
Te voila meurtrie par un peuple qui ta engloutie
hoin fanny

lady dalhi

Lady dalhi
Celui ou l été et si bon es chaud Oiseau poser sur le bleuet,

Le dénude au soleil couchant ,
Pourquoi je vie si cet pour pleurer ,
Ce remplir de la solitude,
Qui gratifie dans toute nos penser,
Graver éternel jouissance de l adolescence,
Je suis qu une pucelle a lecture des auteur de ce monde,
Et si l eau jaillie, comme la cascade d’azoul,
Et le fond ce fait tonnerre éclaire,
La rage au goût de l amertume de toue met dissipation,
Futur de sans lendemain,
La lanterne comme seul point de mire que j’apercoie,
Assise en dessous de ce palmier
, a siroté ce dernier,
L’a mort ma envahie quelle tournent prend ma vie,
Au dessus de ce lit, au dessous de vous,
Avec le si j’ai fait le tour du monde,
Avec ma main toucher ton allure charnelle,
De mon cœur écorcher ton âme,
Avec l ombre m’envoler dans le tour de beauté
,Lumière je me suis imprégné de t’aimer,
D’un dernier sommeil je me voie encore prêt de toi.
Fantôme blanc d allure,
me montre le chemin,
Le dernier souffle d être contre toi.
hoin fanny

au matin

Au matin
Je savais que ton souffle n était plus,

Tu as laissé place au soleil,
Met notre âme vivra l éternelle,
Soie sur que je serré la,
Soie sur que dieu alla nous laissera,
Si il n y a que des mots,
Ces l espoir où tu es parti,
Attend moi de l autre coté,
Comme moi qui ta épauler,
Aimons nous comme il ce devez,
Cocoon qui éclos du paradoxe,
D état d écriptable battement d aille,
Danse d’orient aux champs du golf,
Le vent s soufflet sur cette dune de sable,
Une rose ces perdu dans un baiser de lumière,
Souviens toi de moi, souviens tu de nous,
Si le faucon seul témoin de notre amour,
Sur le silence du désert, planne encore,
Ta princesse, la loi de la vie,L’envie die me reposer,
Juste pour écouter encore ta foie,
Ton amour de déshabiller la femme,
Un homme aux conditionnels sur humain,
Met un prince aussi beau que le linge blanc,
Habiller par ta mère.
hoin fanny

le soldat

Le soldat
J’ai un petit soldat de plomb Habiller d amidon,
Tenue de raideur au front,
Mon petit soldat de plomb,
Je jouer à pianoter,Ton fusil,
Ce reflet si jouer,
Porte l histoire de ton nom,
Ma main tenue comme ce bing bang,
Mon petit soldat de plomb porte ton nom,
Si ces la gloire du passer,
Il porte la guerre es toue ceux qui son passer,
Mon soldat aux yeux rabattus,
Le dos courber et ce casque,
Uniforme qui dissimule l ombre de ton âme,
Si ce pour temps parler,
Cet que je porte son nom,
Pas la gloire,
met la fierté d’un homme
.hoin fanny

le crie du combattant

Le crie du combattant
Comme l’élégance,

à la hauteur de mon ka tanna,
Je divise ma vie, au cœur née,
Ma fleur rouge imbibée du champ des vrais,
Battaigniant aux plaisirs de ce convertie,
Un maître es né, si mon cœur s’étend ver l orient,
Mon énuphard sacret reste mon coin discret,
Du balcon la vallée de vert,
Parfum enrichissent du morroco,
La division de la hache,
Je chasse les démons,
Met l ombre de met nuit aussi,
Fidèle guerrier de tes envies,
Je viol ta vertu,Le gala a commencé,
les pétales du chacal,Recouvre la berge,
d une rosée, d un parfum inconnue
,Le mistral réagie au son du tambour,
Jeux de tournoi compatissant
,Et si l effort ta tuer,
Je reviens plus riche
hoin fanny

l'ile

L’île
Dans mon île,

toue es sauvage,
On y entend les oiseaux,
Les cascades met aussi la joie des enfants,
L île aux oiseaux,
Paradis de cet petit bambin,
Dans mon île le soleil et vert d'espoirs,
L’esprit si léger pèse a l envie de si baigner,
Dans cette île le sable blanc,
Si fin qu il passe à travers leur main,
Dansent courent sur ce tapis blanc,
Aux chant de leur maman,
L’odeur du poisson griller,
Porter par le vent,
Remplie les fêtes que nous fessons,
Dans mon île les balançoires,
Sertie de liane,
a la force de leur petit bras,
S invente des noms d animaux,
Dans mon île, toue es beau
,Les rocher serve de cache-cache,
Es de petit cœur graver,
Les cabane sur élever par les temps de tempêtes,
Couver de branche de palmier,
Les fleurs couvrent les cheveux longs,
Dans cette île toue le monde peut s il plonger,
La mer balaye les bateaux,
Nous remontons au temps de robinson crusoée,
Dans cette île des perle cachée,
Des rivières de diamant,
Dans mon île,Passerelle de terre,
Tu t y gratte es les pépites j haïsse,
Met toue sa cet la beauté de mon île,
J aimerais quelle vous berce,
hoin fanny

le soleil

Le soleil
Il s’imbibe de leur chaleur,

De leur humeur,
Met aussi des éclats de rire,
Des états de passions,
De cet poupées de chiffons,
Qui ces pas leur dire non,
Et sa douce, qui frêle un chemin,
Celui de ton destin,
Il s’engloutie dans leur tourbillons de vie,
Que de jolis papillons,
Entre eux,
toue rayonne même les temps couvert,
Et puis cet valeur,
qui son nuage de gaîté,
En vous regardent le plus beau soleil couchent,
Le plus beau soleil levant,
Celui d avoir crée des enfants,
Et puis ces branches vaillantes,
Qui s allonge comme vos sourires,
De toue les plaisirs,
Le courage ce lie,
sur vos visages,Les plus belles rides,
Ce lie comme un tronc,
qui en die long,
Le tic tac passe d’un temps de violon,
Dessiner sur un fond de coton,
Et ces yeux,
qui fondent le milieu de la mer,
Ces étoiles graver pour la vie,
Toi magicien te sue les parsemée,
En faire cet rayon celui de ta finissions.
Hoin fanny

le voyage

Le voge

Et si le temps est long,
Nos regards reste figé,
par ce doue refrain de la solitude,
A travers les vols et le chagrins,
Mon cœur sérés reste gravée,
Je passe mes mains sur ce corps brûlant d’envie,
Vie spirituelle d’abandons de ton âme relâcher,
Dans une source,
j’ai déposé une feuille morte,Aux couleur de tes larmes,
au goût de la pluie du nord,
Et si j’attends,
je me défends face à cette vie,
Les tours s’élève comme des pierres monter au barrage gris,
Acheminement de toue cet labeur,
Qui dandies aux bruit du papier glacier,
Le haut le grondement,
Des tonnerres es des tracteurs,
Annonces les couleurs,
Parfumée de ces boisier,
Je me soul a l’envie de te retrouvée,
Si je pouvais entravée,
je signerais demain,
Je mâche toue ces mots,
Combien de brasage aux goûts de c’octaux,
Laissons nous divaguer,
Jeter toue ce papier à la couleur inhumain,
A la plume de nos chemins,
qu’es ce qu une feuille,Passage de survie,
un chèque bien arrondie,Usurpation, je serré la signataire,
Aux relâchement des sans papier,
La terre est bleue, le cœur remplie d espoirs,
Les penser son rouge,
Les mains son glacer nouée comme des cadavres,
S’il y a une terre de délivrance,
Ces pas dans ce temps
.hoin fanny
ya

les putes

les putes
Les putes

putin langues qui divagues,
Ou le noir fait façade d'accalmie.
Ou les trottoirs inondent de ces poules qui gloussent,
La bave a coulé ;
on peu encore y voir les traces laisser comme ces déchets,
qui les on persécuté.
Blasphème, les yeux braqués encore comme ce fusil.
Soulevé la conjugaison du bon savoir vivre.
Les putin de la raison ou croie toue savoir sans connaissances de son voisin.
La langue des putes elle pue.
La parodie de la putin.
Reine des crétines manque plus le sac.
Ou les gants son blanc met les mains noires qui ternissent nos champs.
Les putin du dimanche manquent plus la moto.
hoin fanny

courrage

courrage
Un doigt, deux doigts, trois doigts,

L’inédit de ta souffrance,
Un doigt bandé je te voie crier,
Deux doigts, trois doigts, quatre doigts,
Deuxième congédié badigeonné de ta crème,
Trois doigt, quatre doigt
je suis sans vois.
Libre sans joie,
libre es sans pensée,
hoin fanny

le miracle de l amour

Le miracle de l’amour,
Le miracle de l’amour,

J’aimerai être toi vivre ta passion brune,
Etre l urne de tes secret,
aimer ce que ton corps assagie,
Dessiner les traies de notre vie,
Reliant deux continents en un seul cœur,
Aimer de ton miroir,
Pouvoir te touché,
sans relié l’obscure,
Courir a deux dans ces champs verts,
Emouvoir les salles être ton sang de l’évasion,
Chanté l’hymne de ta vie,
Etre potiche de ton lit,
bravée les guerriers de l’inconnue.
Sentir ce parfum glisser au creux de ton bras,
Libre, libre de bravé nos débat.
hoin fanny

le vent porte son parfum

Le vent porte son parfum
La berceuse endort encore la mer de sa mélancolie,

Les rire circule dans les cours de récréation,
Le soleil ce couche sur ce mur chaud au couleur du ciel,
Le miel coule à la douceur de ta peau,
Les champs s’élève au couleur des drapeaux,
Comme cette ange qui t’emmenée,
Le silence acclame les lieux de notre résidence,
Tu brille de mille feux au loin de met souvenir,
La poudreuse ce fait profond,
Sans choix nie lois,
Partis dans l’obscure,
hoin fanny

diable

Diable

Diable Doux es tendre frisson,
Il te prend es t'emprisonne,
Il soulèvetes plaisirs,
Brandis le pouvoir du facile,
Attirant aussi époustouflant,
Il te pousse dans le vide,
La descente es la,
tu dévales cette escalier Avec tend de plaisir es jouissance a crus.
Durable douleur au gout de vos larmes,
Amaigrie sans vie
,Une main ce penche sur mon reste
.Une main qui ce dérobe,
Tendis que dégouline ce sirop acide un dernier sursie,
la prière du diable.
Le coup du bâton aussi bon qu’une brève.
Toue s'anéantie le noir s'entoure de met yeux.
Juste une pensé aux derniers moments vécus.
Juste une pensé si j’aurré pue.
Es si j’avais écoutais.
Es si j’aurré protégé.*
Je vivrais je vivrais une éternité.
Libre de passion sens souillure.
Met je vivrais égayement
Je serré libre de voir tramway,
libre d’aimer.
Si le choix était la ?
Si ta chance te sourirait ?
Es si demain on changé toue ?
Hoin fanny

mon aigle royal

Mon aigle royal
L'envol svelte de son mouvement,

Rend grâceDe l’honneur de sa couronne,
Un battement à l’allure du vent,
Un crie persan pour assigner l’ennemi de la prédiction,
Récital des animaux,
du rapace carnassier,
La grande vallée verte a la senteur de l’iris blanc,
Larme du justicier de la paix,
L’étoile de l’éternité,
L’épée ver million cet moulue a la surface du désagré,
Vol, vol jusqu’au col du midi
hoin fanny

la ronde de la vie

La ronde de la vie
La paix ce nez pas un enfants qui tiens cet main remplie de larme,

La paix sa serré un soleil qui sourie,
Une lumière intense,
qui rayonner,Réchauffer chaque cœur de frère es soeur,
Ou l’âme se ferré musique es les discours se ferrons velours,
hoin fanny

le désert blanc

Le désert blanc

Les lézard danse soue ce soleil brûlant,
Macabre corps subaigu sur ce salut éthiopique,
Guerre, tempête, tourments,
Les mirages délivrant un message,
hoin fanny

lla guitariste

la guitariste
Tu joues de la guitare,

La zik fait pleuré les continent les champs,
Ma fleur je tes cueillie dans un champs de rose,
Perdu les corbeau rode a la barbe longue,
hoin fanny

l eau de vie

L eau de vie
Pure es délicat fluide,

Joui tendre lipide activateur de la vie,
Dégouline à la fraîcheur de l avenue du printemps soyeux,
Le tourbillon d’air cet former en caricature,
L’ébullition transformation d’un lien d un être inhumée,
Fuit, fuit, cette obstacle a la transmission de la donner nocturne.
Le temps nous sourit avec cet intense reflet du clin d œil jaune.
Ce reflue de la dame blanche qui jette son coton.
Les canaux de vie.
Hoin fanny

pas a pas

pas a pas
pas a paspas de rat pas chasser,
au recrue de l usure permis,
des polis a l'usurpation,
corruption soulagement,
du soudoué guerrie par un messie ,
qui cet générer un beau matin comme guerriseur
.la chatte élargie,
par avoir laisser trop longtemps flotté un doigt.
Hoin fanny

angel

angel
Angel amoureux d’une colombine,
au effet lumière bomber Le chaire du crépuscule
Je suis au regret de dire,
que je vous es aimé,
Je suis au aguets de voir l’abondance du mal laisser,
Si les grenier ce son vider cet par l’accune de vos secrétions.
Le crapaud vous z a vendue .
Hoin fanny

l'oiseau nocturne

L'oiseau nocturne
Tu as survolés,
des plaines et des vallées.
Toi, l’oiseau de beauté,
Tu caresses la lune,
le grisard Ton apparence charnelle apparais.
Comme une grâce a met yeux.
Tu chasses ces rats.
Jolie appât de tes nuits,
Repas a sortie, mulots, souris
Toue t'en haut j'entends ton crie.
Superbe carnassier,
oiseau de nuit Tes ailes,
comme celles des anges.
Beauté, incarnation de lumière de dieu.
Une belle nuit plate,
Blessé je tes ramasser.
Couvert d'amour es de soins,
Cette nuit de pleine lune
,Ou je te parler,
Tes silences étaient longs.
Mes tes mouvement gracieux.
Tu es resté, trois mois prés de moi,
Dans ce vieux grenier.
A essayer comme moi,
De vaincre tes peur et tes douleur.
Ensembles nous avons grandies,
Et depuis que tu es repartie.
Je ne tes jamais oublier,
Toi l'oiseau de grâce.
Tu as u mon toit,
Tu me guides,
et je te suivrai,pour l'éternité.
Pour tes envolés illustré de baiser.
Au dessus des montagnes, des forets.
Ces villes bombardés.
Pleure, de toue cet chaumières,
Une pluma d'or ira consolée.
Chaque homme traumatiser.
Car cet un message précieux.
Envoyer par l'ange amoureux,
Tes plume sacrée.
Endommager par toue ces voyages infinis.
La magie et tes mystères te porteront,
Moi ou je suis pas.
Celle qui n'oublie pas.
Ton humain adorée.
Hoin fanny