etouffe moi tropique ,
ethopique du capricorne ma pris au coin,
sur ce blanc es fin sallé ,
ou prélace requin es sardine ,
ou cantite deversse chagrin de verset d opollon,
ou nuage perverce avancer de rage s echange,
carnage es defigure face grise ,
ou crise de sourdin e,
follie follie meurtrie ,crve de priére bref ,
tendre tes mots ,tes joue ta voie,
tendre une corde ou les sylabe sonne résonne ,
flotte dans l aire come la note de dodo l enfants do,
mi sol my résonne ,
hoin fanny
je t aime de met mots ,
de ma pasison dessiner pleurer,
dechirer ce chagrin de traverse ou les train convoie,
tue moi de ma parole de cet s ouvenir de ruet ce sol ,
nos plaie ouverte qui nourire les autres ,
i ndividus de rue clochard au reve noir,
braye de ce noir qui a bar bouillier nos été ,
eclabousse nos figure,
cour de ce crime d etat ,
des textes de tendresse de danse pianiste,
mourir mourir sur met pages jaunis ,
es de tes visages si gris
hoin fanny
hoin fanny
elle tourne comme des parapluie bléssé,
es lache des nuages doux au toucher,
de met pas assechant je glisse ,
de mes assécher je rue de ce blanc habillé,
traverse les temps;
boulverse les fleurs,
tourne cheveux au vent,
manege d'etoile siflotant ,
ma lianne tire a yanne sur une corde raid,
griffonne tableau es magnétophone de cet voie perdu,
songe de cet voix lactée,
l'encre du sang,
le coeur amaigris,
boulverse l'échantillon de toue cet chansson,
comme ma pendaison de ce chef lieux,
hoin fanny
un soulier si fort resonne encore,
dans cette rue qui surmonter des pierres
des talus en haut , une croix planter,
un homme au regard bleu.
es met bras eccorchet de cet aiguile du coeur,
l herreur d etre fort,d etre homme,
de faire des comptes a des enfers ,
couloir de ma voie guide met pas,
met chantier se son abatus.
hoin fanny
