dimanche 27 décembre 2009

new karim

j aurrais aimer t offrire cet colier de perle,

ou le sable cet jetté comme l' adieu

a cett douce vague es de cet nuit .

penser gravire ta vaste lueur de te syeux,

aimer a coeur de cet perriple voyage conquis,

faire du rodeo ,

ce jetter de tres haut de cetet falaise .

parachutrer les recifs ,

devaster cet petalles de nos pied flottant.

courrir le temps ,remonté l horloge,

batir l oeuvre de mon sang de ma chaire,

de met larme,de cet cris qui mon noircis l envie d aimer,

chante rcet printemps ,trouver le temps de ce tenir lamain.

aimer ensemble chaque matin.

pecher jusqu a couvrir d or nos enfants de nos pays ,

hoin fanny

hoin fanny

ma lettre mon frére

a toi seul ,face devant ce vide,
es chaque goute d'eau parayse ton regard ,
le vide te transporte loin d un passé oublié monté de pierre,
le bruit de la marre s'etein,
met le chocque te refroidis,
es ce sang fa ce au yeux ,
es cet main ce parayse,
met tu avances plus.
le gun du ganster t'attire,
refroidis loin de ton enfer,
mon fréro les yeux braqué sur tes barreaux,
cet putin fils de pute ce fond des doigt ,
jouisse de leur liberté,
ce crois égaux cet gros paranno,
l'oeil es le regard du tonerre ,
vise es braque cet chien de guerre.
comme une bombe atomique,
l'oeil affricano frérro ,
le sanglot de tes mots ,
cette larve d accide périmé qui zon tous jouet .
je suis les yeux de la fleur es du paradis fiscaux,
hoin fanny






ta rever d un massacre

tendre baiser

ma lévre baise la lagune ,

de ton chemin ouver sur un espace commune,

mon sourir enflame les disques es les yeux de don quichote,

charger comme cet bliblique entérré de leur pauvre souffrance attéré,

le fleuve s'engouffre dans les lits de cet pauvres apprentis ,

alors seine de mon ame ,seul de cet juppon croupis d'angoise,

j'enchaine les paradis es fraguemante leur scéne en dérision ,

envolle sur cet cotillon quelque coup batton,

théatre je vous aimes de cet crepon rouge,

lancet en haut au coeur provincial.


hoin fanny




samedi 19 décembre 2009

la table

un paim noir ,

un bouillon culture,un appel a dieu,

des fusil braqué es le silence de la chaleur,

le couteau soue la gorge

je saute sur la mine ,

qui ilumine les échasses des grand.

comme une part du bonheur,

sur une cote bleu un pélican qui péche,

les ruminan allongée qui salive de nos proie aveuglée,

liqueure de mer au bleu carmen,

ou s'englante la nage libre ,

seul a trainer cet killer comme un carnassier,

hoin fanny





vendredi 11 décembre 2009

la gitane

histoire de gitan

une danse de gitane

ou mon âme ce rend fou

ou la dame joue du charme

être une gitane

cet l amour qui pétille

es le feu des grand jour,

le cœur d une gitane cet la braise de met main

le chemin d une gitane cet la roulotte humaine,

le parchemin du plaisir es du bonheur,

chanson de gitane cet humeur stupeur des yeux,

allumé un grand feu es sourire a la grille du feu,

amour d une gitane cet le cœur d une mère ,

es du partage des grand voyageur du temps,

hoin fanny

une rencontre en voyage

Une rencontre en voyage

trois ans je traverse les canaux les refrain les rêves que les parodis de toue cet dictateur a mon accroche .

sans arrière du dénude de ce coucher immortel sur cette bosse doté d'un pouvoir a émouvoir les yeux, les mouchoir ,accrocher les plus beau discours que je me suis assis la haut.

sur ce dondaine a dos chameau parue bien plus cour que les voyant d un véhicule, dans un sens sans savoir que l'inconscience peut succomber a un territoire un chemin une liaison fatal.

sa serrai sans frontière jusqu'à nous ,autant de parachute lâcher comme cet commentaire ,combien récit son venue marcher au travers le caractère bien affirmer de toue cet olympiade .

es l accrus du bon vieux sujet qui ferrai diversion du centre orientation de cette ombre de la pénombre laisser.131

l'empreinte sarcastique de ma doublure sur ce sable divin es fin comme l or qui coule .

et ce rayon qui traverse es chauffe comme des heures imprenable soue cette ectopique chaleur de nos pauvre corps face au devant du levée.

supporté a être écorchée d'une vie d'incertitude souscrire a cette cor laisser des grand armure de fer.

être zaina ou gladiator dans z'une nombre exemplaire ,extraire de cette loi de ce outrage qui nous courbe es cet brulure de la censure au sens des parole démesuré.216

être droit es doté d'une magie de force a ce relevé,plongé au passage des noyée roulé es comprendre le srupture es diférence de langue.

je te voie pas met les pas reste un hommage de ce que tu ma enseignée comme une mort vivante.

es i je devais comme toi perdre la tète te découvrir soue une couleur une terre ou un nom qui rime pas avec amour.280

avancer tremper d'une maladie es connaitre bien plus d horizon que ta confession se ferras.

être humble avancer la pointe du jour sans ce retourner au risque d être pornuqué a un autre temps incertain .311

être soie même aimer la force du courage es de la rencontre.

sans une nie lois je serrai légère a aimer rencontrer sans redouté l être de demain.

sans une nie lois la joie es le devoir du courage cet poser a te dire met secret.

ma rencontre ultime ,mon souverain divin,un baiser juste poser a cette rencontre 370.


hoin fanny






mercredi 25 novembre 2009

la course a la montre

ma plume griffe ma page ,
comme ce visage arroser de baiser de gaieté,
le flingue coller a ma tempe ,
seul déclik de mon aiguile résone en ce matin,
le vide de l'etendue de la falaise arrose ma fenétre,
penché la jeté verse cet larme sur cet corail au verset de sang,
les poignet de dollar ouvrie sur cette campagne ,
un eclaire de vie,fraguement du chemin de verre,
tranche mon corp ,tranche ma vie,
met éclaire fond la nuit ,
la cire s'épuise aux souffle de met mots,

hoin fanny

samedi 21 novembre 2009

la pluie

apres l'orgeuille es la secheresse la pluie ma sourie,
de ma langue je puise dernier goute ,
longe le bambou chaud,
es glisse le long de ma chevelure,
es de ce cou irriser frimissant de désir,
soulage cet ardeur de soif ,
qui épuise ce corp éxégue couché au creux de ce palmier,
chaque claquement es t un compte de fée,
un parfum d embaumenent ,
ce sol qui dégage fluide de la poussiere,
es cet cailloux perileux a la marche laver ,
brille comme des pailette d'or,
enfant sautillant de cet flaque ,
de cet miroir qui reluis de leur beauté .


hoin fanny

la résistance

un volcan d'enfer,

déffiler ma vie resisté au temps périleux,
la gomme coller au chaussure ,
yeux fixer devant cette écran vide,
la lune réclame son soleil,
posé sa tendre joue sur ton transistor ,
l'étoile brille de son sallut au fond de son puit,
les agrumes couvres la nappes si opales de cette nuit vermillion,
comme un assenceur les grillions joue de leur plus grand orhestre.
les sombres, fleures ,ce balaye ,les champs frissone au blé muri.
axélére le cadran de de vie, tendre passion a courir ,
s allumé de nos aprés midi ,débatre de cet latte qui durcie ,
étre impunsi soumie a nos désirance .
chante fontaine es voile mes bras.
hoin fanny

ma france

si je veux un trophet cet une médaille d'honneur ,
entendre le cop es la détenssion du fusil,
pour couvrir l'étoffe du corssage de soie ,
je ve que met cheveux ce bétaile de fleur,
message gronderais de papillon bleu;
ou les taniére coulerais de riviére d'or,
es l'honneur a ma droiture de ce barreaux,
dignité de ce laisser trainer ,craché ,
au cloein d oeil d'une ville remplie de sa lumiére,
mes ce poison cloner dans la tounure de ma france,
boom boom de mon coeur ,
je baiserais le vent es le drapeau de ce bleu de sensure ,
de ce rouge feu qui drague les pénitances assiéges la lois,
de ce blanc qui me couvre d une digue de couverture ,
elle chante ma france a moi,
brille es rayonne de versaille au rocher du corsaire.
hoin fanny

lundi 2 novembre 2009

cet l histoire d une femme

cet l'histoire d'une femme qui traverse les pays ,
ses l'histoire d'un amour interdit ,
cet l'histoire des chants es de la violence sur autrui,
cet l'aventure es la démesure ceux qui l'on détruite,
ses la tristesse d'une vie morte qui nous crève a chaque réveil,
cet ma guerre es mon courage a dérouler mon tapis gris
cet mon esprit le sang qui fond met plafond,
es le gingandes coulant a flot de quelque euros.
cet l'histoire de ma vie ,

hoin fanny



la savoie

les piéce rebondisse au flic flac de l eau,
la téte en arriére es le veux dans l'ame,
l'espoir d'aimer de vivre en paix,
éffacer la maladie sérrer a grelotté,
sourir a ce vieux banc,
isolé de toue ces cul indiffame de cet résistance,
parchemin de liziére au recis d'un peuple,
faire des levé a un monde plus vaste,
des sourires a épanouire es brillier aux yeux de miroir,
les étoiles retentirais comme le bouchon .
sur ton visage je revérais ce vieux cygne couché ,
ce long des canaux fluide es gracieux au large de sa plume,
ma parole ce ferais de brasse a malaxer cette étendue de bleu,
a rincer toue les étre déchus es pauvre du coeur.
la chaine serrais longue d'une queu a un blanc ,
d'un pic on surmonteras l'étendue de la beauté ,
des couchée au couleur de glace ,
au deux face des diaman,
es notre pas résonerons ;
comme l'écco de ton nom,



hoin fanny

dimanche 1 novembre 2009

l'amour interdit

nous pouvons pa aimais car nos main son de couleur,
nous savons pa dire non car nos coeur son hard de notre vie
on voudrais réver met nos chemin son escarppé,
j'aimerais te serrais deux continent son éloignée,
tu voudrais des enfants attendre cent ans a quoi rymerais l orien,
es entendre entendre les chant rieut de nos futur acteur.
je voudrais plonger met main dans ce seau couleur mentalo ,
parfun divin que tu leche devan l'été indien,
toi face a moi qui cet plus quoi penser ou oublier ,
4 hiver blanc mon couver de ce froid ,
comme seul souffle uen bougie un clavier noir,
une foto jaunie de ton regard fatiguer ,
de vous z a moi de eux a vous ,
j'aimerais qui chauffe entre cet drap un coin pour moi,
de cet nuit a penser a ce mariage pauvre au sourir riche ,
de notre amour si particulier,
qui dure des crupuscule entier,
de vous z a moi je le cherche encore ,
de vous z a lui il cet endormie .
hoin fanny

dimanche 25 octobre 2009

bibi

une larme au fond de nous


enfant tendre intelligent,


un bibi qui roule sa bille,


au pupille de son tendre pupitre,


un domaine au chant rap un gagnant au coeur valliant,


habibi le coeur grandis,


ballon de joie vol decue de toi,


es le coeur des anges protéges petit garcon,


au fond de bleuet,






hoin fanny

president

le president a du poil au cul,
depuis des décénis,
il es assis sur un tron en forme d icone,
a force d e ce talonné,
president cet grillier le chevelus,
de casuisse au galon romaine ,
on crépule les bavardise de ce compatriote,
ce président a les fesse rouge de recevoir trop la féssé,
attention au claque de baraque obama,
comme une americaine bien baiser,
chienne de vie,
un president a la cannicule ,
es mouille ses pantalon ,
accrocher au echasse du peuple ,
au escart de cet vieux deboucher medaillier,
et roulement tambour ,
pour le plus moin infortuné met le plus crevar,
ta veste ce perce au rytme des année ,
bientot drapeau levé marianne ,victoria ,
bataileron a notre liberation francaise.
cet la lute des ouvrier des pascifistes de survie,
au arme citoyen ,
la fleur au boue du fusil.
hoin fanny

la larme

es si l amour etai une larme ,
je voudrais quel glace au pâssage,
si une goute serrai virus d appoint,
voudrais qui foudrois le mal du passant
arrivée a vivre ,
survivre parmie les chacal animaux de la jungle ,
agripper a la grippe h1n1 marcher dans ce vide ,
je voie grouillier les canibales de cette vie ,
emparré opresser de leur surcie ,
ecarté toue obstacle des rats des champs des marré,
balayant par des grand cris de singe ,
tres bruyant sens comprendre la civilité cet quoi,
la banalité cette piquure qui nous serra soumis,
sans contextation es comme des toxicomane ,
nous tituberon devant des flot les mots d un passage ,
d'un temps du moment qui tire ver le bas,
qui sens la grise du charbon,es les cailoux de remblais,
je me plis fatiguer les traie jaune es l oeil verdis de cet rapace,
met goute son que le recie de ma pauvre vie.

hoin fanny

mercredi 21 octobre 2009

ramadan

mon ame vol au dela de mon jeun ,
ma nourriture es riche de la parole ,
mon sourir vol pousser par le vent,
le voil es le respect de l'image de mes frére,
la couleur du soleil es la parure que dieu m envoye,
le sang es la goute de ma vie es le pourpre de met lévre,
le visage pal met le corp remplie de force que je m'étend,
les coup les ranceur de ma couleur son rien face;
a ma teneur de mon coeur pour mon lideur,
tendeur de met relief es esclamation de notre gentilesse.
je sen la profondeur du bien es du propre sur mon visage met main,
dormir a coter de la priere étendre sa reflexion du bien du mal.
des chatiment existant.
gouté gouté cette oeuvre de paix.
cet dieu qui la partagé.

hoin fanny

vendredi 16 octobre 2009

les planchistes de la mort

Les planches de la mort
j ai rêvé mille foie de toucher l'Europe,
De voire s étendre l'horizon soue d autre couleur,
Diplômer ingénieur la palme a la main,
Je brandie quelque billet pour un pallier d or,
Comme un surfeur je viol les lois de la natures,
Le baume dans le cœur,
La foie et ma raison, sacrifice et humain,
bivouaquer comme un rat sur une planche,

j'abrège ma souffrance,
Dessine mon destin si lointain,
Quelque regard illumine mon chemin,
Il na pas d étoile juste des rats amasser,
Comme le sable alourdie la cale,
es la crevasse de cette estomac qui nous cris sa famine,
juste la fièvre interne es le froid de la grand marré ,
un coin a serré fort le bord d'un continent,
une image apparat es mon cœur ce réchauffe ,
le cœur a l'évasion d une vie remplie d amour,
demain nous serions deux ,
main dans la main en lacet,
au calme d une liberté ,
pour notre amour une éternité,
j'abrégerais notre passion es nos souffrance ,
par l'éclosion d'un childreen qui sonneras,
les valeur ,l'espoir d' un pays ,
hoin fanny

dimanche 11 octobre 2009

l'enfer du feu

si mon cerveau es ta la jane d arc .
mon tire ajuste met liaison fatal de met risque .
es les flamme brulle ce corp endiablée,
créve putin de vie,créve poison qui dilue ,
solvan es fumée au vent,
cré^pite soue les chaumiere d'hiver.
rougie de met lance a pois d'eau des fléo ,
paille en rayée de la moisson de poussiére,
sirénne es casque fisure lisiére planétaire.
course a la montre contre un sos de sirénne du coeur.
victoire victoire au pinpon de ma région.


hoin fanny

anatomique

le kanon de la revolution anatomique colection,
de spantallon au brayette baissé,
canon des appocalypse capitale meurtrie ,
ou les fusil levé mitraille passant enfants,
anatomique connection ,
des année fuses de révolution occupation,
souvenir anatomique mutilation préside ,
gaz moutard es handicape ,
violence urbaine atomique bombe ,
place eclat de rouge sangt ,

hoin fanny

jeudi 8 octobre 2009

SULTANT

je suis humble es honneur soue l'etoffe de ton coeur,
mon souffle roule au roulement tambour,
la marque deshabile le rouge du tatouage de ce rose de chaire,
les griffe implanté dance cete chaire pour encore cet mots ,
que je ve entendre comme ce survivant ,
qui remonte au fil du tourbillon ,
la tribune des immaculé des reserve de la sociéter ,
les dents implanté comme des créves dalles ,
de notre civilisation tortionnaire,
le salut de la jouissance des aphrodites trébuché es trahison ,
je poignardé bien a planté a ecouter,
le craquement de la decoupe de leur cote,
comme une fleur de vie je partiatis droit comme un soldat,
fort es passionné de sa bravoure,
a baiser chaque herro chaque morceau de drapeau ,de tableau ,
de ce triomphe qui innonde la terre de sa richesse .

hoin fanny

passion

ma passion
j'aime au temps de chaque saisons,
silionné chaque vision de mon ile calement,
a ma vertue de mon tendre baiser,
je peu me coucher a mille parfun de rose,
m'ouvrire comme la fleur au creux de tes main,
j'aime le temps de chaque chansson ,
l'odeur du rapeur qui ce souléve ,
comme la fumé de ce vieux cigare.
qui roucoule es souile le plafond de son sillion.
cramé cramé mon existance ,
rend fou les roulure de mon n'imposture.
passionémant comme une amand introvertie,
je passione les regard creuse les mysteres ,
envie du savoir de l'audela de la connaissance.
passion de met doigt .
de ma mise en scéne ,es de ma monté ,
je rayonne de ma plénitude.



hoin fanny

ले chien

un temps de chien
met semaine ne s allonge pas ,
je compte chaque claquement aiguille,
23 ans mon conta rebourg a commerce,
défier la vie défier les dieu ,défier moi méme,

rivaliser avec les grand voyageur au dessue de mon temps,

combattre combattre constiituer l aile du parapluie,

crier crier jouire de mon état,

abreger ma souffrance devant ce divan noir,

encore vivre demain,





hoin fanny

panname

conspiration de l'anarchiste ,
elle étais belle la parisienne,
élancer de la droiture jupe plissé ,
attendais son cuppidon qui planter son arc
।elle étais belle la parisienne ,
le drapeau levé es chanter au arme demain ,
la plume suspendue au dessue de la parrure chanel ,
es dan un bidon gloutissais son vin pure es fraie,
elle etais belle la parisienne
quel eventaille ou la poussiere rayonnais ,
de son sourir pourpre es de cet yeux azure ,
les étoiles dandiné es les singes riait ,
au quard heure frontale d une douleur du sucre de canabis,
je toucher encore cete terre qui chauffé ,
ce sang s unis de cet promesse indefini .
elle etais belle la parisienne,

hoin fanny
http://www.youtube.com/watch?v=U70exffxR54&feature=related

ल oeuf

l'œuf du génie éclat d"émeraude,
a la verdure l œuf s élumine dans l éternité de ce monde.
Une méche bascule sur la canicule de ton épilogue,
dessente de cette ligné au couleur de chair,
son coeur coule les larmes du torran ,
le blanchette choqué de cette pierre bloker,
les nuages passes les apreuves du temps des ocean,

comme un

fille du soleil

fille du soleil je te prend a la douceur de ma main ,
mon cœur pleure chaque matin ,
dans le crépuscule je lèche ton carma ,
le silence déhenbule les couloires d asise .
prisoniere de met larme de ton ame,
comme victorienne de la musique ,
laverais les pécher actif,
honnoré ta desendance a ce coucher ,
brille le feu de ton étoiles ,
champs es lumiere clarifie tes origine.
hoin fanny

poéme lover

Demain le poème ce baladais au slow du valse,
un poème rayonnais accrocher sur un fil d'été,
le poème de la rythme poétique lover,
poème d amour es du sifflet d'oiseau ,
rime de toujours ,a la ruche des abeillent,
corbeille de poésie frénésie du sol en si,
grillon es chanson de saison bohème du poème,



hoin fanny

survivance

survivance comme la chienne qui tire son harem ;
le cœur arracher au vivant,
un souvenir du sourire qui reste prêt de ma tombe
si lointain que la lumière bouleverse la rampe,
l'ombre de met pas ,l'ombre de tes jambes,
comme la bruyère qui encercle la tête,
hoin fanny

homme

un cœur a l'opéra déclarer ,
cet feu de l'hymne a la joie,
un cris de paysanne s exclamer
au prélude de l'arche ,
dévorante croupissante face au vide,
d un bras montant attachant ,
de cette étroite ruelle,
mise au fin de la diction de chausson d'amour,
le foin recouvrant la mélancolie de met cheveux ,
es l'odeur flottant soue ce doux torrent de mot,
échange de demain,demain vision duel cruel version,
mon idéaliste amour ,mon sur lendemain
hoin fanny

mardi 6 octobre 2009

lettre de chopin

tendre irréél amour ,
ton amour m'habite les nuit ,
au coeur de cet balade au grand forét glacial,
met doigt balaye les vagues pour te faire naufragé,
de mon radeau qui berceret nos idyle,
sur la pointe de la bougie ,
ambre de ton odeur rougie,fremie,
entre le refoulement de ta force es de cet vague ,
rebondissent au eclat es nos voie es du chemin contré,
aussi fine que la perle qui m'habile ,
mon ame pure parcour ta semsibilité,
le grinsement de met dent,
es la bulle cool sur ce corp,
un vent braise cet forme allongée ,
es le volcan qui habite cet rayon ,
nous endormume soue la joie ,
de l'étropique pakistanais.
hoin fanny

gourmandise

le reglise de mes yeux malicieus fond dans ma bouche,


doux es salé des pépite craquante du divan ,


disoue rapide es avec ardeur jusqu a la création,


chant es chansson évassion de nos récréation ,


butine les abeilles dans se nestare ,


fleur violette es petite filette,


craquante debordante de vie,

hoin fanny

dimanche 4 octobre 2009

elle m'habite

bulle volle volle au sentier de cristale,
cercle rayonne au lumiere du soleil,
parfun de savon empoisonne es environne,
main perché tendue la canne a la main,
aussi profonde que mon amour ,
l'élixire parfume le rayon de met lévre,
léclat de ma voie es la formule magique,
transforme cetet terre d'un pavillon de sourir,
donner ma vie,mon sang ,ma chair,
illuminée vos chemin de maladie,

hoin fanny

je t aime

graver sur ce mur sanglant ou l'amour réside,
ma pointe de notre nom,
ou ma mort cet plonger de ce viollon tourmenté,
le cris des je t'aime traverse la campagne ,
comme cet mitraileuse retentis ,
des coup de coeur des coup de frein,
des coup de poing ,des coup de feu ,
des proverbes annéantie ,des je t'aime jeté au loin,

hoin fanny

ल impérialiste

cascade de mots de couleur dans cet tapis moulue,
de cet montagne de sable ,
le mystére antique du silence ,
douloureux pasifiste monté de sa caravanne,
ou met rubie reflette la tempéte des milles nuit,
ma pierre emfuie soue cet cendre de colére,
comme un paludisme agrippé sur ma chére,
me coucher a ce cygne de baviére ,
m'endormie a son sourir ,
devant ma priére.
hoin fanny

jeudi 1 octobre 2009

demain




si je voyais une vie de pastita es revue de camomille ,ma vision ce deffinirais de rose saumon planifier le ciel ,le choux du potager vermillon de ce monde ,ou le projet actualise les bling bling des crochet d'acteur,la ou j'entendrais l'appel des sages du minerais tend rechercher,la couverture du monde ce chauferais liai tend de main,l'herbe fraiche parfumerai mos lit ,ou l'oxygéne de notre vie serrai un sorbet de myrtille ,la ou je t'enmene ,la ou je ve vous voir,les crepuscules a l'aube engloutirais la passion du travail ,chaque broulliard serrais de la barbe a papa ,le rose deffinis un paradis de l amour met aussi,naissance d'un nouveau née,je serrai poete ou ecrivain,met je resterais maitre de la facination des jours prochain,magicien d'une vie met acteur de toue les coeur,liberté penser rime avec l'osoterrisme ,je serrai devin pour pas avoir de faille dans ce bleu du nord.mon chemin sentirais l'aubepine es les pissenlis de fresnoy ,ou les larmes coulerais sur ce talus de jois aussi grand que le pantheon,es les ablations purifier au coulie d'une pluie printemps ,se futur de jour de l'an toue serra elegean ,preparer z ym habilier de parurre de vos geant blanc,mon allée serra d'un jour éclaten ,rendez vous dans quelque temps ,prend moi juin ou peut etre demain.


hoin fanny

les pied nue sur l'ocean

les pied nue sur l'ocean
la couleur ce fait au bagualame de met jour noir,
la recidive de met acte on la gouflure du créole ,
toue ce met en bateau au large de ma courbe rouge,
je pivotte efroidement les gents ,
ce bleu qui se discorde dans un fond gris ,
le va es vien des vague surmege ma vie,
la balance ce sais poid es je courbe ce dos .
hoin fanny

le pack des louves

un après midi pas comme les autres,
ou les heures descende comme ce fusils a la main,
on étai deux lier a la mort ,
on étai prisonnier de nos vérité de nos vie,
on cet toue dis ,
dans ta raison ma sœur ta oublier qui j étai ,
parodies a la mesrine es les cris retentis ,
pour une sortie de ta survie ,
cet un appel a ta ton insuline,
pk tous supprimer tu es superbe par ta beauté ,
une diva qui a vue Bogotá ,
es survie de cet lois.*
appel moi quand sa serra la fin ,
pas pour un dernier repas ,
juste pour mon chagrin,
ou te tenir la main;
juste deux cœur qui ce diroon ,
adieu sens rang cœur,
deux main qui son liée tu peu mourir a pressent ;
car tu as choisie ton sursis,
une fleur ta parlé ,
une sœur qui ta aimée,
tu es rester insolente par ta résistance ,
met ton cœur sans vie ,
resteras sans comprendre pkune sœur de cœur ta envié,
je dessine a la craie ton reflet ,
dans une marre de pluie tu as disparue,
restera brouilliez juste la pupille de met yeux .
deux ,trois ,écris lancer sur ce tableau dérisoire.
es puis faudra bien avancer ,
le printemps viendra les fleur s ouvrirons ,
ton image resteras avec la couleur du temps ,
hoin fanny

la nuit

je sens ton visage toue contre moi ,
ce sourire qui ce dessine a travers tes moustache,
noir approfondie de tes yeux,
on ce retrouve aussi pure es aussi beau qu avent,
grandeur es profondeur a durcie avec le temps,
l envie de cette passion nous rapprochant es toujours réjouissante,
il n y a plus de peur ou de personne a noue s interdire d aimer ,
que la poussière ce qui reste ,
ton image es notre destiné étai incontournable,
mon frère , ma vie , mon destin, ma perte,
hoin fanny

lle tombeau annonym

courrons courrais chariot de vie,
les blouses blanches habile les mur des couloir ,
parloir es le coin de la cigarette,
comme gainsbour si reposer a la fenêtre ,
je sécher met cour de rattrapage,
dans cette hôtel aussi long de 10 étoiles,
étoffer de belle femmes habiller d un drap blanc ,
es de chapeau qui dessiner leur coiffure d'un chignon,
je pouvais sentir a travers ,elle,
les fleur qui me donna la vie,

met évasion étai par confession de mon ange ,
es nos nuit nocturne fait de tunnel par des vigiles,
tendre horizon sa croix briller comme une échine .
un seul cadeaux souriais de vrai,
partage es la sagesse de la vérité ,
la peur de la mort es du trou noir n y retrouvé,
a boue de souffre nos éclat de rire passer a travers ,
nos cordon qui noue relié a la vie ,
le boutentrain fessais encore parler de lui
hoin fanny

l'appel

l'appel ou les champs du vent rivalise avec la voie
,la collision ce fait sienne des armature de ma maison,
l appel au sourire d un mariage,
qui ménnée par des bourrasque de violon,
l appel d' un sosune bouteille jeter au crie du désarrois,
l appel d un téléphone ,
ou toue raisonne a la naissance du plaisir d élargir une similitude,
l appel du bing bang,
pour empocher quelque soue d un vieux emaus ,
l appel d une fuser ,
au sauvetage de marin perdu dans l'océan,
l appel de septembre,
d une rentrer affin de assigner chaque chasse ,
hoin fanny

la terre pleure

coule coule les océan les mer ,
l'eau lipide invisible a conquis champs es marée,
a l avais l impunité cet lois des passages des nordiques ,
coule coule prés de moi ,
cool cool au plus loin de moi,
bêtise surélève sur des piquet empiler ,
coule coule la nuit ,
ou le passage de la lune s étend,
terre en feu terre de larme
,j éponge ta surface par met tendre ailes ,
coule coule prête de moi ,
coule coule loin de moi,
mon dos s étend de la larve des foret,
coule coule les océan les mer,
l ec co propage mon nom au deala des scienc ,
ecoule coule mon amour ,
coule coule le jour ce lève,
l horizon cet fait de pluie le ciel orange de mars,
coule coule au fond du lit ,
cool cool je te lie,
hoin fanny

la plume

si légère au souffle de ma voie ,
elle ce laisse bercet dans le vide de ma pièce,
si douce au toucher ,
je caresse mon visage ,
transporté au souvenir de tendre caresse,
si intellectuel au manuel,
je peu lire chaque tache d'encre qui cet déposer,
si blanche de l étendue de la colombe,
quel élève les totem me de paix,
si fragile a tenir au risque de la briser ,
parfumer de l amour quel dégage,
chemin de blancheur ,
ou les sourire ce retrouve ,
du dépôt d une plume magique,
hoin fanny

le paradis des mimosa

le chemin de la jaunisse parfume met pied ,
déshabiller par la roser des saut au-dessus de l'escalier,
met cheveux sur mon corp nue es habilier de la glisine ,
le champs de mon oiseau géant ,
pénétré au profond de ma poitrine,
chaque queu de couleur es la similitude de l alphabet ,
couleur vif es ce balance ,
a l aire d'un temps arrêter,
j'entends cette eau profond couler ,
au couleur rouge passion ,
es ce miroir dessine es renferme,
cet petite bette qui dandine ,
fontaine de leur champagne,
surmonte ce doux champs de nageoire,
leur discussion ce dessine ,
par les petites bulles qui remonte,
soue l œil du crocodile ,
es de pupille ver dassé du marré,
sa queue longe le couloir des cailloux ,
comme un prédateur de l'obscurité,
plusieurs masque habile,
les mur comme un autographe
,on pouvais lire beaucoup trésor étai cacher,
les reinette danser dans ce fond de piscine ,
reproduction de cet acteur de vie étais plaisance,
les arbres dattier basculer comme la danse de chevaux,
au rythme de la cadence du vent es du temps
,les fleur fessais des ronde de couleur ,
s ouvrais a la rosé qu'un pousse vert humidifier,
la Marianne arpenté l herbe ,
les crapaud se chauffé au lampe qui fond abysse,
criquet emplissez les pièce du bonheur,
la chaleur taper dans cette oxydent,
comme la vallée des merveilles ,
les porte ce surplombe les une après les autre,
jolie rideaux tissé dans la villa de beauté,
je cet lire sezar a travers les grilles des fenêtres,
les fauves son lâché ,
a leur dent pointue,
les lezars grimpe les mur,
je suis qu une poussière d ambiance ,
par cette terre habité,
inconnue au pressent,
la couverture bleu remonte jusqu'à la berge de met penser ,
chaque claquement des rocher on cette couleur rouge,
cet un été éblouissant ,
un été ,un jardin,
une penser pour vous merci.
Hoin fanny

le souffle

comme l araignée qui tisse sa toile ;
le cœur arracher au vivant ;
les ongle planté soue la peau de ce dernier;
rêve éternise ce qui lui laisse;
panneau interditune direction noircie;
je me traine derrière cet montagne ;
ma chute es rude es violente ;
je me noie dans ces dernier morceau ;
de troubadour qui surgie des matin ;
la vague me languie ce sourit passager ;
es ce sang qui coule encore sur ce ciel si bleu ;
ou je me ferme derrière met larme a sentir ;
cet pauvre s ange s escarpe de cette terre.
l"injustice de met larme ;
ou l état conspire a met blessure;
ou dernier dépose un euros ;
juste soumettre un point d interrogation
a ce donner raison ;
hoin fanny


tendre parfum marocaim


l argile couvre les toie ;

es les route de ce marron vert tissé;
les éclat de la joie raisonner au profondeur des rue du Maroc;
les sonates étai remplie de prière ,
con illustrer de tasse au gout savoureux ;
les frères assis sur cette terrasse
a déshabiller ce paysage .
et moi et moi je rêvasser de ce langage magique.
de leur main qui ce plâtre es cet ride
,on liser a travers l'islam des droit ,
de l'auteur a l'amour par ce silence .
on pouvais sentir l ambition du bien ,
hoin fanny

la feuille

je vol a toi ;
déposé le vent ,
es le champs de la raison;
le calme assoupis ton visage blesser,
je vol contre toi,
juste caresser sentir tes raison qui déborde
je suis le voile de toi;
pour bruler dans tes yeux
jusque a ma mort.
la feuille tourbillonne au sens de parfum délicat
;je suis a toi.
fait toi a moi le poids de ton bitume
hoin fanny

le cygne

j'envoie le doux violon de ma solitude;
les larmes es ma richesse ,
que j ai trainer toute cet année,
j envoie mon pardon d automne es la rime de mon salé;
je déploie la rage la flamme ver toi;
je chante ma force courage de ma réussite;
je supplie dieu de me porté encore es encore
;je suis ton sourire es le crie des naufrager,
la dentelles de ton jardin,
je t aime je t aime encore je t aime toujour;
je meurt loin de toi
je suis sans signe de toi ,
bataillon de l amour
je t oublierais jamais.
blesse moi en brave ce qui ce fait pas;
je t aimerais dan la douleur la haine ;
je t aimerais toujours jusqu a la pointe du jour;
chair écorcher penser lugubre je pense a ton retour.
Hoin fanny

la libannaise

frissonnant captivant il dévore son cors ,
empoisonnant l'odeur qui s'évade de la pièce,
les fenêtre de ce paradis qui endormais toue les cité,
on entendis les appel au loin des prières
,menant toue deux a une unique raison d existais
,l union d un amour parfait a la résistance ,
des larmes de l'évasion,
étouffé par cet baiser ,
je me poignard a moi de cette existence qui me reste,
ce temps languisse ce plaisir si charnelle ,
dans un amour éternel,
ou la capital serrais ma chambre ,
j'apercoie que la lueur de tes yeux ,
ouvre moi tes porte divin maitre du katana ,
ou accolade se ferais entend ,
on entendit des cloche ,
es des annno qui percuta jusqu'à au cœur de l Afrique.
quelque larme sur un tablier blanc ,
es le soleil empoigniez son visage si étoilé ,
toue droit venue du paradis les deux colombe ,
repris leur place sur ce chemin menné d épine,
son voile s en vola plus haut a disparaitre ,
après un vent violent .
leur penser es les âme ce dispairesser .
dans le creux d une vague on pouvais lire ,
ma vie es t un naufrage ,
a moi mon bien aimée ,
de toi a moi je t oublierais jamais.
Hoin fanny

Homicide

Au met indélicat,
vous étés impunies.
Je maudis vos vie,
Traîner comme des chiens.
Que la vie vous face bouffés,
Poussière et salives.
Que les autres,
Vous voies crever à petit feu.
Sa me ferras une lueur d'espoir.
Car pour moi, pauvre incompris.
J’attends le poids de la balance.
Si la chaise électrique était à ma portée,
Je vous y attacherais
.Crever, crevé, bande de PD.
Pourritures de la société.
Je la cherré met Pitt,
Et la vous aurez compris.
Quand vous me verrée.
Et vous m éprises,
Pour toue cet crie dans la nuit.
Façonner pire qu'un diable,
Je suis devenue guerrière.
Emprise de votre pire cauchemar.
Le temps passe et je ramasse.
Soyer banni, russifier,
A la ligue de met espoir.
Torturé à jamais,
depuis la nuit des temps.
Je serré la a vous attendes.
Bandes d imputé,
Infligent les tortures de vos mères.*
Moi je d’héanbulles ,
et calcules vos repères.
Comme une vipères.
Je vais vous faire passée l'envie amère.
Crever, crevé bande de PD.
Fanny hoin



Les barreaux de l’enfer


Tu as effacer la vie.

Mes réveiller tes peurs.
Dans ce grand couloir.
Tu y voies que du noir.
Derrière ces barreaux,Les points serrés.
A scruter chaque danger.
Il n y a que des silences,Et des incompréhensions.
Face a ta faim,
Et au crétin indécise Se soumettre a des règles intérieures.
Que z 'ce qui connaisse eux a la vrai vie.
Enfermé comme des chiens affamés,
Il vous laisse crever, dépourvue de toute pensée,
Au libératoire du compensatoire.
Les douches son chaude,Met les savons empoisonnent.
Panique, panique si tu t y glisse.
Pour un boue de shit.
Ils te feront payer le prix fort,
Ta sentence des insultes,
qui te mène au mitard.
Pauvres incrédules,
En soulevant le poids de votre justice ,
Vous les persécuteras commettrez le pire.
Tout cet mur sal,Qui déploie à en faire un palais.
Grand poètes, écrivain,Créateur de vos dessins.
Vos pages pour certain, le reste d'un papier,
Qui vous serez a allé chier.
Feuille de fourniture, pour les plus mur.
Et puis il y a cet nuit, au ces nuit.Ou toue ce bouscules
Ils évitent de fermée les yeux.
Accrocher à faire des aveux
.Comme un cauchemar.
Il se voit devant, face aux miroirs.
Et puis pour les petits,
il reste le suicide.
Ainsi il son châtier de leur malheurs.
Pour ceux qui reste a l intérieur.
Ils rêveront un quart d’heure de chaleur,
De liberté et d égalités.
Des leurs sorties de baiser une bombe girls.
T’envoler à ton tour vers un avenir,
Joliment organiser
hoin fanny

L'homme sans visage


Le temps d'une chanson,

J'aurai aimée dévaliser,
Tes souvenirs,Voler ton sourire.
Qui c éternise dans un champ laxisme.
Traquer comme des bêtes.
Qui dévale toue ces pentes.
Ravage de l'amour, l'amour.
Passage de la mort.
J’entends les corbeaux qui dévorent.
Sans aucun remord la traverser de ton désert.
Les silences tues.Les diables nous entourons,
Pauvre amour, un soir de lune.
J'ai vue ton étoile sacrée,Nos cœur blessé.
A la recherche de nos reflet.
Comme au temps passer,
Il reste à compter de ce jour.
L'étoile impunie ou personne ne peu te volé.
J'ai vue une étoile filante,
J’ai reconnue ton sourire,
Nos souvenirs mes tous nos baiser.
Toujours assoiffé de tendresse.
On cet imaginer des pays sans frontière.
Jusqu'au premier levée du soleil.
Et puis mon sourire à la recherche de cette lumière.
Qui mon temps fait rêvé.
Garderont toue ces cinéma noir.
Dans des silences relaxant,
apaisant,Chassent nos idéo.
Et toi es moi,Nous savons anges et demi démons,
Caractère d'insoumission, de claire voyance.
A la recherche oui toujours, toujours,
De cette chaleur qui nous manques dans notre coeur.
On ce déploie,Ravage toue ce qui nous noies.
Dans cet tourment, alléchant nos désire.
Déployant nos bataillent de nostalgie.
Préliminaires d'un fond nouveaux.
Puis je garderais le goût salé.
Émerveiller de ton sable doré.
Fanny hoin

mon coeur

Il court comme le vent,
Balayer et conjuguer par toue les temps.
Il m'humidifier à l'aire de la pluie avec toue cet récrie.
Au cour métrage,Il fait face au nuage gris et au manuscrit.
Et ce grand circuit, qui déverse ce lien.
Comme un tracer riche de sa couleur.
Et ce mélange de mélancolie.
Battement au fil de cette invasion.
Son tracer, dessiner la ligne de vie.
Met celle des canaux vitaux.
Son influent qui pompe au mouvement du pou.
Mélange d'oxygène pour son aspect pourpre.
Il rayonne au fond de moi.
Souffre de toue ces fatigues incommodées.
Dans un déluge, il se transforme En fragment.
Laisser couler toue ce sang.
Au aveuglée indésirable, contourne sa façade.
Il se complète avec ces contours,Au couleur des idées noir.
Toue cette pression,Palpitation, son preuve qui vie.
Maintenant, naturellement, actuellement,
Et simplement pour dégager sa source d’espoir.
Fanny hoin

ALI

Toi fils de dieu,
Et au nom des tiens.
Dieu ta donner la vie, le partage des siens.
Regarde l'étoile qui brille au dessus de toi.
Ne sait tu pas que dieu ta créer,Au bonheur de tes parents.
La vie qui te porte,Es t'un voile qui flotte,Au fil du temps,Au fil de l'an.
Personne ne peut couper ce souffle.
Ne te sacrifie pas,Car tu serras bannie.
Laisse toi porter par moi.
L'amour que tu ne voies pas.Seul ton cœur voie,Dans cette vie obscures.
Si tu croies en moi, je croie en toi.La vie nous portera loin,
Le partage de 2 êtres,Qui ce comprenne par un regard.
Où toue les parcoure nous mène,Au feu avec forces,
Par la terre pour nos racine,
Par le vent la colèreParle eau oasis de vie2,
parcoure si déférents,
Met qui ce rejoint,j entend le vent qui souffle,
Et qui frappe avec violence,Sur mon carreaux.
Entend tu le vent qui balaye le sable d’or.
Notre tapis non.L'arc en ciel de notre vie.
Hoin fanny

mardi 29 septembre 2009

Loin de toi

Je me suis noyé.
Dans un brouillard de fumée.
J’ai cherché ton visage,
Loin de moi,J’ai laissé mon coeur.
Petite fleur ce meurt.
Les cinq pétales d'or,
Pilier de ton empire.
Moi loin, de toi, je me noie.
Les pleures d'un être.
Eu reflets de tes nuits.
Je suis comme toi.
Parfum de miel,Délivrance au autre,
Met tu es loin.Au matin de ma clémence.
Paradis de notre liberté,Un matin, je suis partie.
Ou son met reflet.Le passage, mon mirage
,Construction de notre fusion.Goûtons,
goûter,Fruit de corps nu,Fruit défendu,
dépourvue d'accrue.Je mens livre de ton dernier
Celui toujours de le revivre,
Quelle pure merveille,
Ton image de chasteté.
Hoin fanny

La rivière de diams


.
J’ai parcourue toue les pays.
Sans jamais la trouver.
J’ai parcourue toue ces rêve.
Sans jamais l influencéLa rivière de diams,
était bien cachée.
J’ai vue à la levée du soleil, sa beauté.
Un monde ou les crie de joie n'existe pas.
Je me suis incarnée, implanté.
Met semblable était impalpable.
Les jour et nuit s'écouler sur ce long lit.
Met sa luminosité transpercer le soleil.
Même la lune lui tenez rancune.
Elle était faite poussière d espoir
De livre arbitraux a concevoir et percevoir
Cette richesse intérieure.
Elle la aperçu toue cet déchue.
Rubis comme Anubis.
Saphir pour les pires.
Marine pour le dauphin.4
Met celle quel préféré Cassiopeé pour son trophée.
Un caillou soulier, lui offre une perle.
Perte de décadence dans ce monde souliers
Elle brandie un cercle autour d'une terre défaillante.
Capitalisation d'une science tatouée.
Matérialiste ou captivé par l éclat de sa pureté.
dalhifanny

Les frivoles

Au dessus des toits,
je voie les temples,
Et les marais, les marcassins
,Les girros, et les képis azurent,
Au détoure d’une fenêtre,
Une cible d'amour,
Et puis des écroues,
Des adresses bien convoiter,
Les maquereaux du nord son bien de sortie.
Son prie entre le vent, et la pluie.
Puis les nuages sa s'Ombrie,Décida de se poser,
lentement tendrement,Sur cette lame,
qui les convoitises
Les rats zieutés,
croupissement dans leur nid.
Un rapace les attend,
Soue le chant d’une pluie de lumière
La colombe s’envola,
un fil suspen duFessait miroir,
tableau d’un art,
hoin fanny

MARINE


Petit fée tu m’envoies la douce mélodie.
Celle qui me donne mélancolie.
A la sueur de met pleure.
Tu restes gravé dans mon cœur.
Je recherche ta chaleur et implore ton pardon.
Petit fée inanimée.Je tes tend appelée,
chercher dans cette lueur.
Le brouillard qui nous sépare net que vapeur d'eau.
A flot il z'on coulé et pourtant si désespéré.
Tu te recouvres sur moi,
en cherchant les bras tes draps.
Un berceau d’amour, une berceuse la nuit.
Tu es au paradis,
celui des anges.Où on chante les louanges.
Met pas moi, on s’imagine et ce dessine
.Qu’on t’il fait de nous.
Des cœur perdu dans un creux d'une main.
Il n’a pas de matin,
Juste des envie, et ce poids qui vie.
Nous lions à cette lisière sans frontière.
Faire face a quoi a qui, au méprise d’une vie.
Tes l'ailles blanchissante s'anime.
Mais ma vie sans mime.
Il manque le son de ta voie.
Hoin fanny

Marchant D’arme,

Tapie de cadavre,
Étendue du neppal,
Marche d’un état militaire,
Sur la lute d’un ciel assombrie,
Littérature consentie d’un politicien convertie,
Attaquent, dirigeant,
Pour une bombe retenti,
Visage palle,
grincement des dents,
Sur un état de guerres,
Pluie sanglante,
senteur de mort,
Au crépuscule des chants de la victoires,
Ou es le souffle de l’air,
Celui de ma terre,
Chemin de boue,
Enfants basculent
,Dans une canicules de l’apocalypse,
Ou es mon aire pure,
Celui de la délivrance,
Je reviens ver toi,
Cauchemar envoûtant,
Résurrection a chaque ligner,
Que reste t’il tapie blanc,
hoin fanny

Le solitaire

Vieux vagabond,
Ironie de la vie,*
Passent passeur de l inconnu,
Voyageur de toue les temps,
Vendeur de la politesse,
Solitude gratifions,
Personnage du néant,
Tourbillon du bien,
Chanteur de vérité,
Blessé par bagua lame,
Cette boule immonde,
Parcourons les traverser de lavandes,
Un temps de repos,
Pour notre dos,
Pauvre vieux que nous sommes,
Lancer boule,Devant un pernod
,Ou et mon soprano,
Le chant des vrais,
Sourire du plaisir,
Partage des valeurs,
Reste les abeilles,Le ciel,
les champs de pleures,
Puis les collines en fleures,
Les vallées de flamme,
Et la montagne,
Chasseur de lapin,
Aux goût du romarin,
Le vent sifflant,
Vague de la méditerranée,
Repos de ma solitude,
Le nature, que sa de vrai,
Le silence, souvenir de mon enfance,
hoin fanny

RAHMA

Trois heures de travaille,
Pour un couscous royales,
Des gents ce remplisse
,La pense met aussi
Du geste de ma tendresse,
Je suis leur maman,
Frottant astiquant tapie et vêtement,
Mes mains souligner,
abîmer,Je donne sens conter,
Car mon coeur et celui de l océan
Au dos blesser,
Dieu ma sue me préserver,
Mon sourire reste marqué,*
Je reste dans met silence,
Pour les heures qui s écoule,
Quelque chant celui de mon pays
,Celui qu'il ma marquer d un nom,
Je m apitoie jamais,
Au claquement de met main
,Chant d orient,
Danse de mes enfants,
Foulard de couleur,
odeur de souk,
Soleil étouffant,
Je me fraie un chemin,
A travers cet couloir de tissus,
Étendue de lumière,
Une terre de loin,
La terre des miens
hoin fanny

Bataille

Champs de victoire,
Rêve d’une libération,
Sifflement des masses,
Autour d’un bataillon,
Vie d' effilant,Autour de mes compagnons,
Sa retenti, sirène soue lente,Pluie de débris,
Champs de balles,On cour,
déboules,Soulier par la boue,
Bloquer dans des troues
,On ce regarde tomber un par un,
Gibier de potence,
Lier main dans la main,
Pour notre patrie,Amputé je me voie mourir,
Prisonnier par les collabos,
Je suis devenue chrysalide,
Souffrant des débris de fer,
Planter dans ma cher,
Bouffant le premier rat vivant,
Ce délicieux repas,Boyaux couver,
Je rêve des plats délicieux,
Crépitement sous met dent,
Sangs qui coule juste pour abreuver,
Ma soif de vivre,
Les chants de chaque jour,
Hurlement de met compagnons,
Pour des chiens,Visant une bannière,
hoin fanny

Ma bouteille a la mer

La pluie sa bat comme des tires,
Vagabond je remonte mon blouson,
Parsemer de trou,
Tailler de la dimension de ma vie,
Reste encore ma bouteille,Fidèle compagnie,
de ce froid qui sa bat,
De cette vie si sou lente
,Mon vieux chien, si me voyait,
Fidèle a celle de la patrie,
Il n y a que les reste,
D’une mémoire qui s efface,
N ayant plus de toi à m’abriter,
Mon réverbère seul coin ou je m apitoie,
Je t’y attacherais quand pour moi,Je partirais,
comme ma bouteille,
Ma vie ce répétera,
a gaver citoyen français,
Alors je m’invite chez chacun,
Ces tables remplie mon odeur,
Il n y a pas de charronne près de met amis,
Pas d’ingrat pour pleurer de moi,
La vie à la fourchette extrême,
Embellie, et mon vieux rafiot qui serre de chapiteau,
Mouvement de la somme,
Pour une berceuse de nuit,
Ou es mes sirènes,Reste encore que cet croupie,
Puis quand le grand mat serra lever
,Les vagues m’emmèneront,
Et un loup de mer,Je partirais laver,
noyer les tourment qui mon enté.
Hoin fanny

Je suis

Je suis le cygne qui ce couche sur toi,
Je suis le signe du poète qui disparaît,
Je suis la larme de joie,
Je suis la flamme qui ce noie,
Je suis l’ange du pardon,
Je suis l’ange du péché,
Je suis factrice de tes lettres,
Je suis actrices de ta vie,
Je suis l’eau qui jaillie,
Je suis le sourire de ton lit,
Je suis ta rosée du matin,
Je suis le vin de tes chagrins,
Je suis le poids de tes ennuies,
Je suis le poids de tes envies,
Je suis la gomme que tu mâches,
Je suis la gomme qui efface,
Je suis ta panthère,
Je suis ta bannière,
Je suis silence de tes pleure
Je suis science d’une vie,
Je suis emblème de ton nom,
Celui de l’amour que nous vivons
hoin fanny

Dieu

L’étoiles qui s’illumine chaque jour aux lever,
le crie d un enfants ,
a l appel de la prière,
cet le rayon du soleil qui Viens bercer le malade,
cet la beauté du désert qui s’étant sous la chaleur,
cet la mendiante qui crie le pain des enfants,
laissent place a ces rides du temps passer,
cet chants aux vent de l amour,
cet colline verdie ,les fleures ,la terre sombre,
ce mélange d amour,
laissent la place a la pureté des gents,
le travaille a grandir cet noyau d’amitié,
a comquerrire le néant ,monter des châteaux,
crée des rêves ,aux regard de ceux du monde,
cet toue les religions respectant,
le roi de cette terre
,dieu de l’amour,
le seul qui nous unies,
si je suis messager,
il son tous prophètes,
comme des anges lises cet lecture sainte,
sacrée,la divinité cet toi qui la crée,
dieu de l amour,
si il y a des passions,
l’envie de vivre,
la force que tu envoies sur tous,
si je suis cœur pure,
cet pour montrer ton chemin,
dieu de lumière aux éclat de beauté,
face a toi nous sommes nue ,
tes poussière de vie,
mon seul es vrai amour dieu de ma vie,
hoin fanny

L’envoler

Une plume juste pour transparaitre au fil d’internet,
Une balade d'amour,
des jouissance au camera interdit,
des files, des liens, qui ce tisse,
des rencontre inhabituelle,
des lianes aux regard de l enfer,
des main qui ce dise oui,
aux cœur qui crie famine,
esprit rebelle conspirent ,
aux relation de chaire,poste noir,
au jour de tonnerre,
éclaire de lumière ,
au droit de liberté,
les étoiles de vos regard ,
sourire de joie,c
orps subliment les rosé du matin,
étalage de beauté,
comme le soleil ce couche sur la mer,
peau de douceur ,comme le voile de la mer,
comme mon hirondelle
,immigre au saison de l’amour,
recouvre son nid,
comme un poison violent,
je m évadé, laissent rage ,
et souvenir,mon silence au cœur pure ,
hoin fanny

LA CUVETTE ENCHANTER

Même si le temps passer,
Reste que cette plume sur nos chemins,
Un chasser croise aux cœur rigide,
Pour pas froisser l’autre,
Pour pas oublier le propre de nos écrie,
Si notre destin cet affranchir les autres
payer le prix des cries,
des rancœur a flot,
Toujours au croisade des lignées,*
Entrevue des podiums d’oscar,
Aux larmes déverser,
Par la cascade de cet livre écris
,Émotions partager a des lecteurs attentif,
Rêveur consumé,A comprendre le centre de cette terre,*
Et toue cet mots son soulever,
Ma main faibli de tremblement,
Le pure de notre image,
reste amour face a nos familles,
Le plus grand amour,
cet pas le vécue,
Ces celui rester comme une page magique,
Cacher dans le coin du cœur de l’océan
,La plus belle pierre cet ton respect a chacun,
Puis le sens résumer aux conflits de nos envies,
Dans cette marre boueuse,
J'apprends a lire transmette,
le savoure d’une femme vivace,
Dans une tasse de café,
a composer des boue de nous,
Des goûts de parodie de plaisir,
Cour rire après le fantôme qui nous noie,
Attraper les mots qui nous manquent,
assoupir met moment de désire,
au regard noir que tu me fait.
hoin fanny

TRUITE DE BAVIERE

Je te voie, *
t’allonger,Au travers ces rocher,
ta queue frivole,
Au amateurs de bordure
,Il creuse la surface pire que des rapaces,
Ton eau bouillonne de vie,
Et tes couleurs aussi,
Richesse tu es par l’éclat de ton arc en ciel,
L’œil obscur,
tes paramètres de survie,
Bordure vétillant,
Tu grignotes quel que vers,
L’oxygène de ta vie,
Equivaut a un appât de pain,
Et tu glisses lentement,
Dans ceux long lit au creux d’un tourbillon,
Il t’attraperons, pour t’engloutir,
Au fond de l’estomac,
Il y aura plus rien pour toi,
Mes les œufs animés laisser vivant,
Donnerons de nouveaux arrivant,
Il chattoyerrons,
le long des rivières,
hoin fanny

Mon arc en ciel


Na pas de forme,

il les biformes,
Il ce relie au autre pays
,L’union d’un amour sacrée,
Ces couleurs des poussières de baiser,
Qui arrose chaque martinet,
Les jardins parsemer d’amour,
Ils chevauchent à conquérir,
Le cœur briser, asséchée, transpercée,
Il rayonne le temps,
d’une chanson,
Séfaces et renais a chaque saison de pluie,
La capture de son visage,*
Me laisse de la couleur sur les joues,
Met lèvre chaude d’envie d’humidifier,
Son corps bronzé aux tablettes dessiner,
Transpirer au creux de met reins,
Par la force de tes main,
et de ton sexe souverain,
Mon plaisir exploiter, *
mon cœur cacher,
Le bas ou tout es rose et couleur du soleil,
L’envie tu brasses les seins,
Comme me tronçonner l’arbre de vie,
Sentir ta présence met ton soutien,
Jouissance ruisselle en ce lever du matin,
Éprouver des heures de plaisirs.
hoin fanny

Qui suis-je ?

Qu’a t-il de vrai
Qu’a t-il de faux,
Une dérision,
une contre façon,
Les désirer, sens illusoires,
Une relations, hormones d’un poison,
Chasseur, chassent croiser,
Butter , calvanniser,Savent, conspirateur des sciences,
Emprise d’un pouvoir,Sagesse,
lignée d ivresse,Cadrage, s’approprier,
Temps d’insoumis,Histoire vraie,
phrase fossé,Traquée, immigrée aux terre incontinent,
Passage, claquage de psychose,Dévoument,
battement d’un temps,Résidu, poussière de cadavres,
Structure, montage des monuments de notre pays,
hoin fanny

Le sablier

Le temps cet celui qui nous captures,
Le temps que nous subissons,
Le temps cet subjuguer les autres,
Le temps cet réaliser des mots,
Le temps ces celui que nous grattons,*
Le temps cet l’éternelle refrain des vieux parrain,
Le temps cet le goûte a goûte du café des télé réalité,
Le temps cet met voisin a la recherche de leur chien,
Le temps cet laisser une ligniez habilliez de propre,
Le temps cet la croûte des vieux labeur qui on persister,
Le temps cet les chansons composer qui vole ce dépose jamais,
Le temps cet aussi le poison violent dans les liqueurs avales,
Le temps cet chaque battement de nos vie,Le temps cet 15 minutes de soleil pour 30 minutes d’embûches,
Le temps cet la jeunesse qui s’efface,Le temps cet le bon vieux vin,Comme un chêne enraciner aux rides de beauté
hoin fanny
Comme un point parachuter sur une terre ,
Les membres ligoter a ne plus bouger,
Regard immense de l’humanité
Nous sommes humain,
Comme une chaire
qui ce promène sur les traces de souvenir,
Partir loin de tous ,
cet pas oublier qu’on s’aime,
Cet juste un Aure voire,
s’ouvrir a une terre nouvel,
Si ton cœur pleure ,e
t la torture ce fait dure,
Il y a des anges pour sécuriser,
Le plus plus beau adieux
cet celui tu trouve dans ta prière,
Finira son acheminement au paradis de l’inconnue,
hoin fanny

La valse des aimés

Dans un bain bouillonnant
Je vide le lait glacé
Soue le coin de nos fenêtres
On admirera les pâquerettes de verneuille
La récolte des fruits rouges
Au coolie de nos mots doux
D’une plume arracher au cul de ma poule
Je caresserai la pointe de tes seins
Coucher dans ce nid de paille
A engloutir tout ce baiser
Je me ferré arlequin
Pour colorée les désire de ta vie
D’une poussière dans l’œil
Je profiterais de baiser ton oreille
A l’aube du crépuscule
Et au gémissement Les crépitements de la pailles
ce fond sentires
Comme des orties arroser
Laissant les fesse rose d un nouveau née
La poussière de pénombre ce fond comme un brouillard
La pluie de paillette enveloppe l’illusion des frissons donnés
hoin fanny

Les témoins de la vie

Une fleur est néeEmparée par des épines dorées,
Souiller, par une pluie diluvienne
La cruauté de son espace,
Les fonds rougie,Jour après jour,
Les mensonges qui les détruises
Fonts tourbillonné, tourbillonnent,
Ces pétales d’amour,
Les pétales du plus beau jours,
Piétiner transpercer
,De toue cet abser purulents,
Jardinier destructeur,
De leur cœur si convoiter,
Ta petite fleure pleure,
Il parsème les prairies,
De toue nos édites,Criminel de la vie,
Tu es pourrie,
De sa tige un colibri cet poser,
A semée les graines de l été,
Dans l envol d une nouvelle joie,
Il se jette dans un vide,
A la conquêt d’un ciel bleu,
Dans une jouissance du champ de blée,
Les pu bisses peuves s’aimer
hoin fanny

L’envoler des feuilles

Et si le temps est long,
Nos regards reste figé,
Par ce doux refrain de la solitude,
A travers les vols et le chagrin,
Mon cœur serrés reste gravée,
Je pose mes mains sur ce corps brûlant d’envie,
Vie spirituel abondons de ton âmes relâcher,
Dans une source, j’ai déposé une feuille morte,
Au couleur de tes larmes,
au goût de pluie du nord,
Et si j’attends je me défends face à cette vie,
Les tours s'élève comme des pierres monter aux barrages gris,
Acheminement de tout cet labeur,
Qui bondis au bruit du papier glacer,
La haut le grondement,
Des tonnerres, des tracteurs,Annonces les couleurs,
Parfumée de cet boisiez,
Je me soule a l’envie de te retrouver,
Si je pouvais entraver,
je signerai demain,Je mâche toue ces mots,
Combien de brassage au goût de c’octaux,
Laissons-nous divaguer,
Jeter toue ce papier aux couleurs inhumain,
A la plume de nos chemins,
quetsche qu’une feuille,
Passage de survie,
chèque bien arrondie,Usurpation,
je serré la signataire des sans papier,
La terre est bleue, le cœur remplie de mélanges,
Les penser rouges,Les mains son nouée,
glacée comme des cadavres,S
il y a une terre de délivrance,
Toue les transitoire, parloirs basculerons,
Dans un déca tombe révolutif
.hoin fanny.

La peine

Ta peine cet ce sang que ta fait coulé,
L alcancie monte à la lèvre te donne la fièvre,*
Ta dupe, ta drogue,
coule t’enchaîne,Un ange parle pour toi,
juste des mots qui on monter au podium d’impresario,
Décroche tes arme les larmes qui abrutisse,
Ou ce monde es plongée dans cette brume profonde,
Guerre apocalyptique criminel des pays,
Un enfant tombe à la couleur de son drapeau,
Rentre dans le rang des vrais,
Le chant de la vérité aimé cet un soleil,
Ou on puise la chaleur du sourire,
hoin fanny