samedi 31 juillet 2010

la sirenne de nice

le chant de la sirenne tape ,

au bang bang des vagabon,

je me pique ,

monotonne des croyant,

des priére encercle ,des imam ,

pasteur interrieur des passion enséstrales,

le blame d aimer ,

d envie de prémédité des gestes d amour,

conquassé le grains rénnaitre,

cet fautes, beauté de l'éxatitude .

paix d un chant de pisenlit couver le lit d'amelie,

bras reliée au cable d un son ,

ecco opresser de cet couloire de dragon,

le reguun filtre chaleur des eccorse chaud,

de c e siflet d olive glisse colinne de pastaka


hoin fanny

putin vie

tu balaye les chemin de sang ,
croie gonné les nuance des brutalité ,
es assourdir les cris des mere,
bruller le temple aimer,
des bougies par millier s emflmame ,
es les coeur valiant d erougeur ,
s exclame dan des chants de priére ,
pour une paix mondial,
comme nos cité endormie,
reliée a une cause bennie de dieu,
es cet main levé comme approbation d un signe.
viol met crime d aimer.
je recidive de cette passion tand provoquer d ecris.
accrus sans rancune j'aime tenure bavure ,


hoin fanny

dimanche 25 juillet 2010

babys

chapelet de billes de fer ou de verre.
cristale reflette de s mémoir cachée.
un enfant au coeur des pleures,
babys au racine noir de conquette
a la bataille qui divise les racines,
appel le monde un enfant aracher au coeur d uen mére,
ou la peine marque nos jou ,
ou le manque tue les paroles,
l'enfant pion ,l enfant qu on tue ,
d avoir qu une opion qui fausse sa vie,
je ve une priére qui va libérer cet coeur .
partagé ,oublier l abandons .
a ce pére qui marche dans ce noir ,
es gros rend nous notre babys.
on ferra de sfétes e s traduirons ensemble une union.
batisé son coeur es aimée ce qu ela liberté réserve.

l'espoir d une mére.

hoin fanny

le chapeau

un chapeau de paille ,

tiré par uen paysane de blée,

ce fit couleur du ciel d été,


cet un adieu a ce pays tend aimer,

a cette hiver qui cet coucher pour influencer les verglas .

toue ce que j ai laisser de cette amour batie ,

a cet oiseau de chasse qui immigrons plus jamais,

faire face au miroir qui nosu separres,

ce dire que les baiser chaud ,

son souvenir de nos guetto ,

de cet fléo qui circuler de nos verbes ,

es toi partis loin de nos esprit ,

detruie enlever de nos pied ,

de ssignature de cet arbres piétiner,

hoin fanny

le crime

je ve etre la rose au boue de leur main,
es la voie de la sol qui innonde leur matin,
une herbe de vie,une rose d envie,
un tablier de fer es un traitement qui colle .
qui ronge leur os ,es impose la drénalinne
j ai le verset dans le sang,

es mon coeur de colombe,

j ai le crime a la rymme,

es la plume d un gitan.

un tracer en verllan ,

pour l espoir de te voir encore.

hoin fanny

le bithume

met ailes on brullée ,met yeux on coullée,
pensé apres ce passage de missiles,
detruie nos nid d'oiseaux de paradis,
fumé qui a noircis les peuples ,
les religion aneantis l horrizon de demain.
ma couverture et une face de ce monde,
qui nes que de carton,
bercet par les tires de fer ,
monté des tour ,pour mieux sauté apres,
crachet aussi loin que cet bulding ,
ou les cris des sirénnes ,
qui lache pa vos souvenir perce le stinpan de la vie,
qui delis le scris les horreur de l'espéce humaine ,
carabinnier ou sentier de la faim conduit a l horreur .

hoin fanny

jeudi 22 juillet 2010

david

on s aimer ,la balade a mobylette
les richesses du temps.
s embrasser des oduceur de vie,
chanter fumer fuire les cartables ,
la balade des enfants bleu,
enlacer comme des chats,
juste lamain es une bague comme trophet de vie,
es les disputes je t aime plus
je t aime encore,
embrasse moi passion de met jours,
adieu amour de ma vie ,
partis de cette univer ,
sans revoir cet yeux vert clement ,
qui me jouet pierrot ,
adieu frisson de met jours ,

hoin fanny

le lac blanc

un dernier recceuil avent de me noyé dan ce vide blanc,

un merci , signe du coeur ,

a plaidé mon amour sur cet chemin dessiné du destin ,

a courrir a aimer partagé ce site au lueur des matin,

coin de cause ou la réalité es pénible semssible ,

ou le scrimes son parler chanté es fond télé réalité ,

suis les coin des riverains,soue haute tenssion ,

relative ma soumission au crayon blanco éfface impurté,

j'avance le drap levé ,

eternel coeur devise du principe de liberté,

ma délivrance .
hoin fanny

mercredi 21 juillet 2010

confesse

on ma dis que ma peau,
ne vallais pa plus qu un chien de la vie,
la couleur d' une blanche neige,
es t un recis aussi,
es mon sang un ocean de feu,
on medis je susi destin de toue un empire ,
je voudrai sdonner l argent a cet pure 100 ,
qui meurt chaque nuit sur un terrain bombé d efosse,
lache tes mots dans une cuve ou créve les pourris d une vie,
j ai passer a confessse de cet auteur qui mon trahis tuer ,
dévaliser le cris d emet nuit,
j ai chercher une paix ,
qui etai a ma porté ,aimer comme survie ,
le souvenir d un pays au drapeau de paix,
les appel le bras levé de cet mots qui chattis bien,
j et appel témion du soleil ,ma lumiere ma raison d exister.
monprélude de l éternelle paix.
hoin fanny

la terre au peuples du monde

nous sommes les serviteur de dieu ,
les coeur de la liberation ,
d une guerre ancrer trop longtemps,
regarde moi je suis la ,
apres la maladie le tourment ,
dieu ma donner le chemin de la raison,
es puis son pardon,
j ai aimer ,crier ma douleur ,vus tomber mon coeur,
moi je vien des citer ,
la caravanne chargé de langue du monde.
des rue des refuse ou le sdeluge demots esclame des pages de sang,
léve toi,je me sens forte pas morte .
a battre les cartes pour amasser fortune du futur,
regarde moi princesse d etat mon coeur cet levé apres la mort ,
ecoute moi es d'ecris les larmes des peuples,
qui chante pour une terre de feu,
passe moi main forte de raison ,d explosion de l exclamation ,
de perte de raison face au cris d un enfants,
dedicasse a mon nom effacer pour un passseport ,
a l appel que dieu ma donné merci ,
écoute moi j ai la rage de vivre de vous voir heureux ,
aimer la vie ,aimer toue ce qu edieu vous a donner,
passe moi le temps laisse trace a une dedicasse ,
d'une magie au fond d el apensé,
créer avancer soulevé les rages de la haines.
basculer ver la page du landemain .
une vie une étoiles une terre .
passe moi ton appel pour notre dieu eternel .
hoin fanny

mardi 20 juillet 2010

rabie

cet un cris une culture un savoir,

un livre con plis ,es relis .

cet un nom isuel qui prime l avancer de l' espoir.

un fusil au bras ,

un casque montée

le uae

unir amour éternel,

chaine de lasitude ,

reluis de cet faste légumes pendu de leur sort.
hoin fanny

lundi 19 juillet 2010

l'été suspendu

en haut de cette arbustres,du vent levée,
ou s appytoie les uns au autres,
de ce clima canniculaire,
devant nos yeux ,des sables se lévres aux tourbillons,
es l odeur plane de cet moulles craquantes ,
ou devores petit es grand.
es l exclame de cet douce balade de notre digue ,
passe les chiens es chat depuis décénis.
le crépuscules de follis ,
ou pause ces gent a ce retrouvé.
boire manger dormir cet sa le nord.
le temps d exposer au rayon de chaleur des coeur vivent.
hoin fanny

samedi 17 juillet 2010

morgane

petite fée d amour au cheveux d'or,
es au sourir d ange ,
entendre tes eclat de rire ,
te serré toue contre moi.
aimer la vie comme la poussiere des rues,
es te parler de ce clochard qui devenue roi
de cet voyage ou je voyais ton visages,
ou chaque coquillage fesais ecco de ta voie.
couvrir de tendresse te cherire d amour ,
petit soeur ,petit soeur ne pleure pas,
petite soeur ,petit soeur je pense a toi.
commecet fleur demille couleur ,
lancer par des angraie d e terre,
ancre nos soliture en vain.
petit soeur petit soeur mon coeur parle d etoi.
parce que le temps prélace effacé les miroir ,
ou la mort cet fait plus fort ,
que l amour d aimer.
petit soeur petit soeur mon coeur peut que t aimer.
petit soeur sourie a la vie.
hoin fanny

vendredi 16 juillet 2010

louange a la fleur de vie

louange a la fleur de vie,
si parfumer ,si captivante,
odorrant de peau de satin,
nenuphar des étangs sur ce lit de vague,
valse au rué des insectes de l été romantisme,
arpente fenétre des trémiére roseliére ,
ensoleil les vert gazon des clotures ,
monte comme la grappe du soleil,
parme les entrés de cet bourdon ,
crépite a la perte de cet graine ,
séme le vent séme le germe influent,
hoin fanny

lidole de met jour

tu es loin, met mon réve si pret ,
tu chantes es j'écoute le sens du drap qui flotte,
le temps bouge es les oiseaux disparaisse,
le noir prend la marge au jour nouveau,
es mon coeur s alourdis de cet corbeaux ardent,
tendis que la braime azure cris au loin de ce grisalle .
déshabille met mémoire ,
ma larme de ce lac majeur ,
qui brandis cet chates de goutiere .
hoin fanny

réanimation

réanime la passion,
terre des vertus anciennes,
crepe les couleurs de ces cadres émmouvant.
au crépuscules des parasytes d'anglophone,
les talus de verdures caches le syeux de lucifer,
es cet pallyen coucher sur le seuil du foin,
savouruex moment de frenesis,
de leur periple amoureux,
de danses indienne d'une pluie d'été.
soue la bascules des feuilles de verdures,
de cet flaque alourdis d une éponge inbibée de trou .
sur ce sallé de la mer ,d une odeur farcis les nez.
d'un baiser seul sur met mots sablée ,fourré.
couché a t embrassé nos nuit nostalgique,
captivé ton romantisme endiabler tes soleil d été.
la foulle déchainnée de cet deux amour,
berce toi en moi ,ryme de mon sourir.
hoin fanny