dimanche 28 février 2010

la trompette

j'entend es perce au loin ce bruit de trompette ,
la fiévre de ce matin es rester humide sur ce pupille,
la maladie comme cette langue de chat pendu ,
vertige d'un malaise sur cette étendue de france ,
je voie rouge comme ce taureau dechainé ,
comme un couteau planté au creux de ce mal,
j'appuis encore pour voir ,
uen foie de plus sourir de lange mort,
perdu dans cette tourmente a briser ce souvenir ,
explose met larme ,bouleverse ma souffrance,
le temps es chargé de tonerre de bombe a chaque piste d'aterissage,
mon en vol ver les étoiles ,la lune ,le soleil,
brille tes lévre enlacet au coeur de ce paradis sacré,
cet drapeau dréssé ,signe de fin ,
trépinne au pas du loup de guerre,
hoin fanny

100ans

nos vie ce ressemble ,
juste une passager inconue dan sun trou de ta vie,
met si nos yeux ilustre les commédienne en scéne
appartienne sur cet terrain de relaxe conquie ,
au prélaube de ma vie ou liziére tendue de sa corde,
comme une prois authentique je serrai un jeysere.
le sallue d'un batton du combat ,
es mon sourir franchiras les jardin des cité interdit,
comme ce pantique je vous fai hommage de mon pauvre corp,
es de mon ame écoulé de ce temps percet,
es croise le chemin ilustre ,
qui chavire a des standing de beauté,
blésse mon coeur rymme la rose de tes pétales déposer,

hoin fanny

vendredi 26 février 2010

mon légionaire

il cet habilier d'une parrure d or,
un planton d'amour es
du courage fougeux de mon amour,
a quai son sac ,au large de sa vie,
sans souvenir nie passion ,
juste mie face au roi du monde,
au creux son lit ce poison violent du crime,
comme un chasseur une proie un poid ,
sans maison nie angle ,
les yeux percé les etoiles,
au ébat amoureux passionant de tes caresse si lourd ,
es de cet décision qui pése loin es lourd de notre amour,
rituel ambisieux vaincre le méchant ,
devenir un badge une marge de cet livre
ou l'histoire sonne comme cet tonerre.
ou l ilusion de l'homme ce fini
embrochet a tenir téte pour un matricule ,
brave danse avec courrage un alliage,
qui ce coloris de cet petite fallience assis sur ce sable mouillé.

hoin fanny

jeudi 25 février 2010

rossignol

  • Chante chante rossignol

  • délivre le message au passant inconnue de nos terre es richesse,

  • franchie les adepte es les continent sauvage,

  • chante chante sur le chemin de la raison ,

  • pardonne toi es soumet l'horizon a la sensation du bien,

  • écris ,message sur la paix de ce voyage si lointain,

  • chante chante verlan es cuirasser du matin,

  • les dunes ensablée son tendre au pas chassée,

  • saute saute sur les rocher éclabousse les main des passent

  • porte leur lamentation a la cascade du devin,

  • chante chante rossignol d'amour ,

  • chante chante tendresse de notre temps,

  • parfume embrun canasson des souterrain,

  • a dondaine le corps tatoué de ma vie,

  • chante chante tendre passion éternelle,

  • assèche l'eau de cet accrus es rayonne ,

  • hoin fanny

étincelle

brulle la nuit a veillier nos yeux de lubie
des chat a croiser des jeux d'éveille,
toucher les étoiles mon iréel sensuelle,
un baim de soie caresse cette braise qui affute ma fougue;
les méches glisse sur ma péche es caresse ,
les dents tranblant grinssant le souffle coupé ,
j'admire ta lune tes rubie tes antenne du paradis,
esquise ,esquise follie,
chavire comme ce radeau d'envie.
donnon la vie ,la priére ,la paix
le chemin de liberté,
suis ta fée ton immortelle,


hoin fanny

un nouveau jour

met pied face a la lumiére ,
met main face au sol ,
la téte face au temple,
harmonie de mon coeur du ying yang,
flouze flouze de l'amour du temps,
une colombe habille mon corp ,
derniere chance communie mon livre arbitre,
dans cet journer charger comme un ane ,
sans ce plaindre ,sans montré ou es la faiblesse,
juste sns question sens remarque,
axepter aimer ce que je suis.
admirer méme si le mal cet plonger ,
brillier de larme es de pardon,
abondonné toute lacitude ,
tendre amerthune .
me pend de ton amour ,
de ta creativité .


hoin fanny

mardi 23 février 2010

couleur

accroupis face a une voie gentten gémire ,

cet une source qui conquis le coeur .

une decerte blanche de rosé ,

chemin des pensée violette ,bleuet ,jaune .

la rosé brille comme des diaman de ce jardin,

ce sapin m'habille de ma chaire,

verdure parénne ma fraicheur,

la paille sauvage acrue ce book tremper dans l'encre magique,

masse met cheveux conquie de baiser.



hoin fanny




lundi 22 février 2010

mamelle

les bleu senssue suce mon sang ma cervelle,

accrocher a met tétine glutinne le fraie ,


le chant s'épanouie dans la vague de toute la nouvelle orléan,

un amis es partis sur un rocher prié ,pécher cet regret,

mon appel serrai éminent accrocher tardive ,

une larme suspendue a la rose trémiere ,

grandis ma liberté ,

grandis mon chant flateur,

la terre es venue ce couché dans un lit .

mouvement au silence des anciens,

écraser par les force de la vie ,

les clima ce souléve ,viol les terres ,les raison ,la passion.

la terre cet noyé dans un chemin implanté de trou au pierre droit.

hoin fanny

débouche chiotte

débouche chiotte

ventouse ce colle es cette puanteur de merde te pénètre,
au fond du trou d'une sécurité social bingallante,
3million de déficit a combien de mort de cette France ,
conjoncture d état détaille que cet perte,
combien de hero compte ma France
lime national d'un cataclysme de survie,
au trompette de la mort,
des cour de la rue ,le tag inaugure rébellion,
la fin du session soulève un nouveau mandant.
les panneau comme seul guide ,
allo allo ici la France couleur d'un drap qui habile liberté,

hoin fanny

samedi 20 février 2010

printemps

arbre frissone es les feuille ,
danse au clochette du muget ,
sanglant du printemps,
cour le vent ,cour met sentiment,chante l'amour,
vole oiseau coucou qui emigre,
dan sle nid comme imposteur,
es toi l alouette raconte moi,
toute te les conquettes,
de cet épis aracher en pleine été.
de la douce lavande ceuilis,
taper sur cet blanc etandue ,
senteur environne,poison violet ,essence jasmin,
galoppe le printemps ,galoppe les cheveaux ,
epanouie nue de cete campagne au fraicheur de rosé,
hoin fanny

mardi 16 février 2010


vendredi 12 février 2010

la marche

ma decadante marche couvre les sol brouillier de boue,
avance dans les flaques noyée,
cris a l'injustice de cet bougre pour le peuple,
un tablier de couleur couvre le monde,
pouf a la paix au facteur de cette décadance ,
qui fit pélicule des compatriolotes,
aux drapeaux de la divergeance du bon sens ,
aux couleur du ciel des pensé de l espoir éternelle,
aux enfants du futur.
qui cris famine es libére la fierté de nos pays,
marche ,créve téte levé ver une flamme solidaire.
hoin fanny

homme de coeur

nous marchons noir, jaune ,blanc, marron,vert ,
es feson le soleil ,marcher soue la mine rabatre les regard ,
le sourir de la vague ,es mort decapité de mon indre ,
hibergue appytoie pa charlatant mécréant surnois.
des anges nous marques la voie des sages ,
des chemin eclairer ,marque la voie ,
montre la lumiere de la paix,
des doigt ce léves comme le vote du jour ,
un croisement coeur ,
un chemin portant son royal chemin de fer,
crier la soif de l'amitier sentire frisson de l'étre aimer,
la passion ,l'evasion ,
de notre union forte comme cette terre,
amour abandons de cette boue de cet épines,
caresse l amour ,embrasse le ciel ,
les anges nous quittes ,
laisses leur lueur d amour du jour.



hoin fanny

mercredi 10 février 2010

jusqu'a la mort

seul devant ce miroir a comtemplé ,

le déccor d'une scéne animé ,

a voir crever sentire chaque moment cette douleur qui persiste ,

tu mas detruie d'un coup de poing ,

déffigurer es asannie de douleur a la lueur du matin.

tu ma marquer d un fer chaud ,

pour te voir crever enfants salop,

regarder cet chaine t'aimer a la haine ,

relever mon parapluie ,

envie de detruire tes main ta gueule chien torture ,

me gonflet de cachet me voir blanchire ,

comme ce mur qui ta donné raison des soir.

je te ve a la mort ,j me ve boucher es reine d un mirador,

ta tuer ma beauté pauvre rmiste personne peu me rende ce sourir,

le temps a dis petite les vaiseau detruie son des conduit de la vie,

combien son touché ,tu compte ta vies pas comme ton amis,

je nes pa de pardon juste des lamentation ,

un coin ou ma raison detruit au fusil a pompe ton corq ,

tes main ton sourir une balle qui te ferra ton trou,

ou le mal de mon coeur pourrira au moin dans un fond celui ta fait ,

sal chien traite de sociéter .

je te voie pourir deboue es cet rat te bouffet ,

chaque chaire decoper de ma lame a jetter a ce chien ,

je te haie j'ai pas pitier,

je fais mon labour comme met ancétre on jouet a la roulette,

penettre te sclan arcanes es spectre toue tes enclos,

creve creve fils de putin.

si la faucheuse m'ecoute dans met larmes ,
je cour dans la douleur ,je pleure dan la haine ,j'ecris ma douleur

quel explose es chocque toue les candidat qui oseré encore une fois touché dune main uen femme.
hoin fanny