dimanche 25 octobre 2009

bibi

une larme au fond de nous


enfant tendre intelligent,


un bibi qui roule sa bille,


au pupille de son tendre pupitre,


un domaine au chant rap un gagnant au coeur valliant,


habibi le coeur grandis,


ballon de joie vol decue de toi,


es le coeur des anges protéges petit garcon,


au fond de bleuet,






hoin fanny

president

le president a du poil au cul,
depuis des décénis,
il es assis sur un tron en forme d icone,
a force d e ce talonné,
president cet grillier le chevelus,
de casuisse au galon romaine ,
on crépule les bavardise de ce compatriote,
ce président a les fesse rouge de recevoir trop la féssé,
attention au claque de baraque obama,
comme une americaine bien baiser,
chienne de vie,
un president a la cannicule ,
es mouille ses pantalon ,
accrocher au echasse du peuple ,
au escart de cet vieux deboucher medaillier,
et roulement tambour ,
pour le plus moin infortuné met le plus crevar,
ta veste ce perce au rytme des année ,
bientot drapeau levé marianne ,victoria ,
bataileron a notre liberation francaise.
cet la lute des ouvrier des pascifistes de survie,
au arme citoyen ,
la fleur au boue du fusil.
hoin fanny

la larme

es si l amour etai une larme ,
je voudrais quel glace au pâssage,
si une goute serrai virus d appoint,
voudrais qui foudrois le mal du passant
arrivée a vivre ,
survivre parmie les chacal animaux de la jungle ,
agripper a la grippe h1n1 marcher dans ce vide ,
je voie grouillier les canibales de cette vie ,
emparré opresser de leur surcie ,
ecarté toue obstacle des rats des champs des marré,
balayant par des grand cris de singe ,
tres bruyant sens comprendre la civilité cet quoi,
la banalité cette piquure qui nous serra soumis,
sans contextation es comme des toxicomane ,
nous tituberon devant des flot les mots d un passage ,
d'un temps du moment qui tire ver le bas,
qui sens la grise du charbon,es les cailoux de remblais,
je me plis fatiguer les traie jaune es l oeil verdis de cet rapace,
met goute son que le recie de ma pauvre vie.

hoin fanny

mercredi 21 octobre 2009

ramadan

mon ame vol au dela de mon jeun ,
ma nourriture es riche de la parole ,
mon sourir vol pousser par le vent,
le voil es le respect de l'image de mes frére,
la couleur du soleil es la parure que dieu m envoye,
le sang es la goute de ma vie es le pourpre de met lévre,
le visage pal met le corp remplie de force que je m'étend,
les coup les ranceur de ma couleur son rien face;
a ma teneur de mon coeur pour mon lideur,
tendeur de met relief es esclamation de notre gentilesse.
je sen la profondeur du bien es du propre sur mon visage met main,
dormir a coter de la priere étendre sa reflexion du bien du mal.
des chatiment existant.
gouté gouté cette oeuvre de paix.
cet dieu qui la partagé.

hoin fanny

vendredi 16 octobre 2009

les planchistes de la mort

Les planches de la mort
j ai rêvé mille foie de toucher l'Europe,
De voire s étendre l'horizon soue d autre couleur,
Diplômer ingénieur la palme a la main,
Je brandie quelque billet pour un pallier d or,
Comme un surfeur je viol les lois de la natures,
Le baume dans le cœur,
La foie et ma raison, sacrifice et humain,
bivouaquer comme un rat sur une planche,

j'abrège ma souffrance,
Dessine mon destin si lointain,
Quelque regard illumine mon chemin,
Il na pas d étoile juste des rats amasser,
Comme le sable alourdie la cale,
es la crevasse de cette estomac qui nous cris sa famine,
juste la fièvre interne es le froid de la grand marré ,
un coin a serré fort le bord d'un continent,
une image apparat es mon cœur ce réchauffe ,
le cœur a l'évasion d une vie remplie d amour,
demain nous serions deux ,
main dans la main en lacet,
au calme d une liberté ,
pour notre amour une éternité,
j'abrégerais notre passion es nos souffrance ,
par l'éclosion d'un childreen qui sonneras,
les valeur ,l'espoir d' un pays ,
hoin fanny

dimanche 11 octobre 2009

l'enfer du feu

si mon cerveau es ta la jane d arc .
mon tire ajuste met liaison fatal de met risque .
es les flamme brulle ce corp endiablée,
créve putin de vie,créve poison qui dilue ,
solvan es fumée au vent,
cré^pite soue les chaumiere d'hiver.
rougie de met lance a pois d'eau des fléo ,
paille en rayée de la moisson de poussiére,
sirénne es casque fisure lisiére planétaire.
course a la montre contre un sos de sirénne du coeur.
victoire victoire au pinpon de ma région.


hoin fanny

anatomique

le kanon de la revolution anatomique colection,
de spantallon au brayette baissé,
canon des appocalypse capitale meurtrie ,
ou les fusil levé mitraille passant enfants,
anatomique connection ,
des année fuses de révolution occupation,
souvenir anatomique mutilation préside ,
gaz moutard es handicape ,
violence urbaine atomique bombe ,
place eclat de rouge sangt ,

hoin fanny

jeudi 8 octobre 2009

SULTANT

je suis humble es honneur soue l'etoffe de ton coeur,
mon souffle roule au roulement tambour,
la marque deshabile le rouge du tatouage de ce rose de chaire,
les griffe implanté dance cete chaire pour encore cet mots ,
que je ve entendre comme ce survivant ,
qui remonte au fil du tourbillon ,
la tribune des immaculé des reserve de la sociéter ,
les dents implanté comme des créves dalles ,
de notre civilisation tortionnaire,
le salut de la jouissance des aphrodites trébuché es trahison ,
je poignardé bien a planté a ecouter,
le craquement de la decoupe de leur cote,
comme une fleur de vie je partiatis droit comme un soldat,
fort es passionné de sa bravoure,
a baiser chaque herro chaque morceau de drapeau ,de tableau ,
de ce triomphe qui innonde la terre de sa richesse .

hoin fanny

passion

ma passion
j'aime au temps de chaque saisons,
silionné chaque vision de mon ile calement,
a ma vertue de mon tendre baiser,
je peu me coucher a mille parfun de rose,
m'ouvrire comme la fleur au creux de tes main,
j'aime le temps de chaque chansson ,
l'odeur du rapeur qui ce souléve ,
comme la fumé de ce vieux cigare.
qui roucoule es souile le plafond de son sillion.
cramé cramé mon existance ,
rend fou les roulure de mon n'imposture.
passionémant comme une amand introvertie,
je passione les regard creuse les mysteres ,
envie du savoir de l'audela de la connaissance.
passion de met doigt .
de ma mise en scéne ,es de ma monté ,
je rayonne de ma plénitude.



hoin fanny

ले chien

un temps de chien
met semaine ne s allonge pas ,
je compte chaque claquement aiguille,
23 ans mon conta rebourg a commerce,
défier la vie défier les dieu ,défier moi méme,

rivaliser avec les grand voyageur au dessue de mon temps,

combattre combattre constiituer l aile du parapluie,

crier crier jouire de mon état,

abreger ma souffrance devant ce divan noir,

encore vivre demain,





hoin fanny

panname

conspiration de l'anarchiste ,
elle étais belle la parisienne,
élancer de la droiture jupe plissé ,
attendais son cuppidon qui planter son arc
।elle étais belle la parisienne ,
le drapeau levé es chanter au arme demain ,
la plume suspendue au dessue de la parrure chanel ,
es dan un bidon gloutissais son vin pure es fraie,
elle etais belle la parisienne
quel eventaille ou la poussiere rayonnais ,
de son sourir pourpre es de cet yeux azure ,
les étoiles dandiné es les singes riait ,
au quard heure frontale d une douleur du sucre de canabis,
je toucher encore cete terre qui chauffé ,
ce sang s unis de cet promesse indefini .
elle etais belle la parisienne,

hoin fanny
http://www.youtube.com/watch?v=U70exffxR54&feature=related

ल oeuf

l'œuf du génie éclat d"émeraude,
a la verdure l œuf s élumine dans l éternité de ce monde.
Une méche bascule sur la canicule de ton épilogue,
dessente de cette ligné au couleur de chair,
son coeur coule les larmes du torran ,
le blanchette choqué de cette pierre bloker,
les nuages passes les apreuves du temps des ocean,

comme un

fille du soleil

fille du soleil je te prend a la douceur de ma main ,
mon cœur pleure chaque matin ,
dans le crépuscule je lèche ton carma ,
le silence déhenbule les couloires d asise .
prisoniere de met larme de ton ame,
comme victorienne de la musique ,
laverais les pécher actif,
honnoré ta desendance a ce coucher ,
brille le feu de ton étoiles ,
champs es lumiere clarifie tes origine.
hoin fanny

poéme lover

Demain le poème ce baladais au slow du valse,
un poème rayonnais accrocher sur un fil d'été,
le poème de la rythme poétique lover,
poème d amour es du sifflet d'oiseau ,
rime de toujours ,a la ruche des abeillent,
corbeille de poésie frénésie du sol en si,
grillon es chanson de saison bohème du poème,



hoin fanny

survivance

survivance comme la chienne qui tire son harem ;
le cœur arracher au vivant,
un souvenir du sourire qui reste prêt de ma tombe
si lointain que la lumière bouleverse la rampe,
l'ombre de met pas ,l'ombre de tes jambes,
comme la bruyère qui encercle la tête,
hoin fanny

homme

un cœur a l'opéra déclarer ,
cet feu de l'hymne a la joie,
un cris de paysanne s exclamer
au prélude de l'arche ,
dévorante croupissante face au vide,
d un bras montant attachant ,
de cette étroite ruelle,
mise au fin de la diction de chausson d'amour,
le foin recouvrant la mélancolie de met cheveux ,
es l'odeur flottant soue ce doux torrent de mot,
échange de demain,demain vision duel cruel version,
mon idéaliste amour ,mon sur lendemain
hoin fanny

mardi 6 octobre 2009

lettre de chopin

tendre irréél amour ,
ton amour m'habite les nuit ,
au coeur de cet balade au grand forét glacial,
met doigt balaye les vagues pour te faire naufragé,
de mon radeau qui berceret nos idyle,
sur la pointe de la bougie ,
ambre de ton odeur rougie,fremie,
entre le refoulement de ta force es de cet vague ,
rebondissent au eclat es nos voie es du chemin contré,
aussi fine que la perle qui m'habile ,
mon ame pure parcour ta semsibilité,
le grinsement de met dent,
es la bulle cool sur ce corp,
un vent braise cet forme allongée ,
es le volcan qui habite cet rayon ,
nous endormume soue la joie ,
de l'étropique pakistanais.
hoin fanny

gourmandise

le reglise de mes yeux malicieus fond dans ma bouche,


doux es salé des pépite craquante du divan ,


disoue rapide es avec ardeur jusqu a la création,


chant es chansson évassion de nos récréation ,


butine les abeilles dans se nestare ,


fleur violette es petite filette,


craquante debordante de vie,

hoin fanny

dimanche 4 octobre 2009

elle m'habite

bulle volle volle au sentier de cristale,
cercle rayonne au lumiere du soleil,
parfun de savon empoisonne es environne,
main perché tendue la canne a la main,
aussi profonde que mon amour ,
l'élixire parfume le rayon de met lévre,
léclat de ma voie es la formule magique,
transforme cetet terre d'un pavillon de sourir,
donner ma vie,mon sang ,ma chair,
illuminée vos chemin de maladie,

hoin fanny

je t aime

graver sur ce mur sanglant ou l'amour réside,
ma pointe de notre nom,
ou ma mort cet plonger de ce viollon tourmenté,
le cris des je t'aime traverse la campagne ,
comme cet mitraileuse retentis ,
des coup de coeur des coup de frein,
des coup de poing ,des coup de feu ,
des proverbes annéantie ,des je t'aime jeté au loin,

hoin fanny

ल impérialiste

cascade de mots de couleur dans cet tapis moulue,
de cet montagne de sable ,
le mystére antique du silence ,
douloureux pasifiste monté de sa caravanne,
ou met rubie reflette la tempéte des milles nuit,
ma pierre emfuie soue cet cendre de colére,
comme un paludisme agrippé sur ma chére,
me coucher a ce cygne de baviére ,
m'endormie a son sourir ,
devant ma priére.
hoin fanny

jeudi 1 octobre 2009

demain




si je voyais une vie de pastita es revue de camomille ,ma vision ce deffinirais de rose saumon planifier le ciel ,le choux du potager vermillon de ce monde ,ou le projet actualise les bling bling des crochet d'acteur,la ou j'entendrais l'appel des sages du minerais tend rechercher,la couverture du monde ce chauferais liai tend de main,l'herbe fraiche parfumerai mos lit ,ou l'oxygéne de notre vie serrai un sorbet de myrtille ,la ou je t'enmene ,la ou je ve vous voir,les crepuscules a l'aube engloutirais la passion du travail ,chaque broulliard serrais de la barbe a papa ,le rose deffinis un paradis de l amour met aussi,naissance d'un nouveau née,je serrai poete ou ecrivain,met je resterais maitre de la facination des jours prochain,magicien d'une vie met acteur de toue les coeur,liberté penser rime avec l'osoterrisme ,je serrai devin pour pas avoir de faille dans ce bleu du nord.mon chemin sentirais l'aubepine es les pissenlis de fresnoy ,ou les larmes coulerais sur ce talus de jois aussi grand que le pantheon,es les ablations purifier au coulie d'une pluie printemps ,se futur de jour de l'an toue serra elegean ,preparer z ym habilier de parurre de vos geant blanc,mon allée serra d'un jour éclaten ,rendez vous dans quelque temps ,prend moi juin ou peut etre demain.


hoin fanny

les pied nue sur l'ocean

les pied nue sur l'ocean
la couleur ce fait au bagualame de met jour noir,
la recidive de met acte on la gouflure du créole ,
toue ce met en bateau au large de ma courbe rouge,
je pivotte efroidement les gents ,
ce bleu qui se discorde dans un fond gris ,
le va es vien des vague surmege ma vie,
la balance ce sais poid es je courbe ce dos .
hoin fanny

le pack des louves

un après midi pas comme les autres,
ou les heures descende comme ce fusils a la main,
on étai deux lier a la mort ,
on étai prisonnier de nos vérité de nos vie,
on cet toue dis ,
dans ta raison ma sœur ta oublier qui j étai ,
parodies a la mesrine es les cris retentis ,
pour une sortie de ta survie ,
cet un appel a ta ton insuline,
pk tous supprimer tu es superbe par ta beauté ,
une diva qui a vue Bogotá ,
es survie de cet lois.*
appel moi quand sa serra la fin ,
pas pour un dernier repas ,
juste pour mon chagrin,
ou te tenir la main;
juste deux cœur qui ce diroon ,
adieu sens rang cœur,
deux main qui son liée tu peu mourir a pressent ;
car tu as choisie ton sursis,
une fleur ta parlé ,
une sœur qui ta aimée,
tu es rester insolente par ta résistance ,
met ton cœur sans vie ,
resteras sans comprendre pkune sœur de cœur ta envié,
je dessine a la craie ton reflet ,
dans une marre de pluie tu as disparue,
restera brouilliez juste la pupille de met yeux .
deux ,trois ,écris lancer sur ce tableau dérisoire.
es puis faudra bien avancer ,
le printemps viendra les fleur s ouvrirons ,
ton image resteras avec la couleur du temps ,
hoin fanny

la nuit

je sens ton visage toue contre moi ,
ce sourire qui ce dessine a travers tes moustache,
noir approfondie de tes yeux,
on ce retrouve aussi pure es aussi beau qu avent,
grandeur es profondeur a durcie avec le temps,
l envie de cette passion nous rapprochant es toujours réjouissante,
il n y a plus de peur ou de personne a noue s interdire d aimer ,
que la poussière ce qui reste ,
ton image es notre destiné étai incontournable,
mon frère , ma vie , mon destin, ma perte,
hoin fanny

lle tombeau annonym

courrons courrais chariot de vie,
les blouses blanches habile les mur des couloir ,
parloir es le coin de la cigarette,
comme gainsbour si reposer a la fenêtre ,
je sécher met cour de rattrapage,
dans cette hôtel aussi long de 10 étoiles,
étoffer de belle femmes habiller d un drap blanc ,
es de chapeau qui dessiner leur coiffure d'un chignon,
je pouvais sentir a travers ,elle,
les fleur qui me donna la vie,

met évasion étai par confession de mon ange ,
es nos nuit nocturne fait de tunnel par des vigiles,
tendre horizon sa croix briller comme une échine .
un seul cadeaux souriais de vrai,
partage es la sagesse de la vérité ,
la peur de la mort es du trou noir n y retrouvé,
a boue de souffre nos éclat de rire passer a travers ,
nos cordon qui noue relié a la vie ,
le boutentrain fessais encore parler de lui
hoin fanny

l'appel

l'appel ou les champs du vent rivalise avec la voie
,la collision ce fait sienne des armature de ma maison,
l appel au sourire d un mariage,
qui ménnée par des bourrasque de violon,
l appel d' un sosune bouteille jeter au crie du désarrois,
l appel d un téléphone ,
ou toue raisonne a la naissance du plaisir d élargir une similitude,
l appel du bing bang,
pour empocher quelque soue d un vieux emaus ,
l appel d une fuser ,
au sauvetage de marin perdu dans l'océan,
l appel de septembre,
d une rentrer affin de assigner chaque chasse ,
hoin fanny

la terre pleure

coule coule les océan les mer ,
l'eau lipide invisible a conquis champs es marée,
a l avais l impunité cet lois des passages des nordiques ,
coule coule prés de moi ,
cool cool au plus loin de moi,
bêtise surélève sur des piquet empiler ,
coule coule la nuit ,
ou le passage de la lune s étend,
terre en feu terre de larme
,j éponge ta surface par met tendre ailes ,
coule coule prête de moi ,
coule coule loin de moi,
mon dos s étend de la larve des foret,
coule coule les océan les mer,
l ec co propage mon nom au deala des scienc ,
ecoule coule mon amour ,
coule coule le jour ce lève,
l horizon cet fait de pluie le ciel orange de mars,
coule coule au fond du lit ,
cool cool je te lie,
hoin fanny

la plume

si légère au souffle de ma voie ,
elle ce laisse bercet dans le vide de ma pièce,
si douce au toucher ,
je caresse mon visage ,
transporté au souvenir de tendre caresse,
si intellectuel au manuel,
je peu lire chaque tache d'encre qui cet déposer,
si blanche de l étendue de la colombe,
quel élève les totem me de paix,
si fragile a tenir au risque de la briser ,
parfumer de l amour quel dégage,
chemin de blancheur ,
ou les sourire ce retrouve ,
du dépôt d une plume magique,
hoin fanny

le paradis des mimosa

le chemin de la jaunisse parfume met pied ,
déshabiller par la roser des saut au-dessus de l'escalier,
met cheveux sur mon corp nue es habilier de la glisine ,
le champs de mon oiseau géant ,
pénétré au profond de ma poitrine,
chaque queu de couleur es la similitude de l alphabet ,
couleur vif es ce balance ,
a l aire d'un temps arrêter,
j'entends cette eau profond couler ,
au couleur rouge passion ,
es ce miroir dessine es renferme,
cet petite bette qui dandine ,
fontaine de leur champagne,
surmonte ce doux champs de nageoire,
leur discussion ce dessine ,
par les petites bulles qui remonte,
soue l œil du crocodile ,
es de pupille ver dassé du marré,
sa queue longe le couloir des cailloux ,
comme un prédateur de l'obscurité,
plusieurs masque habile,
les mur comme un autographe
,on pouvais lire beaucoup trésor étai cacher,
les reinette danser dans ce fond de piscine ,
reproduction de cet acteur de vie étais plaisance,
les arbres dattier basculer comme la danse de chevaux,
au rythme de la cadence du vent es du temps
,les fleur fessais des ronde de couleur ,
s ouvrais a la rosé qu'un pousse vert humidifier,
la Marianne arpenté l herbe ,
les crapaud se chauffé au lampe qui fond abysse,
criquet emplissez les pièce du bonheur,
la chaleur taper dans cette oxydent,
comme la vallée des merveilles ,
les porte ce surplombe les une après les autre,
jolie rideaux tissé dans la villa de beauté,
je cet lire sezar a travers les grilles des fenêtres,
les fauves son lâché ,
a leur dent pointue,
les lezars grimpe les mur,
je suis qu une poussière d ambiance ,
par cette terre habité,
inconnue au pressent,
la couverture bleu remonte jusqu'à la berge de met penser ,
chaque claquement des rocher on cette couleur rouge,
cet un été éblouissant ,
un été ,un jardin,
une penser pour vous merci.
Hoin fanny

le souffle

comme l araignée qui tisse sa toile ;
le cœur arracher au vivant ;
les ongle planté soue la peau de ce dernier;
rêve éternise ce qui lui laisse;
panneau interditune direction noircie;
je me traine derrière cet montagne ;
ma chute es rude es violente ;
je me noie dans ces dernier morceau ;
de troubadour qui surgie des matin ;
la vague me languie ce sourit passager ;
es ce sang qui coule encore sur ce ciel si bleu ;
ou je me ferme derrière met larme a sentir ;
cet pauvre s ange s escarpe de cette terre.
l"injustice de met larme ;
ou l état conspire a met blessure;
ou dernier dépose un euros ;
juste soumettre un point d interrogation
a ce donner raison ;
hoin fanny


tendre parfum marocaim


l argile couvre les toie ;

es les route de ce marron vert tissé;
les éclat de la joie raisonner au profondeur des rue du Maroc;
les sonates étai remplie de prière ,
con illustrer de tasse au gout savoureux ;
les frères assis sur cette terrasse
a déshabiller ce paysage .
et moi et moi je rêvasser de ce langage magique.
de leur main qui ce plâtre es cet ride
,on liser a travers l'islam des droit ,
de l'auteur a l'amour par ce silence .
on pouvais sentir l ambition du bien ,
hoin fanny

la feuille

je vol a toi ;
déposé le vent ,
es le champs de la raison;
le calme assoupis ton visage blesser,
je vol contre toi,
juste caresser sentir tes raison qui déborde
je suis le voile de toi;
pour bruler dans tes yeux
jusque a ma mort.
la feuille tourbillonne au sens de parfum délicat
;je suis a toi.
fait toi a moi le poids de ton bitume
hoin fanny

le cygne

j'envoie le doux violon de ma solitude;
les larmes es ma richesse ,
que j ai trainer toute cet année,
j envoie mon pardon d automne es la rime de mon salé;
je déploie la rage la flamme ver toi;
je chante ma force courage de ma réussite;
je supplie dieu de me porté encore es encore
;je suis ton sourire es le crie des naufrager,
la dentelles de ton jardin,
je t aime je t aime encore je t aime toujour;
je meurt loin de toi
je suis sans signe de toi ,
bataillon de l amour
je t oublierais jamais.
blesse moi en brave ce qui ce fait pas;
je t aimerais dan la douleur la haine ;
je t aimerais toujours jusqu a la pointe du jour;
chair écorcher penser lugubre je pense a ton retour.
Hoin fanny

la libannaise

frissonnant captivant il dévore son cors ,
empoisonnant l'odeur qui s'évade de la pièce,
les fenêtre de ce paradis qui endormais toue les cité,
on entendis les appel au loin des prières
,menant toue deux a une unique raison d existais
,l union d un amour parfait a la résistance ,
des larmes de l'évasion,
étouffé par cet baiser ,
je me poignard a moi de cette existence qui me reste,
ce temps languisse ce plaisir si charnelle ,
dans un amour éternel,
ou la capital serrais ma chambre ,
j'apercoie que la lueur de tes yeux ,
ouvre moi tes porte divin maitre du katana ,
ou accolade se ferais entend ,
on entendit des cloche ,
es des annno qui percuta jusqu'à au cœur de l Afrique.
quelque larme sur un tablier blanc ,
es le soleil empoigniez son visage si étoilé ,
toue droit venue du paradis les deux colombe ,
repris leur place sur ce chemin menné d épine,
son voile s en vola plus haut a disparaitre ,
après un vent violent .
leur penser es les âme ce dispairesser .
dans le creux d une vague on pouvais lire ,
ma vie es t un naufrage ,
a moi mon bien aimée ,
de toi a moi je t oublierais jamais.
Hoin fanny

Homicide

Au met indélicat,
vous étés impunies.
Je maudis vos vie,
Traîner comme des chiens.
Que la vie vous face bouffés,
Poussière et salives.
Que les autres,
Vous voies crever à petit feu.
Sa me ferras une lueur d'espoir.
Car pour moi, pauvre incompris.
J’attends le poids de la balance.
Si la chaise électrique était à ma portée,
Je vous y attacherais
.Crever, crevé, bande de PD.
Pourritures de la société.
Je la cherré met Pitt,
Et la vous aurez compris.
Quand vous me verrée.
Et vous m éprises,
Pour toue cet crie dans la nuit.
Façonner pire qu'un diable,
Je suis devenue guerrière.
Emprise de votre pire cauchemar.
Le temps passe et je ramasse.
Soyer banni, russifier,
A la ligue de met espoir.
Torturé à jamais,
depuis la nuit des temps.
Je serré la a vous attendes.
Bandes d imputé,
Infligent les tortures de vos mères.*
Moi je d’héanbulles ,
et calcules vos repères.
Comme une vipères.
Je vais vous faire passée l'envie amère.
Crever, crevé bande de PD.
Fanny hoin



Les barreaux de l’enfer


Tu as effacer la vie.

Mes réveiller tes peurs.
Dans ce grand couloir.
Tu y voies que du noir.
Derrière ces barreaux,Les points serrés.
A scruter chaque danger.
Il n y a que des silences,Et des incompréhensions.
Face a ta faim,
Et au crétin indécise Se soumettre a des règles intérieures.
Que z 'ce qui connaisse eux a la vrai vie.
Enfermé comme des chiens affamés,
Il vous laisse crever, dépourvue de toute pensée,
Au libératoire du compensatoire.
Les douches son chaude,Met les savons empoisonnent.
Panique, panique si tu t y glisse.
Pour un boue de shit.
Ils te feront payer le prix fort,
Ta sentence des insultes,
qui te mène au mitard.
Pauvres incrédules,
En soulevant le poids de votre justice ,
Vous les persécuteras commettrez le pire.
Tout cet mur sal,Qui déploie à en faire un palais.
Grand poètes, écrivain,Créateur de vos dessins.
Vos pages pour certain, le reste d'un papier,
Qui vous serez a allé chier.
Feuille de fourniture, pour les plus mur.
Et puis il y a cet nuit, au ces nuit.Ou toue ce bouscules
Ils évitent de fermée les yeux.
Accrocher à faire des aveux
.Comme un cauchemar.
Il se voit devant, face aux miroirs.
Et puis pour les petits,
il reste le suicide.
Ainsi il son châtier de leur malheurs.
Pour ceux qui reste a l intérieur.
Ils rêveront un quart d’heure de chaleur,
De liberté et d égalités.
Des leurs sorties de baiser une bombe girls.
T’envoler à ton tour vers un avenir,
Joliment organiser
hoin fanny

L'homme sans visage


Le temps d'une chanson,

J'aurai aimée dévaliser,
Tes souvenirs,Voler ton sourire.
Qui c éternise dans un champ laxisme.
Traquer comme des bêtes.
Qui dévale toue ces pentes.
Ravage de l'amour, l'amour.
Passage de la mort.
J’entends les corbeaux qui dévorent.
Sans aucun remord la traverser de ton désert.
Les silences tues.Les diables nous entourons,
Pauvre amour, un soir de lune.
J'ai vue ton étoile sacrée,Nos cœur blessé.
A la recherche de nos reflet.
Comme au temps passer,
Il reste à compter de ce jour.
L'étoile impunie ou personne ne peu te volé.
J'ai vue une étoile filante,
J’ai reconnue ton sourire,
Nos souvenirs mes tous nos baiser.
Toujours assoiffé de tendresse.
On cet imaginer des pays sans frontière.
Jusqu'au premier levée du soleil.
Et puis mon sourire à la recherche de cette lumière.
Qui mon temps fait rêvé.
Garderont toue ces cinéma noir.
Dans des silences relaxant,
apaisant,Chassent nos idéo.
Et toi es moi,Nous savons anges et demi démons,
Caractère d'insoumission, de claire voyance.
A la recherche oui toujours, toujours,
De cette chaleur qui nous manques dans notre coeur.
On ce déploie,Ravage toue ce qui nous noies.
Dans cet tourment, alléchant nos désire.
Déployant nos bataillent de nostalgie.
Préliminaires d'un fond nouveaux.
Puis je garderais le goût salé.
Émerveiller de ton sable doré.
Fanny hoin

mon coeur

Il court comme le vent,
Balayer et conjuguer par toue les temps.
Il m'humidifier à l'aire de la pluie avec toue cet récrie.
Au cour métrage,Il fait face au nuage gris et au manuscrit.
Et ce grand circuit, qui déverse ce lien.
Comme un tracer riche de sa couleur.
Et ce mélange de mélancolie.
Battement au fil de cette invasion.
Son tracer, dessiner la ligne de vie.
Met celle des canaux vitaux.
Son influent qui pompe au mouvement du pou.
Mélange d'oxygène pour son aspect pourpre.
Il rayonne au fond de moi.
Souffre de toue ces fatigues incommodées.
Dans un déluge, il se transforme En fragment.
Laisser couler toue ce sang.
Au aveuglée indésirable, contourne sa façade.
Il se complète avec ces contours,Au couleur des idées noir.
Toue cette pression,Palpitation, son preuve qui vie.
Maintenant, naturellement, actuellement,
Et simplement pour dégager sa source d’espoir.
Fanny hoin

ALI

Toi fils de dieu,
Et au nom des tiens.
Dieu ta donner la vie, le partage des siens.
Regarde l'étoile qui brille au dessus de toi.
Ne sait tu pas que dieu ta créer,Au bonheur de tes parents.
La vie qui te porte,Es t'un voile qui flotte,Au fil du temps,Au fil de l'an.
Personne ne peut couper ce souffle.
Ne te sacrifie pas,Car tu serras bannie.
Laisse toi porter par moi.
L'amour que tu ne voies pas.Seul ton cœur voie,Dans cette vie obscures.
Si tu croies en moi, je croie en toi.La vie nous portera loin,
Le partage de 2 êtres,Qui ce comprenne par un regard.
Où toue les parcoure nous mène,Au feu avec forces,
Par la terre pour nos racine,
Par le vent la colèreParle eau oasis de vie2,
parcoure si déférents,
Met qui ce rejoint,j entend le vent qui souffle,
Et qui frappe avec violence,Sur mon carreaux.
Entend tu le vent qui balaye le sable d’or.
Notre tapis non.L'arc en ciel de notre vie.
Hoin fanny