mercredi 30 juin 2010

le pousse_pousse

guetapent de crime pousse pousse le vide,

pofiler de cet portraie inconnue,

vision projetté sur des talus de douleur,

je salus toi l'aimer du diable,

qui croise mon drapt blanc de lin,

comme une chapelinne des chemin levé,

la goute au nez es la larme a l oeil,

je te proméne au profont de verneuil ,

hoin fanny

mardi 29 juin 2010

la guetta affrica

mieux que colunbus .

monté ,grade apres grade,


obstacle apres abstacle,


saigner de ce corp de cet larme.


croupire comme languille ,


puéer de cette créve de merde ,


qui assiége cet approbateur.


a genoue coucher assis ,


les jambe écartée ou levé au salut,


brevé victoire ou chants.


avancer s'ouvrir aimer a toi lumiére dieu allah,


guerre de grace , crevace, des chars .


tire a vue sur champs es vainqueure des vestibules,



hoin fanny


lundi 28 juin 2010

tendre caprice

Monte tendre caprice

partis la bas dans sa tranché soudaine de son devoir ,

aussi loin de mon regard ce plonge dan nos souvenir de fou rire,

je caresse ta photo ,comme si tu aller passer cette porte ,

le sourire es la joie qui nous emporterai ,

dans z un volcan brulant,

de cet accrus de vin verset sur nos tendre poitrine,

mon fusil de nuit ou tes éclat me berce ,

je suis assis au regard de la porte de la libération,

et toi la bas dans un combat ,

mon tendre frissons ,

tendre amour ,

un baiser poser sur cette page ,

hoin fanny

enchainer

enchainer

vendredi 25 juin 2010

sans toi

sans toi courrir apres tes larmes,
il faudras nosu battres,
pour voller ver ce monde d epaix,
ne pleure pas ,pose toi contre moi ,
je suis ta colombe celle qui s étein au loin de toi,
penche toi ,je prend ton coeur ta peur,
plonge toi en moi viol met droit,
je susi qu une vercet coranique,
juste l éssentiel de l'etendue de nos perchet perdu,
si tu maime sourie moi ,
ne pleure pas regarde moi soldat ,
seche sur une nappe d e mer ,
refloue de nous a etais si trouble ,
es le drame de notre dame crie s appytoie,
ne te plie pas ,fait l amour brasse toi tes coquillage du soleil.
je ne te chasse pas ,juste pose d un discret velouté .
un café la pose d un envoie d une dictée ,

hoin fanny

dimanche 20 juin 2010

coeur de cristal

si mon coeur pleure les notes ,
de notre composition fleuris,
met main a la plume,
es partis dans une mongolfiére
la douleur est un poid un cris ,
une violence que ty m efais,
méme si je souffre comme un animal,
perdu dans sa campagne,
il me reste souvenir de notre passage de cette terre.
ambrume d une corne appel le lond des corniche ,
dechire dentelle paserelle le commun de nos lien
oublis pas ,oublis jamais tendre lumiere,
bercet de met pied,
commece cristale laisser perdu dans cet mur de charbon,
un coeur seul dans la nuit
hoin fanny

samedi 19 juin 2010

divorce maroc

le coeur es t une amand qui peu ce fracturer d un coup,
d un polichinel de lois mal structurer ,
de s defis soudé du coeur ,
des aliance d or qui laisse ce gout de poison amer ,
les larme de la chaine de jamais etre celle si ,
chancelle goguin seul batazar cet eterniser nos nuit etoilé,
nous sommes sur le bord de la falaise ,
deux corp deux coeur,
de smoitier figure detruite ,
a vomire nos trippe sallée,
d une revue pubblication d un matin chagrin,
qui a toue ravager en ce juin ,
le tambour a la main ,
je reprend ma route,
hoin fanny

vendredi 18 juin 2010

laube de limage

pret de mon ame ,
je me suis vue trainer,
capturer les fée ,
es l' histoire magique,
poser des baiser ,
ruéer des bruit de nuit,
a l'aube de l image ,
encré l'espace de ces rides,
suis l'horrizon beau,
des poissons d'ete grilliers,
devant fine bouche affamées de la chaire roses,
es de son coeur de frisette ,
l'amour d'un appat ,
chante chante le temps d'ecrivain .
de met coquillage de met récis.
hoin fanny

jeudi 17 juin 2010

batir de cet main

monté sa charpente debranche lasséré de noeud,
liée accrocher par des lacet de chaussure ,
ma maison batie d amour,
une unison batie de face capitol resonne sur cet sol ,
crepite sur cet haut des clocher ,
resonne la cloche notre dame,
creve ma vie,creve ma folie,
combattre toue depassé les roi,
les champs les terrain combat,
devenir une seul ambassadrice .
etre seul pacerelle de met pélerrin ,
des gent achevé des martyr des vies,
je susi pa cheveux au vent ,
juste petite fleur .
battie l envie d aimer ,
batie l envie de vivre,
battie les richesses d eleur coeur,
je battie detruie jamais ,
mon coeur de paix je me bat .
hoin fanny

samedi 12 juin 2010

vacance fort mahon

je balade ma valise, ce sac au sable fin,
comme un royon bataillon d infortune,
tempette noie lit es duvet de caresse,
chanter chanter sirenne au traumatisme .
bouquiner de cet galet .
es le coeur blésser de ce chants d'amerthune,
bagatelle franfola,bavure de torchon
j'ai rêver d un 5 étoiles je vivote d une flèche en plein trachée,
critique es infâme direction vol jeunesse es gent infortunes,
comme se royon captiver d or es de prouesse.
l etandars serra achever .
es royon serra crever.

hoin fanny




pleure ma france

on ta couper le nez es les racines,
dicter tes peine es le relationnel,
supprimer les usines les fong gris du nord,
reste juste ce froit du pol qui nous rate de diner,
crevasse travailier comme signataire prfecture ,conjonture,
tampon inbibée de cette ville sandre qui a debordé de cet corigé;
imprimer comme ce cercle de notre pays,
si riche de nos dame es du triomphe de nos guerre,
jusqu a la panoplie de parapluie senteur de cocochanel,
es cet boom boom du 14 juillet tombe comme des cotillon defallites,
la pluis devalle les ruelles ou les pas cour apres des chemin de fuites.
des sirénnes de svoitures cloxones comme un jour de joie,
sans professsion je mis fit foie,
de cette raison de ce manteau si tremper es lourd du voyage a traver la france.
pleure pleure pauvre france

hoin fanny

lundi 7 juin 2010

demain

si je voyais une vie de pastita es revue de camomille ,
ma vision ce deffinirais de rose saumon planifier le ciel ,
le choux du potager vermillon de ce monde ,
ou le projet actualise les bling bling des crochet d'acteur,
la ou j'entendrais l'appel des sages du minerais tend rechercher,
la couverture du monde ce chauferais liai tend de main,
l'herbe fraiche parfumerai mos lit ,
ou l'oxygéne de notre vie serrai un sorbet de myrtille ,
la ou je t'enmene ,
la ou je ve vous voir, les crepuscules a l'aube engloutirais la passion du travail ,
chaque broulliard serrais de la barbe a papa ,
le rose deffinis un paradis de l amour met aussi,
naissance d'un nouveau née,
je serrai poete ou ecrivain,
met je resterais maitre de la facination des jours prochain,
magicien d'une vie met acteur de toue les coeur,
liberté penser rime avec l'osoterrisme ,
je serrai devin pour pas avoir de faille dans ce bleu du nord.
mon chemin sentirais l'aubepine es les pissenlis de fresnoy ,
ou les larmes coulerais sur ce talus de jois aussi grand que le pantheon,
es les ablations purifier au coulie d'une pluie printemps ,
se futur de jour de l'an toue serra elegean ,
preparer z ym habilier de parurre de vos geant blanc,
mon allée serra d'un jour éclaten ,
rendez vous dans quelque temps ,
prend moi juin ou peut etre demain.
hoin fanny

vendredi 4 juin 2010

le citron vert

pression cumulusse de la vie,

je ne plis pas les yeux de ce frisson glacée,

transperce le sang es le plie des rubis ,

l acte de ce sang qui acoulée es de cet bille blésser,

na plus de plure de cet vie passé,

ruiselle hamer de ce crime audieu,

de met jouissance a te sentire contre moi encore encore,

de nos ame perdu dans ce temps arréte ,

midi les aiguiles planter retenue sur ces peau d ambre,

de met canine j susure tes tracer souligner de nos amour ,

caresse un fruit ,croque le linpide de ces peau mur.

hoin fanny


mon fils

mon éclaire de vie ,


grandis au loin des amare de mon grand etangs


la voile s etend dans ce vent ,


qui l emplifie de cet vaste pays,


de cet soulier de rose rouge,


es de caplan ardis d epine grouille ,


devant cet fan de poisson volant ,


qui pend crapahute de cet eau bleu de coco,


si grand a boire toue cet flot qui s epuise ,


je te dédis ce élixire d amour,


d un coeur de maman ,


baladée de ce son bambino ,

ransson de gloire au pouvoir ,

berceuse de coeur a mon etre si jeune.

hoin fanny




transcrire

je ve transcrire sur cette planéte ,

un dernier ecris de ce qui von dispâraitre,

de cet vaste verdure les tonerres raisone,

prisonnier de

cet tour de cet discussion si pousser,

je susi que ton eternelle preference,

l unité centrale du coeur de cet pays ,

je susi que passive es expression de reboue,

on peu me trainer menchainer ,

pour anéantire ce que je suis.

jamais tu aurra son coeur,

car il mappartiendras a toue jamais,

de cet savon jaune vert es coquillage ,

je susi qu une propre de la mer des fontaines pure ,

hoin fanny

expression

liberté d expression ne ce dicte pas,
lache des mots qui ce cogne sur de smur de fer,
la liberté d expression cet une colision de violence ,
liquide inverssé qui s etend ,
dans des draps des cantiques du verset,
le regard agard saignant de mon passible chagrin,
il passe a bar tabac chaque coin de nuit qu une cigarette s incline.
féroce griffe de douleur s etale sur nos chaire de douleur,
es toue cet couleur aromatiser,
ce rondeur me fond battre encore un peu plus le coeur.
avec faiblesse de met yeux si rouge salis ,
je couline met penser sur cet expression de ma nuit ,
comme un cadeau ou un poison je te recvrais .
hoin fanny





hoin fanny

les indigénnes

je fait de mon recis une révolution du bien fondé,
des prises de cages de cité d abus d alccol,
qui enfle les cours d ecoles ,
de leur fumer des nuages de roses,
pour que les poumon soies pas des coron,
j efais ce qu on m instein me dicte ,
parce que, dieu es mon etoile,
es met prieur met guide spirituel a mon oiseau,
pour plus voir des larmes couller de leur masque ,
du creux de la vaste planéte on y répéte les droits sacré,

hoin fanny