psychiatre

démoniaque sur cet scene a ecoudée , passage de l acte de dimenssion réver, cruel envie es desire du penser, assis ecouter juger, blesser d'une bette pointer le mal , les bavure des cités des cartier chaud, abatre les corbeaux des rus carnivore, conquerir a guerrir d'une pilule , d electro choc les patien gennan alimente les scens de vie, fleur de peau ,captive trahison ,crime canniculaire , je livre mes mots mes verité des vision du neant, toi enfermer loin de ma tour , attend ce carré de bois, qui t enmenera ver le paradis des dieux, hoin fanny

amour de bébé

dans un pays loingtain vivais un sage blanc , vetue d'un sac a pomme de terre, es d un petit singe sur son epaules, es d une canne en bois de chéne, si vieux si fatiguer , il soufflet a chaque temps maussade , es balancer des graines sur son chemin, 1ans 2ans les année passer, es il semée de toue les terrain ou passer les gents, plus le temps passer plus cet yeux ce fermer, plus il rever de voir fleurir des roses a ct pied, chaque ville passer il pensser a ce que la vie aller lui donner, a suivre roman ... hoin fanny

la cage d or

dans un noir j'ai entendue le lac , cetai un signe qui se baiganit , es s'agitée de sa beauté si noir si brillant, il ce soulevée de sa grace es n'arrivais plus a vollé, la boue souligner les pates ,es les ficelles fagotté ces ailes, des larmes tombée es captivée de ces goutes de sang, si fraiche j'avancer ecouter ce qui disais, espoir de la jeunesse nes plus, abatus de sa nostalgie es de sa majestueux beauté , il perchais sur un cartier de terre , ou les voies des sages arrivais encore a dire paix, devant lui des pierres, des epines ,es des geant du monde , collecter des bavures hostille des chemins de soie, sur les voie d'ange, il echanga une plume contre une corne d'or . pour couvrir a sa place les lieux interdis , les langues de boues, ecrire a cupidon une lettre du 14 juillet aroser cet gents d'amour, les himolet des fleurs pour que les coeur revive , con puisse entend aussi loin que le ministére hamer, des feux ,des danses,des chants l'amour de cette jeunesse, espoir espoir brille de mille miroir nos colline es champs du nord, une foie l'auréol fini la terre paissible si bleu , l'ange revis le signes qui avais tournée en robe turqoise , celui dis,je revis , mon existance, axepte es prend cette plume turquoise agite la sur les tois, chaque tois d'hopitale fus magiquement eblouis d un faiso magique , es chaque enfants etais envelopée de couche bleu es rose ou de faisot d'or, es ce balader audessus des nuages dans un sac a cigognes, on ferma les hopitaux car toue les enfants etais partis avec les oiseaux. es le cygne chante espoir espoir brille de mile feux , mille voeux, l'ange commencer a se fatiguer car ele traverssé,vollée, toujour plus haut , plus loin de pays a pays de l'affrique es d' hiver de russie, des torent de pluie es du soleil bridant cet yeux, elle passé toue les caprices de se cygne , les année sécoulée de chandelles parfumée , on voyais ce dessiner des arc en ciel entre les continents, quand les terres tranbler,es le soleil couvrais l'horrizon , l'ange dis au cygne que voie tu dans l horrizon, le cygne repondis le ciel qui ce couche avec la mer , l'arc vivant de deux coeur qui ce son reunis . es lange sourrie au cygne es cet plume ce recouver de gris. es il dis espoir espoir jeunesse eternelle , tu es l'espoir de note vie . soufle dans la corne d'or es éllance la prodigue paix . a chaque brume ou présage . on voyais passée un grouppe de signes blanc, noir ,gris ,jaune un prince emis d une couronne es un ange noir , toue deux epris de leur histoire aller emigrer leur amour . hoin fanny roman a suivre

gazelle du desert

gazelle des plaines cour es sourie la pure naturel ,

danse de cet saut de ces couleur du coucher soleil,

ma beauté je t'aime longélitube des plus rechercher,

princesse de ton desert,

tes yeux noir titile brille comme des etoiles,

je te captive t'emouvois de ces passe passe ,

danse danse gitane des sables,

que ta robes valse d elegance es couvre mon manteau se soie,

fine elegante de tes patte

hoin fanny

la poursuite du diaman vert

marche ou creve , pour vivre dans une union de paix il faus allignée , paye ou creve, la force des mots , du courrage des tétes deboue, avance es te retourne jamais, aimée ou perdre toue, marcher es sauver son peuples de la miséres, vivre loin de toi , cet bruller mes ailes dans les portes de l'enfer, choisir ou mourir , courrir devant pour porté les salut des couleurs, marche a l honneur de mes peur de mes larmes; ne supplie pas ne dis rien juste un sourir, etre l éspéce rare en voie disparition, perdre la raison a la gloire de cet enfants, eccoulée les fond des torents , valeur a l esclame de nos rymme, je vous aimes a l usure , es nos montagnes son belles. voyager de nos lumiere blanches , de cet fleurs qui dessine nos chemin, etandre nos bras nos coeur sur des visages angel, battre son plein de royal bonheure , émerveiliée cet gents cet oreilles ou plus rien ne ve dire , la vérité des yeux de la bouche des sens du veritable alliées, on sens sortiras avec les feux es les drapeau levée . je t aime toi eternité qui me fait vivre. hoin fanny

la fin des haricots

je te tire je te traine, je te viol haine demante, de mes crise de lubie, je te mange,je t resusite je te hurle douleur eterniser, je chante ,hante tes hontes , tes crime, tes danse cameleon, courrir aventure desus desoue , je te craches merde degoulinante puriflore, j amasse les sons , les mots, les gestes du riicules, des inclinations ,les libertins , les levée des troupes course de francais, tombe la lune ,tombeles lois, les flamme du dragon titille robe de fée. hoin fanny

les glaieul

si perdu de ces nuit,
ou les pluie resonne come cet kanon de pierre,
si dure avec son coeur,
cet tendresse de flamme de femme,
couper canne des temps de tombe si present,
les larmes des conserto ,
me prune de mes chavires de chagrin,
tombe es lambo brule encore,
au loin de mon cerveau,
de toi a moi je te touche sculture d amour,
de ta bréche mon baiser s etand,
sur cette pierre qui parfume encore ,
mon champs de vision virtuose de mes nuit de naissance,
accroupis seul soue le poid de mes silence,
la rage de ton absence de tes obeissence me manque ,
tes anges rayonne autour de mes ride d infortune,
les nuit je dessine tes patel d ete ou deux ou trois ,
on ce chiffonée ou les rire s exclamer soue de éthopique creation,
mon amour , ma brise fouette moi encore de tes vieux crus ,
dans mes reve de princesse .
hoin fanny

nippon

tutu de branche nocturne,
mousse es deverlante ,
ce pousse pousse au garde d avoue,
dans le cumule des temps déchaine,
temps defraigne cronique es peur ,
basmatiqye lointain de riz long ,
des rouleaux ensoleilier ,
de l etendue de ma banquise maried,
mer brullante bouilonent de cet rayon atomique,
le centre des reacteurs sonne sirenne rouge ,
flamme des l'enfer es crime de la terre sa llonge,
pointe de notre univere.
la folie d un monde nouveau turlubinne,
es nipponne es empoisonne les rayon cosmique lunere,
cet wawa cet wawa
hoin fanny

continuité

les vert de bettes venicienne;
cour sur ce gazon maudit,
les bleu d horrizon couvre sallon des merveilles,
le gris trace route es vitesse agrémanter,
le marron couvre les terres sainte les brumes des depart,
ouvre fenétre es roules bille de couleurs,
champs de vision plane audessue ,
mon coeur s allonge de tes bras de sang vif,
amour déffin relaie de main liée au tombe du soleil;
butine de lumiere deriere l'ecran qui danse ,
palis de jouvance es de cantite fleural,
brassse es chasse au passage de cheavaux de traie,
vetue de cette distinque cour es chien au aboie ,
rousse poulette au peau rose du jours,
farouche couverture devanture ,
des braise de bouche du porc salée,
a la cour a la cour brave gents ,
courone tone les lizirer de nos lit ,
clairron chaperon de cette brume au sons des bomm boom,
fruit de nos main ,de cette richesse .

hoin fanny

bohain

les oiseaux chante,
petale vol es berce vent ,
le chant du printemps s avance sur la rose,
a mie chemin parri interdit de valeur des temps,
nid d argent ,corbeille d'or couvre bohainois,
sucse aventure d'un été beau de fleur vivoltant ,
dans cet robe de soie,
de leur ride de la connaissance,
les cerisier rougisses ,
traitement de faveur pour des dames perdu,
chapeau d'avalon des chevalier dejasmin,
brasse laine d'ete pour couvrir toie de fumer,
l'eau de traverse lavoire purifier,
abracanabra sezame ouvre toi,
dans tes bras prince des idiles de russie,
hoin fanny

traumatisme

tu es l irrrél du sens des faux ,
de cette bavure de cet tocqard ,
qui pisse sur les axer des traumatismes,
tu es mon senssasionnel ,
qui gouverne applique comme un roi,
mon best friend ,mon best frien,
mon friend des 4heures ,
mon best of cet le best salaires,
cherie tu mas vendu ta cannicules ,
tes montagne es volcan ou les corbeau se pause,
enfants des peuples ,enfants des peuples,
le mal nous z a rongée ,
les ancien son partis trop vite,
enfants des peuples ecoutes la vague des ouragant,
enfants des peuples vie de ta richesse familliale,
les animaux son mort depuis que les guerre les z a tuer,
revenez parmie nous ,^rentrez de ceux qui vous aimes,
oubliez la haine vivez vivez enfants des peuples,
je souligne petite poete pour prolonger un moment de bonheure ,
un jour de campagne ou les drapeau son levé,
enfants des peuples ,enfants des peuples le monde vous aimes

hoin fanny

le criminel

mes main tremble devant la realité de ce jour,
la peur ma remplie es enté depuis toute cet année,
d etre basculer a nouveau dans ce reflet d enfer veccu ,
imconpris es n avoir auccne justice devant mon bourrau,
es toujour cette haine qui bouffe me detruie a petit feu,
conquerir d autre rivage pour fuire ce passé congelée devant mes yeux,
je te haie ,je vomie je me sens salis ,
comme ce premier jour battue comme ta chienne tu disais.
la nuit etais si painnible que je vie passé dans un tableau a revue policiere,
1000 foi 10000 milliard de foie je te tue dans toute les facon ,
que la torture que tu mas fais subire .
je ve te dire j ai pas peur ,
tes rien juste un cafard de la vie ,
qui faut autonnasier ,
pour plus detruire les fleurs de la vie ,
jamais entendre les larmes d une femmes,
je ve tuer criminel de ma vie
hoin fanny

le reve bleu

le reve bleu cet la couleur,
que tu portes au fond de ta poitrine etoile eternel.
j ai ceuillis un tréffe qui etais plus pal que le normal;
il me dis arose moi chaque matin de tes douce verge ,
alléger le temps des hiver froid des douce printaniere ,
je souffle de l aire pure sur ta voie si douce si chaud ,
de cet rendez vous privez ,
on etais colée de ces rire de tendresse,
mes la solitude ne nie prend jamais ,
on apprenner a coudre parchemin ,
es lainiere du temps des brebis,
voila les journer chaude émotion.
je te dis je t aime ,tu me dis amour,
je chante le lilas tu cris les cendres des retomber de saturnes,
on croise l envie de toue bousculez es toi capitaine,
tu quitte lenavire celui de l etedue de ma chevelure d amour.
sans un cris sns un bruit je te laisse partir ,
pas a pas au loin de ce rivage ou je me suis baigner de tendresse ,
mes de cet parfun de reve bleu .
amour ff sans regret .
hoin fanny

pleure

pleurer fais partis de la vie,
beurre tartine come l elephant asailit ta vie,
pleuré parfume le sucrer de tes joue de cet bouquet aimais,
je vous aimes vous qui faites que des herreur ,
vous larme du soleil des rire ,
de nos plage etandue des priéres ,
du chemin main dans la main,
alors la recolte es t un fruit de sueur es de larmes,
amour eternel ,amour fraterel,
si loin je vous kif d envie,
signature es diction ,
au plus belle cascade de l homme.
bercet de mes nuit de petite fille.
je t aime ocean de jouissance.
la pluie arose d emoi l etalon qui s enfuit
hoin fanny

navigateur

un compositeur ce couche sur ma main,
il flux les mots des dates parue de mon temps aimer,
20 ans d imprimer de ce corp si proche ,
sentire la canicule de se recule d argument autometriser,
devant mes paramétre qui fonctione de pile d amour,
d agrume de tes parfum secret,
titile moi encore vielle cannaile ,
susure melodie intime es echanillon de boite a lolo,
je te pose d une voile un continent ou les pas son geant,
de nos cerveau conquis de ce cercle bleu noir rouge,
ouvre moi le theatre des jungles joue moi romeo ivre ,
ou le cannibal sanguinaire me ferra d une pierre ma jouissance libre,
hoin fanny

perver

mon coeur perver,
délit le lit des vipéres,
d'un saturne panse bétte .
j'anbroche le lion de cupidon
griffe satan es cannicule de mes giffles,
accroche moi en haut de cette corde ,
palpe poux es flou des paradis,
enchaine mouvement es senteur lavandiere,
une fleur pousse es cris famine ,
juste une pierre cassée sur sa téte d arabesque noir,
chants des cobeau balaye les citadelles de nuit au chandelles.
pousse rebondit petales d equimose ,
mes laisse moi ta froideur jasmin.
tes bleu de soleil ultra violet ,
brasse moi l été indien .
hoin fanny

merveilleuse