lundi 19 juillet 2010

l'été suspendu

en haut de cette arbustres,du vent levée,
ou s appytoie les uns au autres,
de ce clima canniculaire,
devant nos yeux ,des sables se lévres aux tourbillons,
es l odeur plane de cet moulles craquantes ,
ou devores petit es grand.
es l exclame de cet douce balade de notre digue ,
passe les chiens es chat depuis décénis.
le crépuscules de follis ,
ou pause ces gent a ce retrouvé.
boire manger dormir cet sa le nord.
le temps d exposer au rayon de chaleur des coeur vivent.
hoin fanny

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