dans ce grand vide toue noir,
je verse le reste de moi,
comme apprentis sorcier au masque d argent,
dans une chute ou le vertige es le poid n existe plus,
devant la grand armure sombre occupe les parrois,
comme un constitutionnellement les ambres sauvages
couvre les sol habité de nos lueur ,
la rage me prend d aimer ce diva de chevalier,
vent sifflant vent croupissant de mon arme,
je suis sirénne ou guerriere des colines,
reine delappocalypse ou du kao de cette crise .
balance encore plus fort mon coeur ,
donne moi le mal de la vie .
sourir d ange sourir de diable,
hoin fanny
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