apres l'orgeuille es la secheresse la pluie ma sourie,
de ma langue je puise dernier goute ,
longe le bambou chaud,
es glisse le long de ma chevelure,
es de ce cou irriser frimissant de désir,
soulage cet ardeur de soif ,
qui épuise ce corp éxégue couché au creux de ce palmier,
chaque claquement es t un compte de fée,
un parfum d embaumenent ,
ce sol qui dégage fluide de la poussiere,
es cet cailloux perileux a la marche laver ,
brille comme des pailette d'or,
enfant sautillant de cet flaque ,
de cet miroir qui reluis de leur beauté .
hoin fanny
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