lundi 2 novembre 2009

la savoie

les piéce rebondisse au flic flac de l eau,
la téte en arriére es le veux dans l'ame,
l'espoir d'aimer de vivre en paix,
éffacer la maladie sérrer a grelotté,
sourir a ce vieux banc,
isolé de toue ces cul indiffame de cet résistance,
parchemin de liziére au recis d'un peuple,
faire des levé a un monde plus vaste,
des sourires a épanouire es brillier aux yeux de miroir,
les étoiles retentirais comme le bouchon .
sur ton visage je revérais ce vieux cygne couché ,
ce long des canaux fluide es gracieux au large de sa plume,
ma parole ce ferais de brasse a malaxer cette étendue de bleu,
a rincer toue les étre déchus es pauvre du coeur.
la chaine serrais longue d'une queu a un blanc ,
d'un pic on surmonteras l'étendue de la beauté ,
des couchée au couleur de glace ,
au deux face des diaman,
es notre pas résonerons ;
comme l'écco de ton nom,



hoin fanny

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