samedi 29 mai 2010

l aurore

je nes que la couleur de mon ombre lunaire ,
es la chandelle qui s epuise met nuit agité,
de ma douleur qui me caracterise comme béte feroce,
es cette tendre violette poser devant toi,
je ne spa de champs d or ou des oasis ,
met simplement un olivier ,
un coeur au concubine tourne comme sur un fil,
etant moi au longue de tes pays si loin de djerba,
de ma peser ce matin es si charnue,
feson nous nue de cet accuponcture,
devoron nos ancétre de sa chaseté .
hoin fanny

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