jeudi 1 octobre 2009

le paradis des mimosa

le chemin de la jaunisse parfume met pied ,
déshabiller par la roser des saut au-dessus de l'escalier,
met cheveux sur mon corp nue es habilier de la glisine ,
le champs de mon oiseau géant ,
pénétré au profond de ma poitrine,
chaque queu de couleur es la similitude de l alphabet ,
couleur vif es ce balance ,
a l aire d'un temps arrêter,
j'entends cette eau profond couler ,
au couleur rouge passion ,
es ce miroir dessine es renferme,
cet petite bette qui dandine ,
fontaine de leur champagne,
surmonte ce doux champs de nageoire,
leur discussion ce dessine ,
par les petites bulles qui remonte,
soue l œil du crocodile ,
es de pupille ver dassé du marré,
sa queue longe le couloir des cailloux ,
comme un prédateur de l'obscurité,
plusieurs masque habile,
les mur comme un autographe
,on pouvais lire beaucoup trésor étai cacher,
les reinette danser dans ce fond de piscine ,
reproduction de cet acteur de vie étais plaisance,
les arbres dattier basculer comme la danse de chevaux,
au rythme de la cadence du vent es du temps
,les fleur fessais des ronde de couleur ,
s ouvrais a la rosé qu'un pousse vert humidifier,
la Marianne arpenté l herbe ,
les crapaud se chauffé au lampe qui fond abysse,
criquet emplissez les pièce du bonheur,
la chaleur taper dans cette oxydent,
comme la vallée des merveilles ,
les porte ce surplombe les une après les autre,
jolie rideaux tissé dans la villa de beauté,
je cet lire sezar a travers les grilles des fenêtres,
les fauves son lâché ,
a leur dent pointue,
les lezars grimpe les mur,
je suis qu une poussière d ambiance ,
par cette terre habité,
inconnue au pressent,
la couverture bleu remonte jusqu'à la berge de met penser ,
chaque claquement des rocher on cette couleur rouge,
cet un été éblouissant ,
un été ,un jardin,
une penser pour vous merci.
Hoin fanny

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