jeudi 1 octobre 2009

la libannaise

frissonnant captivant il dévore son cors ,
empoisonnant l'odeur qui s'évade de la pièce,
les fenêtre de ce paradis qui endormais toue les cité,
on entendis les appel au loin des prières
,menant toue deux a une unique raison d existais
,l union d un amour parfait a la résistance ,
des larmes de l'évasion,
étouffé par cet baiser ,
je me poignard a moi de cette existence qui me reste,
ce temps languisse ce plaisir si charnelle ,
dans un amour éternel,
ou la capital serrais ma chambre ,
j'apercoie que la lueur de tes yeux ,
ouvre moi tes porte divin maitre du katana ,
ou accolade se ferais entend ,
on entendit des cloche ,
es des annno qui percuta jusqu'à au cœur de l Afrique.
quelque larme sur un tablier blanc ,
es le soleil empoigniez son visage si étoilé ,
toue droit venue du paradis les deux colombe ,
repris leur place sur ce chemin menné d épine,
son voile s en vola plus haut a disparaitre ,
après un vent violent .
leur penser es les âme ce dispairesser .
dans le creux d une vague on pouvais lire ,
ma vie es t un naufrage ,
a moi mon bien aimée ,
de toi a moi je t oublierais jamais.
Hoin fanny

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