jeudi 1 octobre 2009

L'homme sans visage


Le temps d'une chanson,

J'aurai aimée dévaliser,
Tes souvenirs,Voler ton sourire.
Qui c éternise dans un champ laxisme.
Traquer comme des bêtes.
Qui dévale toue ces pentes.
Ravage de l'amour, l'amour.
Passage de la mort.
J’entends les corbeaux qui dévorent.
Sans aucun remord la traverser de ton désert.
Les silences tues.Les diables nous entourons,
Pauvre amour, un soir de lune.
J'ai vue ton étoile sacrée,Nos cœur blessé.
A la recherche de nos reflet.
Comme au temps passer,
Il reste à compter de ce jour.
L'étoile impunie ou personne ne peu te volé.
J'ai vue une étoile filante,
J’ai reconnue ton sourire,
Nos souvenirs mes tous nos baiser.
Toujours assoiffé de tendresse.
On cet imaginer des pays sans frontière.
Jusqu'au premier levée du soleil.
Et puis mon sourire à la recherche de cette lumière.
Qui mon temps fait rêvé.
Garderont toue ces cinéma noir.
Dans des silences relaxant,
apaisant,Chassent nos idéo.
Et toi es moi,Nous savons anges et demi démons,
Caractère d'insoumission, de claire voyance.
A la recherche oui toujours, toujours,
De cette chaleur qui nous manques dans notre coeur.
On ce déploie,Ravage toue ce qui nous noies.
Dans cet tourment, alléchant nos désire.
Déployant nos bataillent de nostalgie.
Préliminaires d'un fond nouveaux.
Puis je garderais le goût salé.
Émerveiller de ton sable doré.
Fanny hoin

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