jeudi 1 octobre 2009

Les barreaux de l’enfer


Tu as effacer la vie.

Mes réveiller tes peurs.
Dans ce grand couloir.
Tu y voies que du noir.
Derrière ces barreaux,Les points serrés.
A scruter chaque danger.
Il n y a que des silences,Et des incompréhensions.
Face a ta faim,
Et au crétin indécise Se soumettre a des règles intérieures.
Que z 'ce qui connaisse eux a la vrai vie.
Enfermé comme des chiens affamés,
Il vous laisse crever, dépourvue de toute pensée,
Au libératoire du compensatoire.
Les douches son chaude,Met les savons empoisonnent.
Panique, panique si tu t y glisse.
Pour un boue de shit.
Ils te feront payer le prix fort,
Ta sentence des insultes,
qui te mène au mitard.
Pauvres incrédules,
En soulevant le poids de votre justice ,
Vous les persécuteras commettrez le pire.
Tout cet mur sal,Qui déploie à en faire un palais.
Grand poètes, écrivain,Créateur de vos dessins.
Vos pages pour certain, le reste d'un papier,
Qui vous serez a allé chier.
Feuille de fourniture, pour les plus mur.
Et puis il y a cet nuit, au ces nuit.Ou toue ce bouscules
Ils évitent de fermée les yeux.
Accrocher à faire des aveux
.Comme un cauchemar.
Il se voit devant, face aux miroirs.
Et puis pour les petits,
il reste le suicide.
Ainsi il son châtier de leur malheurs.
Pour ceux qui reste a l intérieur.
Ils rêveront un quart d’heure de chaleur,
De liberté et d égalités.
Des leurs sorties de baiser une bombe girls.
T’envoler à ton tour vers un avenir,
Joliment organiser
hoin fanny

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