mardi 29 septembre 2009

La valse des aimés

Dans un bain bouillonnant
Je vide le lait glacé
Soue le coin de nos fenêtres
On admirera les pâquerettes de verneuille
La récolte des fruits rouges
Au coolie de nos mots doux
D’une plume arracher au cul de ma poule
Je caresserai la pointe de tes seins
Coucher dans ce nid de paille
A engloutir tout ce baiser
Je me ferré arlequin
Pour colorée les désire de ta vie
D’une poussière dans l’œil
Je profiterais de baiser ton oreille
A l’aube du crépuscule
Et au gémissement Les crépitements de la pailles
ce fond sentires
Comme des orties arroser
Laissant les fesse rose d un nouveau née
La poussière de pénombre ce fond comme un brouillard
La pluie de paillette enveloppe l’illusion des frissons donnés
hoin fanny

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