mardi 29 septembre 2009

L’envoler des feuilles

Et si le temps est long,
Nos regards reste figé,
Par ce doux refrain de la solitude,
A travers les vols et le chagrin,
Mon cœur serrés reste gravée,
Je pose mes mains sur ce corps brûlant d’envie,
Vie spirituel abondons de ton âmes relâcher,
Dans une source, j’ai déposé une feuille morte,
Au couleur de tes larmes,
au goût de pluie du nord,
Et si j’attends je me défends face à cette vie,
Les tours s'élève comme des pierres monter aux barrages gris,
Acheminement de tout cet labeur,
Qui bondis au bruit du papier glacer,
La haut le grondement,
Des tonnerres, des tracteurs,Annonces les couleurs,
Parfumée de cet boisiez,
Je me soule a l’envie de te retrouver,
Si je pouvais entraver,
je signerai demain,Je mâche toue ces mots,
Combien de brassage au goût de c’octaux,
Laissons-nous divaguer,
Jeter toue ce papier aux couleurs inhumain,
A la plume de nos chemins,
quetsche qu’une feuille,
Passage de survie,
chèque bien arrondie,Usurpation,
je serré la signataire des sans papier,
La terre est bleue, le cœur remplie de mélanges,
Les penser rouges,Les mains son nouée,
glacée comme des cadavres,S
il y a une terre de délivrance,
Toue les transitoire, parloirs basculerons,
Dans un déca tombe révolutif
.hoin fanny.

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